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Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2 (1976)

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Editeurs

P. Geyl

Geerten Gossaert



Genre

non-fictie

Subgenre

non-fictie/brieven


In samenwerking met:

(opent in nieuw venster)

© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2

(1976)–Willem Bentinck–rechtenstatus Auteursrechtelijk beschermd

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699
Journaal van Willem Bentinck

[B.M., Eg. 1732]

2 mei 1751

J'allai voir la Princesse. Au pallierGa naar voetnoot1) du grand escalier monsieur le fiscal Van Wesele me vint joindre et pendant, qu'on m'anonçoit à la Princesse, j'entrai avec lui dans la chambre de musique. Il commença de lui-même à me dire, qu'il y avoit encore deux personnes au Gevangen Poort. Je lui demandai à quelle occasion. Il dit, que c'étoit à l'occasion des fautes commises à Amsterdam dans le comtoir du collecteur de l'impôt sur le beurre, où il s'étoit trouvé des billets, qui avoient servi deux fois, d'autres où les noms avoient été écrasés au couteau et d'autre noms mis à la place, enfin des faussetés terribles; qu'il étoit venu pour en parler à la Princesse, le Prince étant incommodé.

Sur quoi je l'interrompis assez brièvement en lui demandant ce que le Prince ou la Princesse avoit à faire dans une affaire pareille; que selon moi ils n'y avoient pas plus à faire que moi ou que le page, que je lui montrai et qui passoit par la chambre. Il me dit, que j'avois raison, mais que ce qui l'embarrassoit (lui fiscal) étoit que celui, qui étoit accusé d'être l'auteur de ces faussetés, étoit un nommé WachelooGa naar voetnoot2), collecteur de l'impôt du beurre à Amsterdam et que cet homme étoit apparenté au général Rouse. Je lui deman-

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dai, ce que cela faisoit. Il me dit, que cela n'y faisoit rien, ni n'y devoit rien faire.

Je lui dis, que c'étoit ce qui me sembloit aussi et que je ne pouvois pas comprendre comment on mêloit le Prince dans une affaire, qui étoit pendante devant les gecommitteerde raden et qui étoit une affaire simple de justice et où il ne s'agissoit que de savoir si un collecteur (dont le nom ou la parenté ne font rien à l'affaire) avoit fraudé ou non; que l'on pouvoit tout aussi bien parler au Prince de toute autre affaire de justice de tous les différents tribunaux au païs, tant dans les villes que dans le plat païs; que le baillif de Kennemerland avoit autant de droit que lui fiscal d'aller incommoder le Prince d'une action dans son balliage et que mon baillif de Rhoon avoit le même droit aussi, lui demandant où cela s'arrêteroit. Après quoi je lui dis, que la parenté de Wacheloo avec Rouse étoit une raison pour n'en parler au Prince, ni à la Princesse, pour leur éviter l'embarras, où cela les mettroit infailliblement.

J'ajoutai, que j'étois d'opinion, qu'il faloit aller en avant, comme je lui avois déjà dit à une autre occasion, dans l'affaire des collectes, sans aucune considération personnelle pour qui que ce fut sans aucune exception, sans quoi les collectes iroient en mine et au diable; qu'il faloit expédier ces affaires et ne les point laisser traîner; que cela étoit important partout, mais surtout à Amsterdam; qu'un exemple ou deux statués à tems empêcheroient vingt autres de se rendre malheureux; que la sévérité envers les collecteurs étoit absolument nécessaire pour établir la confiance parmi le peuple, qui doit payer et enfin que de quelque côté que l'on tournât la chose la conclusion étoit toujours la même; mais que le Prince et la Princesse y avoient autant à faire que moi et pas plus.

