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Dietsche Warande. Nieuwe reeks 2. Jaargang 1 (1887-1888)

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Titelpagina van Dietsche Warande. Nieuwe reeks 2. Jaargang 1
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Genre

proza
sec - letterkunde

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Dietsche Warande. Nieuwe reeks 2. Jaargang 1

(1887-1888)– [tijdschrift] Dietsche Warande–rechtenstatus Gedeeltelijk auteursrechtelijk beschermd

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Bulletin français.

DEUX mots avant d'entamer la partie.

D'aucuns ont reproché à la Dietsche Warande de n'avoir pas inscrit le mot Littérature au front de ses livraisons. D'autres, qui avaient espéré y trouver un culte exclusif de tel ou tel art auquel ils ont voué leurs préférences, ont trouvé bon de lui appliquer certain dicton latin à vous connu: In omnibus aliquid, in... je n'achève pas. Vous voyez cette trombe fulgurante s'abattant sur le Parc thiois!

Au fait ces petits éreintements sont assez gais. Ils nous font d'ailleurs apprécier doublement les amis, ceux dont l'accueil bienveillant, l'appui généreux seconde nos efforts...

Il nous faut cependant formuler une question.

Douteriez-vous que la littérature, c'est-à-dire la poésie, le drame, le roman, oeuvres d'imagination s'il en fut, soient du domaine de l'art? Jamais. Inutile dès lors d'amplifier dans ce sens le titre de la revue.

Ceci posé, entrons en matière.

Un article du directeur, article consacré à la sculpture, ouvre la livraison.

L'exposition du Cercle artistique et celle de l'Union des Arts décoratifs trouvent un chroniqueur habile en M. du Jardin, et l'éminent artiste qui a nom Godfried Guffens, un fervent admirateur en son concitoyen, M. De

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Ticheler. Il est bien dommage que le peintre, rassasié d'honneurs et de louanges, nous ait frustrés de la vue de ses chefs-d'oeuvre, et n'expose plus guère que dans son atelier de la place Lehon. D'autre part, il est vrai, cette manière d'exposer présente d'incontestables avantages.

L'arbre généalogique des deux frères Schoemaker, - où il est fait mention de deux couples de jumeaux morts-nés, - défraie une partie de l'article du comte Maurin Nahuys. Le savant numismate rendra compte prochainement de plusieurs manuscrits du 16me siècle, découverts il y a quelques semaines dans une ancienne abbaye du Hainaut.

M. Tottmann, que le lecteur connaît déjà, passe en revue les instruments de musique anciens, connus sous le nom de Musée de Wit, à Leipzig. La ville de Berlin vient de soutirer à l'artiste l'acte de vente de sa célèbre collection. 11 est payé rubis sur l'ongle, le célèbre viole-de-gambiste (quel mot!) que nous avons eu la bonne fortune d'entendre au Conservatoire de Bruxelles, il y a quelques années, mais, au bout du compte, c'est lui, Paul de Wit, qui paie les violons....

Arrive le tour de MM. Van den Gheyn et Van-Reuth, avec la suite de leurs articles respectifs, Ensuite M. Van Even donne le fion à sa monographie d'Eerrijck de Putte.

C'est Juste-Lipse qui est bien loti, quoi! Il a trouvé un interprète très entendu en M. Charles Piot, à qui l'histoire de notre pays doit tant d'érudites compilations. L'archiviste-général du Royaume tire au clair des circonstances complètement inconnues jusqu'ici de la vie du fameux professeur, dont la ville de Louvain fait encore tant de cas aujourd'hui. Il me souvient que, traversant une rue de la cité de l'Alma Mater, lors des fêtes jubilaires de 1884, je lus sur une maison

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de modeste apparence, l'inscription que voici, gentiment peinturlurée sur une mirifique pancarte:

 
Juste Lips met roem gekroond,
 
Heeft hier in dit huis gewoond.
 
Zijne faam is zonder grenzen,
 
Salueert hem, lieve menschen!

C'est beau comme du billet de caramel... Mais voilà que ma plume veut se mettre à trotter bride sur le cou. Vite retournons à l'article de M. Piot, et relevons au hasard un des curieux détails par lui communiqués. Il paraît que les autorités académiques de ce temps là avaient accordé à Juste-Lipse, comme la plus grande distinction qu'il fût possible d'octroyer à un contemporain illustre, l'autorisation de marcher derrière le doyen de la faculté les jours de grande cérémonie....

Une plaisanterie d'originalité transcendante, si ce n'était l'exacte vérité!

Ajoutons encore que, par ses recherches, l'auteur du travail en question démontre l'inexactitude du récit de Colin de Plancy.

Enfin la Chronique des Expositions industrielles reçoit son contingent habituel.

Qu'il soit encore fait mention d'une rubrique nouvelle qu'inaugure aujourd'hui la Dietsche Warande. Il s'agit d'un aperçu bibliographique général de toutes les publications nouvelles en rapport avec les matières traitées dans ce recueil. Plus de cent revues périodiques seront mises à contribution à cet effet, et rien ne sera épargné pour rendre le tableau aussi complet que possible.

A noter encore ceci.

La série nouvelle de la Warande ayant publié son premier fascicule au mois de novembre 1887, le second à la fin du mois de janvier 1888, etc., ne

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fera paraître le cinquième qu'au mois de septembre prochain. A partir de 1889 les livraisons se publieront régulièrement tous les deux mois.

Si la Dietsche Warande, qui dormait à poings fermés depuis nombre d'années, sonne enfin les matines, c'est afin de sortir tout de bon de sa torpeur. Aussi les collaborateurs accourus à l'appel avec les nouveaux abonnés, présentent-ils pour la vitalité du recueil en question une garantie des mieux assises.

Grâces leur en soient rendues.



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