Skiplinks

  • Tekst
  • Verantwoording en downloads
  • Doorverwijzing en noten
Logo DBNL Ga naar de homepage
Logo DBNL

Hoofdmenu

  • Literatuur & taal
    • Auteurs
    • Beschikbare titels
    • Literatuur
    • Taalkunde
    • Collectie Limburg
    • Collectie Friesland
    • Collectie Suriname
    • Collectie Zuid-Afrika
  • Selecties
    • Collectie jeugdliteratuur
    • Basisbibliotheek
    • Tijdschriften/jaarboeken
    • Naslagwerken
    • Collectie e-books
    • Collectie publiek domein
    • Calendarium
    • Atlas
  • Periode
    • Middeleeuwen
    • Periode 1550-1700
    • Achttiende eeuw
    • Negentiende eeuw
    • Twintigste eeuw
    • Eenentwintigste eeuw
Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2 (1976)

Informatie terzijde

Titelpagina van Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2
Afbeelding van Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2Toon afbeelding van titelpagina van Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2

  • Verantwoording
  • Inhoudsopgave

Downloads

PDF van tekst (3.58 MB)

XML (1.75 MB)

tekstbestand






Editeurs

P. Geyl

Geerten Gossaert



Genre

non-fictie

Subgenre

non-fictie/brieven


In samenwerking met:

(opent in nieuw venster)

© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2

(1976)–Willem Bentinck–rechtenstatus Auteursrechtelijk beschermd

Vorige Volgende

361
H. Fagel aan Willem Bentinck

[B.M., Eg. 1736]

Den Haag, 17 juni 1748

(Ik zend u de ratificatie van de acte tot redres van de declaratie van 21 meiGa naar voetnoot1) en paspoorten om deze tegen Franse paspoorten uit te wisselen).

Depuis samedy passé jusqu'à ce moment je n'ai été occupé, que dans des affaires, qui sont fort désagréables et qui causent ici beaucoup d'embarrasGa naar voetnoot2). Je parle des affaires des pachten, qui mettent presque toutes les provinces en allarme. En Hollande cela est allé si loin, que dans la ville de Haerlem, on a attaqué et ruiné six maisons des pachters, et que le magistrat a été obligé de publier, que tous les pachten seroit abolis, jusqu'à ce que le Prince en eut ordonné autrementGa naar voetnoot3). On a envoyé d'ici à Haerlem monsieur De

[pagina 40]
[p. 40]

GrovestinsGa naar voetnoot4) et deux gentilshommes du Prince pour rétablir le répos dans la ville en quoi ils ont assés bien réussiGa naar voetnoot5). On craint beaucoup pour Amsterdam, Leiden et La Haye, mais jusqu'ici rien n'y est arrivé. Dans la nuit entre samedy et dimancheGa naar voetnoot6) il y a eu ici une troupe de 300 personnes qui a voulu attaquer la maison du pachter Spijck, mais un détachement des bourgeoisGa naar voetnoot7) avec la bayonette sur le fusil estant envoyé à l'endroit, cette troupe s'est dissipée et tout est resté en tranquilité. Le samedy au matin on avoit affiché des billets à la maison de ville, pour inviter tous les patriotten, de se rendre le soir à neuf heures à la maison de Gilles et Van WeseleGa naar voetnoot8) comme des gens, qui avoient profité des milliers des pachters, afin de se vanger sur eux et de les punir comme des traîtres. Le pensionaire et le fiscal se sont plaint aux gecommitteerden raeden et ont demandé de la protection. Les gecommitteerden raeden ont fait des députations à la PrincesseGa naar voetnoot9). La Princesse leurs a donné de bonnes paroles et on a recommandé aux bourgeois de veiller et de s'adresser au Prince pour être soutenus en cas qu'il fût besoin. Mais il n'y a pas eu le moindre mouvement aux maisons de ces deux messieurs.

Les choses vont bien plus loin en Frise et en Groningue: car dans la Frise ils ont non seulement obligé les Etats de promettre que les pachten seroit à jamais abolis, mais ils ont même nommé un committé de quatre vingt deux personnes pour redresser toutes les fautes, qui seroient glissées dans le gouvernement: et le committé a pris la forme de l'assemblée des Etats, en se divisant en quatre quartiers et en faisant un minder getal d'entre-euxGa naar voetnoot10).

[pagina 41]
[p. 41]

Ils ont même nommé plusieurs commissionsGa naar voetnoot11) pour examiner en détail les finances, les emplois et plusieurs autre chose, que le Prince devoit proprement régler. Et ils ont aussi envoyé une commission de huit personnes à La Haye, avec lesquels j'ay eu le plaisir de passer hier toute la soirée.

En Groningue on avoit aussi aboli les pachtenGa naar voetnoot12) et on s'imaginoit, que présentement la tranquilité auroit été rétablie, mais bien loin de là, on a commencé à attaquer les maisons des boulangers, on veut démolir les moulins; on veut être dispensé des derniers termes du 50e. denierGa naar voetnoot13). Enfin tout est en confusion et les affaires sont dans la même situation dans le quartier de DrentheGa naar voetnoot14).