Monsieur Van Wesele me dit que j'avois raison, qu'il pensoit tout comme moi - l'on à beaucoup mes sentiments - et me dit, qu'il seroit à souhaiter, que tout le monde pensât ainsi et préférât la justice à la protection pour ceux, qu'on avoit recommandés; qu'il seroit bien allé son train dans cette affaire-ci, sans se mettre en peine de rien, mais qu'il avoit cru devoir prévenir le Prince et la Princesse contre les mauvaises impressions, qui leur pourroient être données par ceux, qui étoient autour de leurs personnes. Je lui dis, que c'étoit une raison pour aller haut à la main si conformément aux loix et à la justice, qu'il ne put pas y avoir d'équivoque, ni de doute et qu'alors ces mauvaises impressions ne pouvoient avoir lieu et que j'étois sûr, que le Prince et la Princesse conviendroient des principes, que je posois et de leurs conséquences. Sur quoi il me dit, qu'il ne seroit pas venu en parler au Prince

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ni à la Princesse, s'il n'en avoit reçu l'ordre, mais qu'il ne pouvoit pas se dispenser de donner connoissance au Prince de ce dont S.A. vouloit être informé.

Je convins avec lui, que si le Prince ou la Princesse vouloient être informés des faits, il ne pouvoit se dispenser de les en informer ce que personne ne pouvoit faire plus au juste que lui, puisqu'il étoit l'accusateur au nom du souverain. Du reste je lui conseillai très fortement de dire au Prince et à la Princesse tout ce que je venois de lui dire sur la façon de traiter les affaires de justice et dont j'étois charmé, qu'il fut convenu avec moi; et que j'étois persuadé, que le Prince et la Princesse, bien informés, penseroient tout de même. Il me dit, que les collectes alloient à merveille et avoient déjà rapporté cette année pendant les premiers mois plus de 200 mille fl. de plus, que l'année passée à pareil terme; qu'il ne doutoit pas, que cette année ne rapportât au moins un million de plus, que l'année passée et qu'il se flattoit d'améliorer encore le revenu des collectes; que ce succès l'animoit et lui donnoit du courage au milieu de l'accablement où il étoit et du travail dont il étoit chargé. Je lui dis, que je trouvois, qu'il avoit raison d'être animé par le succès; mais que si l'on ne poussoit avec la dernière rigueur et sévérité tout ce qui regardoit les fraudes des collecteurs, toute la collecte tomberoit. Et il en convint me louant beaucoup et en termes très recherchés sur ma façon de penser. Sur quoi je le priai très instamment de traiter avec la dernière rigueur ceux, que j'avois recommandés ou que je recommanderois et de les faire prendre par préférence pour servir d'exemples à d'autres.

 

La conversation étant finie je me mis à jouer d'un clavecin, qui se trouvoit là. Puis me promenant par la chambre il m'accorda de nouveau et me parla de tout le bruit, qu'il y avoit eu à Amsterdam à l'occasion du balliage donné à Van de PollGa naar voetnoot3). Il me dit, qu'il ne comprenoit pas comment le baillifGa naar voetnoot4) d'Amsterdam restoit tranquil-

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le; que l'on avoit été mécontent de monsieur De DieuGa naar voetnoot5), que celuici faisoit de même; qu'il pourroit s'il vouloit avoir des informations et des preuves: qu'on imprimoit et débitoit à Amsterdam les plus fortes et les plus infâmes satyres contre le Prince et contre le gouvernement, sans que personne en prit connoissance. Je lui dis, que je ne comprenois rien à toute cette conduite du baillif d'Amsterdam et je lui conseillai de dire au Prince et à la Princesse tout ce qu'il en savoit. Et j'ajoutai, que je ne pouvois comprendre, qui, diable, avoit conseillé au Prince de donner ce bailliage à Van de Poll; que je ne voulois pas décider jusqu'à quel point il faloit être déterminé à faire ou à ne pas faire de faveur aux magistrats démis ou à leur famille, mais que certainement le tems étoit mal pris et la circonstance mal choisie. Il dit, que cela étoit vrai, que cela avoit à Amsterdam un très mauvais effet, avoit abattu les amis du Prince, dans le gouvernement et parmi la bourgeoisie et avoit enhardi les ennemis du Prince; que les félicitations avoient été accompagnées d'acclamations tumultueuses: Oude Regeering boven ...Ga naar voetnoot6) et qu'il ne pouvoit concevoir qu'on n'en fit point de recherches. Je dis, que je ne le comprenois pas non plus. La conversation finit, parcequ'on me vint appeler pour entrer chez la Princesse.

