Skiplinks

  • Tekst
  • Verantwoording en downloads
  • Doorverwijzing en noten
Logo DBNL Ga naar de homepage
Logo DBNL

Hoofdmenu

  • Literatuur & taal
    • Auteurs
    • Beschikbare titels
    • Literatuur
    • Taalkunde
    • Collectie Limburg
    • Collectie Friesland
    • Collectie Suriname
    • Collectie Zuid-Afrika
  • Selecties
    • Collectie jeugdliteratuur
    • Basisbibliotheek
    • Tijdschriften/jaarboeken
    • Naslagwerken
    • Collectie e-books
    • Collectie publiek domein
    • Calendarium
    • Atlas
  • Periode
    • Middeleeuwen
    • Periode 1550-1700
    • Achttiende eeuw
    • Negentiende eeuw
    • Twintigste eeuw
    • Eenentwintigste eeuw
Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2 (1976)

Informatie terzijde

Titelpagina van Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2
Afbeelding van Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2Toon afbeelding van titelpagina van Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2

  • Verantwoording
  • Inhoudsopgave

Downloads

PDF van tekst (3.58 MB)

XML (1.75 MB)

tekstbestand






Editeurs

P. Geyl

Geerten Gossaert



Genre

non-fictie

Subgenre

non-fictie/brieven


In samenwerking met:

(opent in nieuw venster)

© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2

(1976)–Willem Bentinck–rechtenstatus Auteursrechtelijk beschermd

Vorige Volgende

550
Willem Bentinck aan Charles Bentinck

[B.M., Eg. 1728]

Wenen, 30 oktober 1749

Je vous envoye copie de la lettre, que j'écris au Prince touchant le prince LouisGa naar voetnoot1). J'espère, que vous l'approuverez. Je vous dirai, qu'il n'y a aucune espérance de faire relâcher le prince Louis sur l'article du régiment et du généralatGa naar voetnoot2), qu'il veut conserver dans ce service-ci.

Vous voyez bien, que c'est une retraite honnête, qu'il veut se réserver en cas, qu'il voye, qu'il ne peut être d'aucune utilité dans la nouvelle carrière, qu'il entreprendroit. L'impératrice me l'a dit

[pagina 314]
[p. 314]

tout net. Mon opinion est, qu'il faut passer là-dessus, nous ne pouvons nous en passer et sans lui l'on ne remettra jamais les affaires; outre que si un malheur arrivoit au Prince tout est perdu et la régence de la Princesse seroit très mal assurée. L'on devroit engager le Prince à offrir au prince Louis le gouvernement de Boisleduc, laGa naar voetnoot3) du régiment des gardes à pied et 30.000 florins d'appointemens ou au moins 25.000, si nos finances le permettent, je dirois davantage, car il faut qu'il vive et qu'il figureGa naar voetnoot4). Il est bon oeconome et a beaucoup d'ordre. Je vous prie d'en parler au pensionnaire Stein en lui faisant bien des amitiés de ma part et concertez avec lui ce qui doit être fait et comment, mais poussez cette affaire-ci quovis modo et faites ensorte que l'on me renvoye au plutôt une réponce et des ordres précis, mais pas trop limites pour que je n'aye que faire d'en redemander.

Vous recevrez une lettre ouverte adressée à ma mèreGa naar voetnoot5). Vous la lirez et l'enverrez à son adresse. Vous y verrez l'état où est mon affaire et comment par uneGa naar voetnoot6) du comte d'Uhlfeld, je me trouve dans tout cet embarras. Gardez pourtant cette circonstance par devers vous. Ce mal est fait. Il s'agit du remède. Je ne veux pas faire aucun reproche au comte d'Uhlfeld, qui doit m'aider pour le remède. Mais cela me tiendra ici plus que je n'avois cru. J'aurai le tems de voir la fin de l'affaire du prince Louis, pourvu que l'on ne la traîne pas en Hollande. Auquel cas et si l'on remarque ici du refroidissement de la part du prince d'Orange dans une affaire que j'ai représentée comme si importante, cela fera un très mauvais effet. Ne seroit-il pas bon, que le prince d'Orange écrivit lui même une lettre concertée ou du moins fit écrire par vous au prince LouisGa naar voetnoot7). Jusqu'à présent tout roule sur moi seul.