C'est un très grand malheur, que le Prince n'est pas en état d'appaiser tous ses mouvements par sa propre présence: car c'est par sa présence seule, que l'ordre peut se rétablir. Cependant je ne crois pas, qu'il sera possible pour lui de songer à ce voyage dans les premiers quinze jours. Je n'ay pas eu occasion de voir le Prince depuis jeudi au matinGa naar voetnoot15) et alors il n'estoit pas bien du tout. Depuis il a été plus mal encore et quoique la Princesse me dit tous les jours, qu'il est mieux et qu'il a assés bien dormi, la fièvre ne l'a point quitté et il est extrêmement bas, de sorte qu'il ne peut vaquer à aucune affaire et que tout se doit traiter avec la Princesse.

J'aurois bien souhaitté que dans un temps comme celuy-ci, vous eussiés pu être à La Haye, pour nous diriger. De Back et moy, dans nos avis: et si les choses vont plus loin, ce que je veux espérer que non, je presseray la Princesse de vous prier à faire un tour ici.

[pagina 42]
[p. 42]

Il y a un autre point, sur lequel j'aurois fort souhaité d'avoir votre avis, c'est sur l'envoy de monsieur Larrey en France. Il est arrivé ici et m'a écrit un billet pour me l'annoncer. Je n'ay pas eu le temps de le parler: ainsi je ne sçauray dire s'il est entièrement dégagé du service du roi de Prusse. Je crois, qu'on sera obligé de l'envoyer au plutost à ParisGa naar voetnoot16) et de luy donner la commission de insister sur l'évacuation de nos places et sur le restablissement du traité de commerce de 1739. Il doit passer par Aix, pour y prendre vos informations, selon ce que vous avés insinué dans un de vos lettres. Il me semble, qu'il seroit bon, qu'il y eut aussi quelqu'un à Paris de la part de l'Angleterre, pour pouvoir l'appuyer et comme le frère de mylord Anson y est, je vous donne en consideration, si mylordGa naar voetnoot17) ne pourroit pas luy charger de cette commission. C'est seulement une idée, qui m'est venue et je le laisse à votre directionGa naar voetnoot18).

La lettre de vous quatre, touchant Maestricht, a été lue dans la conférence et a été faite commissioriale. On a cru ici, que puisque ce ne sont encore que des appréhensions du magistrat, il vaut mieux, que l'état n'y intervienne pas encore et qu'on attende l'effet des représentations, que vous avés fait à monsieur de St. Séverin. Après quoi lorsque Larrey y sera, on peut toujours lui en écrireGa naar voetnoot19).

Je vous envoye ci-joint une note, que la cour de Russe a fait remettre à De Swart et que GolowkinGa naar voetnoot20) m'a communiqué. J'ay tâché de faire comprendre, qu'on ne devoit prendre aucun ombrage de ce qu'on a fait auprès du roi de Prusse, qu'il n'a pas été mêlé dans la négociation de la paix et que les affaires sont changées depuis les préliminaires, dont Golowkin a esté contentGa naar voetnoot21).

[pagina 43]
[p. 43]

Je vous envoye une autre pièce que Hop a envoyé d'Angleterre au sujet de la restitution de nos vaisseaux. Je vous avoue, qu'elle me paroit peu satisfaisante et après toutes les promesses, que le duc de Newcastle et mylord Sandwich nous ont fait, je crains beaucoup, qu'on sera fort mécontent, quand on verra, qu'on donne si peu de contentement et je ne vois pas, comment on peut contester le traité de 1674Ga naar voetnoot22), et si l'on ne se tient pas à cette règle, il n'y a aucune restitution à espérer. Pour moi je ne sçai plus, que répondre aux marchands et si on ne fait pas quelque chose de plus satisfaisant, votre credit aussi bien que le mien en soufrira furieusement.

(Uw broer is in Overijssel. De Back en ik zullen hem berichten terug te keren, daar Newcastle woensdagGa naar voetnoot23) uit Engeland vertrekt. Ik sluit een brief van de Staten Generaal uit 1715 over de barrière inGa naar voetnoot24). Geef hem aan Eversdyck om hem achterin Townsends boek af te drukkenGa naar voetnoot25).