J'allai chez la Princesse. Après m'être informé touchant la santé du Prince je lui demandai, si S.A.R. étoit informée de tout ce qui s'étoit passé à Amsterdam et s'y passoit encore journellement à l'occasion du bailliage donné par le Prince à Van de Poll, des satyresGa naar voetnoot7), qu'on y débitoit contre le Prince et contre le gouvernement placé par S.A.; des acclamations où l'on avoit crié d'Oude Regeering boven, Oranje onder ...

La Princesse me dit qu'oui; qu'elle en avoit entendu parler, mais que pour dire la vérité, elle trouvoit qu'il faloit traiter cela sans bruit et sans éclat; que si on trouvoit quelqu'un sur le fait, on le devoit saisir, mais que de faire beaucoup de recherches n'étoit pas à propos. Je lui dis, que je prenois la liberté de différer d'opinion sur ce point; que je trouvois, que monsieur le baillif d'Amsterdam manquoit à ce qu'il devoit en ne faisant pas les perquisi-

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tions nécessaires et qu'il seroit fort facile d'avoir des informations, puisque tout ce qui avoit été fait et se faisoit encore étoit à face découverte au vu et au su de tout le monde. La Princesse dit, qu'il y avait un certain ValkGa naar voetnoot8) contre qui elle avoit une pique depuis bien longtemps; qu'elle seroit bien aise qu'on put le prendre sur le fait, mais que du reste elle croyoit, qu'il faloit traiter cela légèrement.

Je lui représentai les conséquences par rapport au soutien du parti du Prince tant dans la magistrature, que dans la bourgeoisie. Et après cela j'ajoutai que non-obstant, qu'il fut un peu tard pour en parler, parcequ'à chose faite conseil est pris, je ne pouvois pas m'empêcher de lui dire, que le Prince auroit mieux fait de donner le bailliage d'Amstelland à un autre, qu'à Van de Poll ou à aucun des magistrats déplacés par le Prince lui-même; que quand même le Prince auroit eu raison de faire quelque faveur avec le tems avec à ces messieurs ou à leur famille, ce n'étoit pas à présent le tems et que je ne pouvois comprendre qui pouvoit avoir conseillé une démarche pareille au Prince, ni quelle raison avoit déterminé le Prince.

La Princesse me dit, qu'il faloit aussi bien le donner à un Amsterdamois et qu'on ne pouvoit le donner à un des nouveaux magistrats, moins encore à un homme hors de la magistrature; que cela auroit fait un plus mauvais effet encore. Je dis à la Princesse, que je ne convenois pas, qu'il falut le donner à un Amsterdamois, puisque j'avois recommandé BoetzelaerGa naar voetnoot9), mais que je ne voyois pas pourquoi on n'auroit pu le donner à un des magistrats placés par le Prince; mais qu'en tout cas je ne voyois pas pourquoi à un Van de Poll dont la famille étoit assez connue. Elle dit, que c'étoit un bon homme, qui valoit le mieux de toute la famille, qui n'avoit pas été assez longtemps bourguemaître pour faire du mal et que ceci l'empêchoit d'entrer dans le oud-raad dont il étoit exclus par ceci. Elle ajouta, qu'elle ne comprenoit pas où il étoit la difficulté à présent, puisque tout le monde avoit été pour.

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[p. 537]

Quand je lui demandai l'explication de ce dernier article, elle me dit, que cela n'avoit pas fait un pli et elle me répéta que tout le monde avoit été pour et me nomma le pensionaire et monsieur de Catwijk. Je lui dis, que certainement je n'avois pas été pour, puisque j'étois très fort contre. Elle me dit: ‘Oh, je ne vous ai pas vu dans ce tems-lê’ et comme elle me nomma encore le pensionaire et Catwijk, je lui dis, que j'étois fort surpris, que le pensionaire ni Catwijk avecGa naar voetnoot10) j'étois fort lié et qui en agissoient fort ouvertement avec moi en tout, ne m'en eussent pas dit un mot d'avance et pendant que la chose étoit en son entier, mais que quand même ce seroit eux, je désapprouvois pourtant le conseil et leur conduite de l'avoir donné; que si j'en avois eu connoissance je n'avois pas manqué de représenter au Prince les conséquences et de lui dire d'avance, ce qui en est depuis arrivé et qu'il étoit facile de prévoir.