Vestigia terrent. Je ne sçaurois vous dire combien la maladie de Burmania m'a embarassé et retardé. Il est au fait ici. Et il a bon jugement. Sans lui il est impossible de rien faire ici pour les Païs BasGa naar voetnoot8). Il a été très mal et en grand danger. Il se remet lentement,

[pagina 315]
[p. 315]

est encore en robe de chambre et manque de forces. La saison est mauvaise et le tems encore plus mauvais pour lui. D'abord qu'il sera en état de travailler, nous concertons à qu'il y a à faire; mais je vous dirai d'avance mon opinion, savoir qu'il ne faut pas menacer ni parler haut. Nous sommes trop petits et trop peu considérés pour cela. Le seule voye est celle de la persuation. Et si elle ne réussit pas, il faudra venir à un tempérament, tel que je l'ai proposé à La Haye. Mais il ne faut pas commencer par aigrir et cabrer, lorsqu'on veut finir. L'on est ici assez sujet à se cabrer. Tous les ministres ont passé premièrement par le conseil aulique et entendent la chicane. Il faut éviter avec eux, ce qui y donneroit lieu. Mais ce qui importe le plus, c'est que l'Angleterre se resolve à contribuer pour les Païs Bas. Ce que j'ai proposé à La Haye étoit, que, pour finir cette affaire, la République se relâchât de 250.000 florins, que l'Angleterre donnât annuellement 250.000 et que les Païs Bas ne payassent que 750.000 florins au lieu de 1.250.000 florins, ce qui seroit un gain reël de 500.000 florins pour les Autrichiens. La République recevroit un million par an et elle ne peut s'en passer. Ce que j'appréhende, si cette affaire traîne, c'est que W. Haren, qui veut briller et qui est étourdi ne l'embrouille. O. Haren (le greffier vous le dira) vouloit à Aix la Chapelle commencer par prendre le haut ton avec les Autrichiens sur l'affaire des Païs Bas avant de traiter avec la FranceGa naar voetnoot9). A présent ces deux frères s'entendent. L'aïné, qui est dans la misèreGa naar voetnoot10), est dépendant du cadet et celui-ci est homme à mettre le feu à la maison, pourvu qu'il cuise son oeuf. Cela fait, que d'un côté, je souhaite d'autant plus de voir l'affaire finie et que de l'autre je vais plus bride en main, parce que ce seroit une faîte pour ces messieurs de me faire désavouer, soit directement ou indirectement. D'abord que Burmania pourra agir nous concerterons avec Keith (dont les ordresGa naar voetnoot11) suffisent pour le commencement) comment entamer l'affaire. Il faudra prendre des précautions pour que d'ici l'on ne donne pas de réponce aigre, qui rompe l'affaire. C'est à quoi je m'imagine que je vois jour. Et puis il faudra mander en Angleterre,

[pagina 316]
[p. 316]

comment l'on doit répondre. Car il ne faut absolument pas rompre. Pour moins du moins je ne veux pas avoir à me le reprocher.

J'ai été charmé de la résolution, que le roi comme électeur a prise de contribuer pour CologneGa naar voetnoot12). Je l'ai dit à l'empereur, à qui cela a fait beaucoup de plaisir et je suis persuadé, que cela fera un très grand effet ici et donnera de la confiance. Personne ne le savoit ici. On l'a appris par moi. De la façon que Burmania m'a parlé de l'affaire de la SilésieGa naar voetnoot13), elle a été traitée d'une façon indigne par le précédent gouvernement du tems des négotiations avec le roi de Prusse. Je verrai avec lui s'il y a moyen d'y faire quelque chose. Je souhaiterois fort, que l'on peut réussir, parceque cela feroit un grand effet pour réünir les esprits en Hollande et je serois charmé d'y avoir contribué. Mais j'en désespère presque. Encore faut-il attendre, qu'il puisse sortir et agir. Celui, que monsieur DuitzGa naar voetnoot14) a envoyé ici est au fait de la nature des obligations et de la dette des comptes etc. mais du reste n'en sait rien ...Ga naar voetnoot15).