Dans ce moment je reçois une lettre de Leide, que la même commotion sur l'affaire des pachters y commenceGa naar voetnoot26). Je n'ay point d'idée quelle en sera la fin: car si l'on est obligé de les abolir, sans qu'il y ait d'autres moiens en place, toute le finance est en confusion.

voetnoot1)
Zie Ned. Jb. 1748, p. 579 vlg.
voetnoot2)
Dotingh, Echt Verhaal; Korte Schets; Vegelin van Claerbergen.
voetnoot3)
Te Haarlem begonnen de woelingen op 13 juni. De hier genoemde publikatie werd op 14 juni afgekondigd, Ned. Jb. 1748, p. 439 vlg.
voetnoot4)
D. Sirtema van Grovestins.
voetnoot5)
Burmania en Thierry. Zie Ned. Jb. 1748, p. 443 vlg.
voetnoot6)
De nacht van 15 op 16 juni. Zie ibidem, 453, waar de datum echter onjuist is.
voetnoot7)
Een schuttersvendel. De schutterij bestond uit de burgers die geen politieke rechten bezaten. Zij vormden een groep tussen de regenten en de bezitlozen, die door de tijdgenoten het ‘grauw’ of het ‘gemeen’ werden genoemd.
voetnoot8)
Anthony van Wezele, tot 1749 fiscaal van Holland, daarna fiscaal en procureur generaal van de gecommitteerde raden. Hij ging door voor staatsgezind, werd desondanks in 1748 veel geraadpleegd over nieuwe belastingplannen.
voetnoot9)
De Prins was nog ernstig ziek.
voetnoot10)
De Staten plachten uit hun midden een mindergetal te kiezen een commissie die alle onderwerpen behandelde voordat deze in de Statenvergadering kwamen. Ned. Jb. 1748, p. 535 vlg.
voetnoot11)
Het mindergetal uit het comité van tweeentachtig bestond uit vierentwintig leden, die drie afdelingen van elk acht leden hadden gevormd, respectievelijk ter beraadslaging over de financiën, kohieren en ambten.
voetnoot12)
Zij waren op 15 en 16 mei zowel door de stad als door de Staten afgeschaft, maar de nieuwe regeling leverde bezwaren op en pas op 10 juni gaven de Staten geheel toe.
voetnoot13)
De zogenaamde ‘liberale gift’, een belasting van 2% op het vermogen, in Holland uitgeschreven op 12 september 1747, teneinde de oorlog voort te kunnen zetten. De andere gewesten en de VOC volgden dit voorbeeld. De ‘gift’ werd in vier termijnen betaald. Te Groningen moest de eerste termijn voor 1 mei 1748 betaald zijn; in de Ommelanden was dit begin augustus nog niet geschied. Zie Ned. Jb, 1748, p. 386, 562, 746 vlg.
voetnoot14)
Ibidem. p. 765 vlg.
voetnoot15)
13 juni.
voetnoot16)
Bentinck II, nr. 342.
voetnoot17)
Sandwich.
voetnoot18)
Hiervoor voelde de Prins niet. Hij wenste te wachten, totdat de Engelsen te Parijs een geschikte figuur hadden. Zie Beer, p. 142.
voetnoot19)
Bentinck II, nr. 357, 358.
voetnoot20)
De Swart: zie Bentinck II, nr. 355, n. 2. Alexander Golowkin, Russisch gezant in Den Haag.
voetnoot21)
De keizerin van Rusland had geen uitnodiging voor het congres te Aken ontvangen, omdat Frankrijk dit niet wenste. Hierover was zij verontwaardigd, maar bovendien kwam daarbij haar vermoeden dat Frederik II wel tot de onderhandelingen was toegelaten. Dit was echter niet het geval. Zie Beer, p. 57.
voetnoot22)
Dit verdrag bepaalde hoofdzakelijk, dat - wanneer één der zeemogendheden in oorlog was - de ander met haar vijand vrij handel mocht drijven, behalve in contrabande, welk begrip echter zeer eng was gedefinieerd. Scheepshout bij voorbeeld was geen contrabande. Zie Wagenaar, Vad. Hist. XIV, p. 338 vlg.
voetnoot23)
19 juni.
voetnoot24)
Bevindt zich niet bij deze brief van Fagel.
voetnoot25)
Op 17 juni 's namiddags. Zie Ned. Jb. 1748, p. 469.
voetnoot26)
Bijlagen: de door Golowkin overhandigde nota en een afschrift van het rapport van de attorney-general van 5 mei 1748 over de teruggave van Hollandse schepen, ontvangen op 10 juni 1748.

Vorige Volgende

Footer navigatie

Logo DBNL Logo DBNL

Over DBNL

  • Wat is DBNL?
  • Over ons
  • Selectie- en editieverantwoording

Voor gebruikers

  • Gebruiksvoorwaarden/Terms of Use
  • Informatie voor rechthebbenden
  • Disclaimer
  • Privacy
  • Toegankelijkheid

Contact

  • Contactformulier
  • Veelgestelde vragen
  • Vacatures
Logo DBNL

Partners

Ga naar kb.nl logo KB
Ga naar taalunie.org logo TaalUnie
Ga naar vlaamse-erfgoedbibliotheken.be logo Vlaamse Erfgoedbibliotheken

Over het gehele werk

titels

  • Briefwisseling en aantekeningen


auteurs

  • Geerten Gossaert

  • P. Geyl

  • over Frederik Hendrik van Wassenaer

  • over Charles J. Bentinck

  • over Hendr. Fagel

  • over A.A. Iddekinge

  • over Charles J. Bentinck


landen

  • over Groot-Brittannië (en Noord-Ierland)


Over dit hoofdstuk/artikel

datums

  • 17 juni 1748