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De Gulden Passer. Jaargang 26 (1948)

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Titelpagina van De Gulden Passer. Jaargang 26
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tijdschrift / jaarboek


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De Gulden Passer. Jaargang 26

(1948)– [tijdschrift] Gulden Passer, De–rechtenstatus Gedeeltelijk auteursrechtelijk beschermd

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Résumés en langue française
English summaries

Inventaires médiévaux de bibliothèques monastiques belges

Cet article veut contribuer à l'élaboration d'un corpus belge d'inventaires de bibliothèques médiévales. Pour la Belgique l'on ne disposait jusqu'ici que des ouvrages généraux de G. Becker, Catalogi bibliothecarum antiqui (Bonn, 1885) et de Th. Gottlieb, Ueber mittelalterliche Bibliotheken (Leipzig, 1890), mais ceux-ci ne sont plus à jour, plusieurs catalogues ayant été découverts depuis. S. Balau dans Les sources de l'histoire de Liège au moyen âge (Bruxelles, 1902-1903) et J. Gessler dans la préface de son article La bibliothèque de l'abbaye de Saint-Laurent à Liège au XIIe et XIIIe siècle (Bulletin de la Société des Bibliophiles Liégeois, XII, 1927, pp. 91-135) ont essayé de les compléter pour l'ancien évêché de Liège.

La présente liste qui constitue un essai de bibliographie d'inventaires de bibliothèques monastiques de notre pays et qui sera suivie de celle des bibliothèques collégiales et privées comporte deux parties: la première contenant les inventaires proprement dits, la deuxième, les miscellanea, renfermant des données qui se rapportent aux manuscrits des bibliothèques monastiques. Nous sommes convaincus que les archives contiennent encore maint renseignement à ce sujet et nous nous recommandons vivement pour tout renseignement complémentaire.

R.L. Plancke.

La bible de W. Vorsterman de juillet 1528

La Bibliothèque communale d'Anvers a vu s'enrichir ses collec-

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tions d'une impression anversoise extrêmement rare, probablement unique. Il s'agit de la Bible imprimée par W. Vorsterman et dont l'Ancien Testament est daté d'octobre 1528 et le Nouveau de juillet de la même année.

La Bible de Vorsterman d'octobre 1528 n'est pas particulièrement rare, mais il en est tout autrement de l'édition du Nouveau Testament datée de juillet. On n'en connaît pas d'autre exemplaire jusqu'ici. Le colophon porte qu'elle a été imprimée par W. Vorsterman en association avec Jan Seversz.

Cet exemplaire a passé par les mains de Mlle M.E. Kronenberg qui en a publié une analyse dans la revue Het Boek, vol. XXVIII (1944-46), pp. 295-299 avec quelques détails sur cette association Vorsterman-Seversz au sujet de laquelle on était très peu renseigné.

Il est probable que le Nouveau Testament a été imprimé d'abord et qu'il n'a pas été mis en vente, sinon à de très rares exemplaires; que l'association fut dissoute aussitôt après le tirage ou même la composition et que Vorsterman, ne désirant pas entrer en conflit avec la censure ecclésiastique, son associé ayant une réputation déplorable au point de vue de l'orthodoxie et ayant déjà eu maille à partir avec la justice, a voulu publier toute la bible en son nom seul. D'où la modification du colophon dans l'édition d'octobre.

Dans son article, Mlle Kronenberg prétend que l'édition de juillet ne diffère de celle d'octobre que par les deux dernières lignes et le colophon. Tout en ne tirant pas en doute son assertion, nous devons cependant dire qu'elle est sujette à caution car, en comparant le Nouveau Testament de juillet avec deux exemplaires - identiques entre eux - de celui d'octobre, nous avons pu constater qu'au moins les quatre pages du feuillet extérieur du dernier cahier ont été composées à nouveau pour l'édition d'octobre. Ceci n'implique pas nécessairement que Mlle Kronenberg n'a fait qu'une vérification superficielle: nous avons trouvé en effet qu'au cours du tirage de la Bible, plusieurs modifications ont été apportées à la composition, aussi bien dans l'Ancien Testament que dans le Nouveau, mais principalement dans les feuillets liminaires. Il peut y en avoir eu également au texte même; nous n'avons pas eu le courage de vérifier attentivement les 1204 pages de texte serré à deux colonnes, mais des coups de sonde,

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apportés en de nombreux endroits, ne nous en ont pas montré.