N.B. Monsieur de Catwijk à qui j'ai demandé, s'il avoit été conseil, m'a protesté, qu'il n'en avoit rien su que quand c'étoit fait. Le conseiller pensionaire à qui j'ai fait la même question, m'a protesté, qu'il ne lui en avoit parlé, qu'après la chose étoit résolu.

5 mei 1751

Monsieur Mossel van StralenGa naar voetnoot11) me vint faire une visite. La conversation roula d'abord sur son quartier et je lui recommandai d'aller dans la direction des affaires en général et surtout dans les déliberations sur les nouveaux arrangements en tout de concert avec le conseiller pensionaire en suivant le grand chemin et d'éviter les routes détournés comme Gronsfeld et De Back, m'expliquant à lui sur le dernier sujet, comme je l'ai fait à tant d'autres. Sur quoi il fut question de la réputation de Gronsfeld et j'appris de Mossel la confirmation, que cette réputation étoit très mauvaise, en Nord Hollande aussi bien qu'ailleurs. Nous parlâmes des changements arrivés dans les magistrats des villes de Nord Hollande. Je lui demandai, qui avoit fait remettre De DieuGa naar voetnoot12) (démis)

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[p. 538]

à Alkmaer, il me dit HoogkamerGa naar voetnoot13) et par qui DuivensGa naar voetnoot14) (démis) étoit rentré à Enkhuisen; il me dit Van der StratenGa naar voetnoot15) (le trésorier) et qui avoit fait rentrer BenningbroekGa naar voetnoot16) à Medemblick, il me dit qu'il ne savoit pas bien, mais que Benningbroek venoit à un certain professeur LaneGa naar voetnoot17). Il me dit aussi, que tous ceux, qui avoient été renvoyés à Gronsfeld pour parler d'affaires, n'y étoient allés qu'à contre coeur et en rechignant au lieu que tous ceux, qui parloient à monsieur de Catwijk, au pensionaire ou à moi, étoient très contents d'avoir à faire à nous ou à aucun des trois. Il dit aussi, qu'à présent cela étoit pis que jamais, parcequ'on disoit de Gronsfeld des choses par rapport à l'usage et à l'exercise de son crédit, qu'il n'osoit répéter, insinuant la corruption. Je lui dis, que je l'entendois; que c'étoit en partie pour cela, que je me séparois totalement de Gronsfeld, ne voulant pas être confondu avec lui, ni ëtre mis dans la même classe.

Je fus informé dans les confrontations tenues dans le Gevange Poort du collecteur Wachloo contre les deux gens, qui y sont enfermés pour avoir falsifié des billets de collectes. Ces deux gens sont convenus du fait commis par eux, mais qu'ils disent, que c'est par ordre de Wachloo et le lui ont soutenu en sa présence avec des circonstances très détaillées; entre autres ils ont dit, que quand ils avoient objecté contre l'évasement des noms et la substitution d'autres en leur place, il leur avoit dit: Daar sal u geen kwaad van komen. Ik staa er voor in. Sijn Excellentie de graaf van Gronsfeld sal dat wel goed maken. Cequi n'avoit pas plus démonté Wachloo, que tout le reste de ce qu'on lui avoit soutenu en face, mais qu'il avoit nié ceci comme tout le reste, disant: Wel soude ik dat durven seggen en de naam gebruiken van een heer daar ik soo veel respect voor heb? Dat sullen de heeren niet van mij gelooven.