Je vous envoye des copies des lettres, que le prince d'Orange m'a données pour l'empereur et pour l'impératrice. Vous y verrez de quelle façon je serois autorisé à parler à tous les deux, en cas de besoin, sur les affaires générales et combien peu cela cadreroit avec l'idée des Haren etc. pour faire de l'affaire des Païs Bas un compelleGa naar voetnoot16) pour engager cette cour à entrer dans les engagemens pour un système général défensif ou du moins de faire précéder l'arrangement des affaires des Païs Bas.

voetnoot1)
Archives IV, II, p. 30 vlg.
voetnoot2)
Dat wil zeggen zijn keizerlijke infanterie-regiment en zijn waardigheid van generaal van het Rijk.
voetnoot3)
Invoegen: commandement?
voetnoot4)
Het antwoord van de Prins op deze suggestie in Archives IV, II, p. 43 vlg.
voetnoot5)
Dit gedeelte van de brief gaat kennelijk over de moeilijkheden welke nog steeds voortvloeien uit zijn scheiding. Zie Van Huffel, p. 119 vlg.
voetnoot6)
Invoegen: faute?
voetnoot7)
Dit deed de Prins 11 november daar op volgend. Zie Archives IV, II, p. 45 vlg.
voetnoot8)
De Oostenrijkse Nederlanden, met andere woorden de barrièrekwestie.
voetnoot9)
Zie Bentinck I, p. 427 vlg.
voetnoot10)
Zie Bentinck II, nr. 381 alsmede Archives IV, I, p. 470 vlg.
voetnoot11)
Als antwoord op een resolutie der Staten Generaal, om Engeland om gezamenlijk optreden te verzoeken, verzond Newcastle 14 november aan Keith de order hoe te handelen ten aanzien van de barrière kwestie. Zolang deze order er niet was, dacht Bentinck niets te kunnen beginnen, maar nu meende hij dat Keith voldoende volmacht had om althans te beginnen. Zie Archives IV, II, p. 8 vlg., 12, 38 vlg.
voetnoot12)
16 oktober 1749 werd een subsidieverdrag met de aartsbisschop van Keulen gesloten om te verhinderen dat hij zich bij Frankrijk zou aansluiten. Hannover werd f 200.000, - per jaar toegezegd. De helft van het subsidie kwam voor rekening van de koning van Engeland als keurvorst van Hannover. Zie Kalshoven, p. 62 vlg. en Archives IV, II, p. 25 vlg., 40 en 60 vlg. Ook Bentinck II, nr. 555.
voetnoot13)
Er was veel geld door Nederlanders aan de keizer geleend op onderpand van de inkomsten uit Silezië. Nadat Silezië Pruisisch geworden was, had de Republiek tevergeefs getracht deze zaak met Frederik II te regelen; te Wenen had dit kwaad bloed gezet. Zie ook Wilson, Anglo-Dutch Finance, p. 69.
voetnoot14)
Vermoedelijk Daniel Deutz.
voetnoot15)
Onleesbaar.
voetnoot16)
Verfransing van het Engelse to compel?

Vorige Volgende

Footer navigatie

Logo DBNL Logo DBNL

Over DBNL

  • Wat is DBNL?
  • Over ons
  • Selectie- en editieverantwoording

Voor gebruikers

  • Gebruiksvoorwaarden/Terms of Use
  • Informatie voor rechthebbenden
  • Disclaimer
  • Privacy
  • Toegankelijkheid

Contact

  • Contactformulier
  • Veelgestelde vragen
  • Vacatures
Logo DBNL

Partners

Ga naar kb.nl logo KB
Ga naar taalunie.org logo TaalUnie
Ga naar vlaamse-erfgoedbibliotheken.be logo Vlaamse Erfgoedbibliotheken

Over het gehele werk

titels

  • Briefwisseling en aantekeningen


auteurs

  • Geerten Gossaert

  • P. Geyl

  • over Frederik Hendrik van Wassenaer

  • over Charles J. Bentinck

  • over Hendr. Fagel

  • over A.A. Iddekinge

  • over Charles J. Bentinck


landen

  • over Groot-Brittannië (en Noord-Ierland)


Over dit hoofdstuk/artikel

datums

  • 30 oktober 1749