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Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2 (1976)

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Editeurs

P. Geyl

Geerten Gossaert



Genre

non-fictie

Subgenre

non-fictie/brieven


In samenwerking met:

(opent in nieuw venster)

© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2

(1976)–Willem Bentinck–rechtenstatus Auteursrechtelijk beschermd

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589
Charles Bentinck aan Willem Bentinck

[B.M., Eg. 1728]

Den Haag, 26 februari 1750

(Particuliere mededelingen). L'affaire du collège de Leyde attendra votre retour, le Prince est fort porté pour Esgers, mais je lui ai toujours soutenu, que les services, que ce professeur lui a renduGa naar voetnoot1) ne sont pas une raison pour le mettre à la tête de ce collège, où il ne convient pas et qu'il peut le récompenser d'une autre manière.

[pagina 363]
[p. 363]

J'ai remis au Prince les papiers du prince de LichtensteijnGa naar voetnoot2). Quant à monsieur Burmania il trouvera je crois à son arrivée ici tout le monde fort disposé à lui rendre service.

Je viens à présent à l'affaire, qui a le plus occupé ici, depuis longtems: c'est celle de Cologne, qui m'a donné beaucoup de peine et beaucoup de chagrin. Vous avez vu par ma dernière du 3 où elle en étoit alors et comment je l'ai empêché de se rompre. Depuis ce tems là, cela a traîné, parceque le Prince me pressoit toujours d'aller en Angleterre et que je le refusois constamment. Mais enfin le 10 S.A. m'a parlé en particulier sur ce voyage et m'a dit, que je voyois, qu'il falloit, qu'on y envoyât quelqu'un et que qui que ce fut, qui y allât n'y feroit que du mal; que j'étois le seul, qui pouvois y traiter cette affaire sans que cela causât d'aigreur; le Prince continua à me prier instamment de me déterminer à m'en charger; que pour me faciliter le succés on me donneroit le pouvoir d'accorder que nous payassions la moitié du subside, pourvu que l'Angleterre parut dans le traité et qu'on n'iroit pas si loin, si un autre étoit chargé de la commission. Je répondis toujours la même chose et lui dis, que j'étois persuadé, que je ne réussirois pas et que je ne voyois pas, qu'il fut juste, que ce fut moi, qui m'allasse cacherGa naar voetnoot3) le nez pour une affaire, que je n'approuvois pas. Mais enfin le lendemain matin il me reparla encore et me pressa si fort par les sentimens d'amitié et de confiance en me disant même, que je n'avois pas à craindre que mon absence ne fit aucun tort, parcequ'il retiendroit toute affaire tant soit peu importante, jusqu'à mon retour, que je consentis à aller, afin que quelqu'autre ne put y faire du mal. De plus le pensionnaire et le greffier, qui au commencement n'avoient pas été pour que je m'absentasse, avoient cédé aux raisons et aux persuasions du Prince, de sorte que je restois seul contre tous et je craignois, que cela ne fut pris pour opiniâtreté de ma part et que cela ne put gâter d'autres affaires. Je partis donc le 12. pour LondresGa naar voetnoot4) et n'y restai que cinq jours. Quoique je ne pus pas obtenir, que l'Angleterre parut dans la convention avec l'électeur de Cologne, comme on le souhaitoit ici, je suis venu à bout de faire donner ordre à Holdernesse de déclarer au Prince, 1o que la proposition de moitié qui aura lieu dans le cas du subside à donner à l'électeur de Cologne, n'opérera

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[p. 364]

pas en aucune façon dans les engagemens subsidiaires, à prendre à l'avenir avec d'autres princes par les puissances maritimes; 2o Que si la France cherchoit chicane à la République par rapport aux engagemens pris avec S.A., l'électeur de Cologne, S.M. avoueroit et soutiendroit la chose non seulement comme électeur, mais aussi comme roisGa naar voetnoot5).

Il me paroît, qu'après avoir gagné ces deux points là, contre toute attente, j'avois raison d'écrire sur-le-champ au Prince, que j'espérois, qu'on concluroit immédiatement l'affaire. Ma lettre est arrivée vendredi passé, le 20 et Holdernesse a communiqué le lendemain les ordres, qu'il avoit reçu. Mais vous verrez par une des pièces ci-jointesGa naar voetnoot6) ce qui s'est passé dans la conférence chez le Prince et les jolis tours, que Gronsfeld et De Back ont donné à la chose; que le premier dit n'être en rien changée par ces deux déclarations; les expédiens du second sont aussi fort curieux, surtout après qu'une des premières difficultez avoit été le mauvais état de nos finances. Ces deux messieurs avoient pourtant si bien lanterné aux oreilles du Prince, qu'ils l'avoient mis dans le bel état où il dit se trouver, in equilibrio indifferentiae, que je ne saurois interpreter en termes fort avantageux et sans le pensionnaire et quelques autres membres de l'assemblée de Hollande le Prince par son équilibre auroit laissé manquer l'affaire et j'aurois eu le plus vilain soufflet du monde. Mais enfin la chose passa

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[p. 365]

lundi dans le corps des nobles, contre Twickel, HompeschGa naar voetnoot7) et Gronsfeld et ensuite dans les états de Hollande après des débats de 4 ou 5 heures occasionés par les incertitudes du Prince. Notez s'il vous plaît, que Gronsfeld et De Back avoient tous les deux été d'avis, que j'allasse en Angleterre.

Monsieur de Gronsfeld a lâché une chose devant quelques personnes, dont l'une me l'a reditGa naar voetnoot8) et comme je la trouve fort notable, je crois, qu'il faut, que vous la sachiez. Il dit, que son système étoit, que le Prince devoit toujours ménager l'amitié de la France, afin d'empêcher par ce moyen le roi d'Angleterre de le gouverner.