voetnoot1)
Lees: palier.
voetnoot2)
Henricus Wachloo, vroeger wijnkoper te Amsterdam, had meegedaan aan de Doelistenbeweging en was later hoofdcollecteur van het recht op de boter geworden. De twee personen in de Gevangenpoort zullen ondergeschikten zijn geweest: hij zelf was voortvluchtig. Zie Knuttel, nr. 18306, 18397; Dichtk. Praal-Tooneel IV, p. 1 vlg. en Ned. Jb. 1751, p. 843.
voetnoot3)
Op 14 april 1751 bracht een groepje burgers aan Pieter van de Poll wegens zijn benoeming tot baljuw van Amstelland een serenade, daarna aan Gerrit Corver en Nicolaas Geelvinck ‘uit oude achtinge’. Zie Ned. Jb. 1751, p. 246. De zienswijze van een tegenstander der oude regenten in Knuttel nr. 18296. Zie Dichtk. Praal-Tooneel III, p. 182.
voetnoot4)
Willem Huygens, heer van Honkoop, in plaats van Daniel de Dieu tot hoofdschout benoemd 28 januari 1749.
voetnoot5)
Deze was naar de mening der Doelisten te slap tegen hun tegenstanders opgetreden. Zie Krämer, p. 428 vlg. en De Voogd, p. 215 vlg.
voetnoot6)
Volgens Knuttel, nr. 18296 riep men: ‘Den Prins is stadhouder, maar de oude regenten weer boven! en Raap voor den duivel!’.
voetnoot7)
Enkele gedichten op de aanstelling van Van de Poll, op een uitzondering na echter zonder hatelijkheden jegens de Prins in Dichtk. Praal-Tooneel III, p. 108 vlg.
voetnoot8)
Ary Valk, schuitenvoerder, een dergenen, die Van de Poll een ‘serenade’ brachten. In augustus 1749 deed hij reeds van zich spreken, doordat hij toen de herdenkingsbijeenkomst der Doelisten verstoorde en één hunner uit het raam dreigde te gooien. Vergelijk Ned. Jb. 1749, p. 741 vlg. Enige stukken over deze bijeenkomst in de Plantagie in de Oranjetuin en over Valks optreden in Dichtk. Praal-Tooneel III, p. 86 vlg.
voetnoot9)
Ongetwijfeld Jacob Philip baron van den Boetzelaer, heer van Nieuwveen.
voetnoot10)
Invoegen: qui.

voetnoot11)
Tot einde 1748 pensionaris van Enkhuizen; daarna secretaris van de gecommitteerde raden van het Noorderkwartier. Zie Ned. Jb. 1749, p. 149.
voetnoot12)
Karel de Dieu, in mei 1749 door de commissarissen van de Prins afgezet. Binkhorst noemt hem in een brief d.d. 3 mei 1747 een ‘emissaris’ van Amsterdam. Opnieuw benoemd door de Prins tot burgemeester in december 1749, herbenoemd in december 1750; in mei 1751 benoemd tot lid van de vroedschap. Zie Bentinck I, p. 258; Ned. Jb. 1749, p. 437; ibidem 1750, p. 91, 1491; ibidem 1751, p. 389.
voetnoot13)
Waarschijnlijk Jacob Lycochton Hoogkamer, in 1749 en 1750 burgemeester van Alkmaar. Zie Ned. Jb. 1749, p. 497 en ibidem 1750, p. 91.
voetnoot14)
Karel François Duivensz., ontvanger-generaal van het admiraliteitscollege in het Noorderkwartier, lid van de Enkhuizer vroedschap; in mei 1749 uit de vroedschap gezet, in april 1751 opnieuw als zodanig benoemd. Zie Ned. Jb. 1751, p. 389.
voetnoot15)
Campegius van der Straten, sedert maart 1749 thesaurier en rentmeester-generaal van 's Prinsen domeinen en hofhouding.
voetnoot16)
Johannes Benningbroek, baljuw van Vlieland, in mei 1749 afgezet, in januari 1751 tot grote vreugde van vele burgers opnieuw in de vroedschap gekozen. Zie ibidem, p. 66.
voetnoot17)
Is dit dr. Joan Laen? Deze werd in mei 1748 schepen van Hoorn. Zie Ned. Jb. 1748, p. 361.

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titels

  • Briefwisseling en aantekeningen


auteurs

  • Geerten Gossaert

  • P. Geyl

  • over Frederik Hendrik van Wassenaer

  • over Charles J. Bentinck

  • over Hendr. Fagel

  • over A.A. Iddekinge

  • over Charles J. Bentinck


landen

  • over Groot-Brittannië (en Noord-Ierland)


Over dit hoofdstuk/artikel

datums

  • 2 mei 1751

  • 5 mei 1751