Il existe donc des exemplaires de la Bible d'octobre 1528 présentant de légères divergences entre eux. Dès lors il n'est pas impossible que Mlle Kronenberg ait eu en mains une édition d'octobre du Nouveau Testament dont le texte diffère de celle que nous avons consultée et serait en tous points conforme à celui de l'édition de juillet, à part bien entendu les deux dernières lignes et le colophon.

Tous ces remaniements en cours d'ouvrage, visant indiscutablement à une amélioration de l'édition, prouvent à nouveau combien nos anciens imprimeurs avaient à coeur de perfectionner sans cesse les produits de leurs presses.

Am. Dermul.

Methodics of Latin teaching in the XVIth century

Our sources of methodics of the teaching of Latin in the Netherlands are the schoolprograms, the theoretic works on pedagogics and didactics, the handbooks of the Latin Schools.

According to Simon Verepaeus († 1598) the three elements of the docendi ratio are the study of the praecepta, the reading of the boni auctores and the exercitatio.

The following points are characteristic of the methodical practice in the humanistic schools:

(1) The methods of teaching and the handbooks were adapted as well to the exigency of the pedagogical progress (good handbooks, especially written for schoolboys, were issued) as to the exigences of humanistic science and linguistics. Grammatical study, however, was not the aim of the school, but the grammar was the way to the practical knowledge of the language and the reading of good authors.

(2) The reading-material for the young latinists was chosen among the Latin authors and humanists, both Italian and Dutch, but especially the classic Roman authors were often proposed by the schoolmasters as models ad imitandum.

(3) The principle of self-activity was induced into practice by

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Latin conversation in the schoolroom and during the recreationtime, by classical repetitions and declamations, by dramatical performances and written exercices in poetics and prose; by selfmade copy books, containing the excerpta, the pupil extracts from his personal reading; by the lectio privata of Latin authors after schooltime.

(4) The knowledge of classical realia is subordinated to the literary study and formation; explanation of the realia takes place during the reading-lesson, but never ex professo.

This methodical system succeeded in making good latinists, who had a quite serious knowledge of classical Latin and who were able to use that language in every day life, conversation and correspondence.

Dr. M.A. Nauwelaerts.

Un poème inconnu du père Séraphim de Vos

Le nom du père Séraphim de Vos, poète et littérateur flamand, est resté à peu près inconnu jusqu'à nos jours. A l'imitation des rhétoriciens de son époque, ce religieux signait ses oeuvres de la devise Spiritus Ardens, qui, faussement interprétée, a été attribuée à un personnage fictif, appelé Séraphin van den Branden.

Cette erreur a été rectifiée par le P. Hildebrand, O.M.C., dans une étude détaillée, publiée en 1932. Celui-ci a fait connaître la vie et les productions littéraires de son confrère de Vos et a de ce fait rayé le nom du soi-disant Séraphin van den Branden de la liste des poètes flamands. De l'aveu même du P. Hildebrand, son étude n'épuisait pas le sujet et on pouvait s'attendre à ce que de plus amples recherches révèlent des détails encore ignorés.

Et voici, en effet, un nouveau poème du père Séraphim de Vos, découvert dans un volume de la Bibliothèque de l'Université de Gand. Cette pièce, éditée en 1720 par l'imprimeur brugeois André Wydts, est un éloge composé à l'occasion de la fête jubilaire du pharmacien Léonard de Witte, membre du magistrat de la ville de Bruges et bienfaiteur insigne des Capucins, à qui il fournissait des médicaments à titre gratuit depuis un quart de siècle.

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On savait que Séraphim de Vos, brugeois de naissance, entra dans l'ordre des Capucins à l'âge de vingt-deux ans, qu'il reçut l'habit à Louvain et mourut en 1728 au couvent de Bruxelles. Mais ses résidences successives étaient inconnues. La pièce découverte, dont le texte est réimprimé ici, prouve que le père de Vos résidait au couvent de Bruges lors des festivités en l'honneur du pharmacien de Witte.

 

A. Schouteet.


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Over dit hoofdstuk/artikel

auteurs

  • R.L. Plancke

  • Amedée Dermul

  • M.A. Nauwelaerts

  • A. Schouteet