Le Prince est incommodé d'un gros rhume, de sorte que depuis mardi au soirGa naar voetnoot9) que je suis revenu ici, je n'ai pu entretenir comme je le veux sur sa conduite dans cette affaire, parceque je ne veux pas l'exiter à parler, ni l'échauffer.

Le 27e j'ai eu une longue conversation ce matin avec la Princesse dans laquelle je lui ai dit ce que je pensois sur la conduite du Prince dans l'assemblée de Hollande; que par cette conduite il avoit risqué de faire manquer la chose, de me faire faire la plus misérable figure du monde en ne me soutenant pas et de ruiner en Angleterre ceux, qui tiennent notre parti; que de plus le Prince se faisoit le plus tort du monde de paroître indéterminé, comme il avoit fait dans l'assemblée, parceque personne ne croiroit que cela vint uniquement de sa délicatesse à ne vouloir pas paroître faire une chose simplement par complaisance pour le roi. La Princesse a justifié le Prince autant qu'elle a peu comme de raison, mais le tout s'est passé sans dispute, aigreur, ni ergotterieGa naar voetnoot10); aussi n'y a-t-il pas eu la moindre ombre de mauvaise humeur ni d'un côté, ni d'autre.

Vous me demandez, où j'en suis avec le P.S.Ga naar voetnoot11). Je vous ai déjà mandé une fois, que je le conservois jusqu'à votre retour pour voir s'il n'y auroit moyen de raccommoder cette brouillerie. J'ai toujours vu, qu'elle vous fait de la peine, voilà pourquoi je n'ai pas voulu être mal avec lui et comme je ne suis pas de votre avis sur les éclaircissemens j'en ai eu un avec lui il y a plus de quatre mois,

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[p. 366]

sur ce qu'il n'avoit pas fort bien agi avec moi; je lui ai parlé de grand sang-froid et lorsqu'il vouloit s'échaufer, je revenois toujours: ‘point d'emportement s'il vous plaît, car je ne veux pas disputer’; moyennant quoi je l'ai mis dans son tort, il en est convenu et nous nous sommes toujours vu depuis. Entre vous et lui il y a une grande difficulté, c'est que vous ne convenez encore ni des faits ni des termes et sans une explication de sans-froid je ne sais comme lever cette difficulté; je souhaiterois, que cette explication passât par mon canal, parceque je n'échaufferois ni n'aigrirois les esprits. J'ai déjà une difficulté ici. C'est que TrembleyGa naar voetnoot12) est venu d'Angleterre avec moi pour vous voir, si vous ne tardez trop à venir. Le P.S. est fort échauffé contre lui aussi et il faut, que je tâche de les remettre bien ensemble.

(Over zijn idee van vriendschap; heeft nooit een vriend verloren dan door de dood. Over Trembley).

voetnoot1)
Vergelijk Archives IV, I, p. 513.
voetnoot2)
Wenzel vorst van Liechtenstein, veldmaarschalk.
voetnoot3)
Lees: casser.
voetnoot4)
Vergelijk Kalshoven, p. 65 vlg.
voetnoot5)
Onderstreping in het origineel.
voetnoot6)
In B.M., Eg. 1728, fo. 336-338, 339-340 deze stukken, ‘Notulen van het gepasseerde in de vergadering van Holland over het sluyten van een conventie met den Ceurforst van Ceulen den 21, 22, 23 Febr. 1750’. In deze notulen: De Prins had een brief van Charles Bentinck ontvangen; Willem IV sprak met Holdernesse die een brief had ontvangen van Newcastle. Willem IV was niet tevreden, de Prinses wilde accepteren. De raadpensionaris sprak met de Amsterdamse heren en had 's avonds besogne met Gronsfeld, Steyn, griffier Fagel en De Back. Nadat ieder zijn mening had kenbaar gemaakt werd de vergadering tot de volgende dag, zondag 22 februari, verdaagd. Op zondag kwamen vertegenwoordigers van de provincies met de griffier bijeen. Iedereen bracht advies uit. Besloten werd dat maandag de Staten van Holland bijeen zouden komen en daarna het Secreet Besogne. De Prins bezocht die dag de beide vergaderingen. Daarna besloot het Besogne ‘de ordre af te senden aan Wartensleben om te sluiten’. Maandag bood de Haarlemse pensionaris tegenstand omdat hij meende dat Willem IV tegen was. Gronsfeld bleef gedurende al deze besprekingen vlak naast de stoel van de Prins staan ‘en heeft wel sorg gedragen, dat niemand met Z.H. in stilte kost spreken, om dus te beletten, dat Z.H. sig zoude expliceren’.
voetnoot7)
Vincent Willem Hompesch. Zie onder andere Ned. Jb. 1753, p. 1212 en ibidem, 1765, p. 198.
voetnoot8)
Volgens Fagel had Gronsfeld dit tegen hem, De Back en de raadpensionaris gezegd. Zie Archives IV, I, p. 436, 438.
voetnoot9)
24 februari
voetnoot10)
De Prinses was trouwens voor het sluiten van het tractaat op de door Engeland gewenste wijze. Zie Kalshoven, p. 66.
voetnoot11)
Zie Bentinck II, nr. 606. P.S. onduidelijk.
voetnoot12)
Zie ibidem, nr. 338.

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Over het gehele werk

titels

  • Briefwisseling en aantekeningen


auteurs

  • Geerten Gossaert

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landen

  • over Groot-Brittannië (en Noord-Ierland)


Over dit hoofdstuk/artikel

datums

  • 26 februari 1750