Skiplinks

  • Tekst
  • Verantwoording en downloads
  • Doorverwijzing en noten
Logo DBNL Ga naar de homepage
Logo DBNL

Hoofdmenu

  • Literatuur & taal
    • Auteurs
    • Beschikbare titels
    • Literatuur
    • Taalkunde
    • Collectie Limburg
    • Collectie Friesland
    • Collectie Suriname
    • Collectie Zuid-Afrika
  • Selecties
    • Collectie jeugdliteratuur
    • Basisbibliotheek
    • Tijdschriften/jaarboeken
    • Naslagwerken
    • Collectie e-books
    • Collectie publiek domein
    • Calendarium
    • Atlas
  • Periode
    • Middeleeuwen
    • Periode 1550-1700
    • Achttiende eeuw
    • Negentiende eeuw
    • Twintigste eeuw
    • Eenentwintigste eeuw
Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome I 1552-1565 (1841)

Informatie terzijde

Titelpagina van Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome I 1552-1565
Afbeelding van Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome I 1552-1565Toon afbeelding van titelpagina van Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome I 1552-1565

  • Verantwoording
  • Inhoudsopgave

Downloads

PDF van tekst (7.45 MB)

XML (1.39 MB)

tekstbestand






Genre

non-fictie

Subgenre

non-fictie/brieven
non-fictie/geschiedenis/Opstand


© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome I 1552-1565

(1841)–G. Groen van Prinsterer–rechtenstatus Auteursrechtvrij

Vorige Volgende
[pagina 47]
[p. 47]

Lettre XXIII.
Ga naar margenoot+Le Prince d'Orange au Comte Louis de Nassau. Décès du Comte Guillaume leur père.

*** Le Comte étoit mort le 6 octobre. Le Prince, fils aîné, devenoit Chef de la Maison.

Mon frère, je ne vous seroisGa naar voetnoot1 assés escripre le marissement que se m'act esté d'avoir entendu le trespas de Monsieur notre bon père, que Dieu perdoinGa naar voetnoot2, pour avoir perdu ung tel père à qui nous tous luy estions tant obligé, pour si grande amour et affection qu'i nous portoit; mais, puisque se ast esté la volunté de Dieu, il nous fault regarder tous nous conformer à icelle et en oultre regarder de ensuivre ses vestiges, affin que nostre Maison, qui toujour ast esté, avecque l'aide de Dieu, en si bonne renommée et estimation, ne soit perdu, ainsGa naar voetnoot3 plus tost augmenté; ce que facillement se porra faire, en cas que nous aultres, ses enfans, vivons en bonne accort et amour, dont vous veulx bien asseurer que, de ma part, il n'y aura jammais faulte et que je vous assisteray, toujours à vous tous, et de conseille, et en tout aultre chose où me vouldrés emploier, me tenant seur que de vostre costé ferés le mesme, et principalement entre vous aultres frères, qu'il emportGa naar voetnoot4 pour le bien de la Maison que vivés en bonne amitié et accort ensamble, et que ne faictes rien que par conseille et bon advis; aultrement nostre Maison qui ast toujours esté en si bonne réputation, se viendroit à se perder et deminuer; et, de ma part, comme je vous ay diet, me emploieray très-voluntiers pour vous

[pagina 48]
[p. 48]

Ga naar margenoot+assister en tout ce que sera pour vostre bien et augmentation de nostre Maison, ce que vous porrés bien asseurer de ma part à tous mes aultres frères, comme cellui qui avés toujours cognue l'affection que lesGa naar voetnoot1 ay porté, et oultre regarder de assister Madame nostre mère, selon la grande obligation que nous avons à icelle, et la servir et complaire en tout ce que vous porrés; car ne ferés que vostre debvoir, et service très-agréable à Dieu, et chose qui toutte vostre vie vous serat réputé pour honeur..... De Brusselles, ce 15 d'octobre.

Vostre bien bon frère à vostre commandement,

Guillaume de Nassau.

 

Ga naar voetnoot2Mon frère, quant à voyage que debviés faire avecque le Conte de Schwartzenbourg pour les affaires que sçavés, vous prie me mander ce que porrés faire et sil vous ferés le voyage ou non, affin que selon cela, je me aurois à riglerGa naar voetnoot3; et vous prie baiser les mains de ma part au Conte de Schwartzenbourg et à masseurGa naar voetnoot4 Caterina et luy asseurer que toute ma vie luy demoreray bon frère, comme je seray aussi à Juliana et Madalena, et s'il ont perdu ung père, qu'il trouveront ung aultre à moyGa naar voetnoot(1). Je vous prie me mander la résolution que le Conte de Schwartzenbourg aura prinsGa naar voetnoot5, quant à son mariage et de tout ce qui se passe là, et faire mes très-humbles recom-

[pagina 49]
[p. 49]

Ga naar margenoot+mendations à madame nostre mère. Dat. ut in literis.

Vostre bien bon frère,

Guillaume de Nassau.

Au Comte Ludwig de Nassau, mon bon frère.

L'expression les affaires que scavés se rapporte au projet de mariage du Prince avec Anne de Saxe, enfant unique de l'Electeur Maurice. Néele 23 avril 1544, elle perdit en 1553 son père, en 1555 sa mère, Agnès, remariée au Duc de Saxe Jean-Fréderic et fille de Philippe, Landgrave de Hesse. D'après une convention avec celuici, la jeune orpheline avoit reçu son éducation à Dresde, auprès de son oncle l'Electeur Auguste.
On trouve des particularités très-intéressantes sur les préliminaires de cette Union dans les Historische Denkwürdigkeiten d'Arnoldi (Leipz. 1817), p. 103-137; l'ouvrage de M. von Rommel, Philipp der Groszmüthige, I. 586-590, II. 656-661, III. 314-330; et la dissertation de M. Böttiger, insérée dans le Histor. Taschenbuch de M. von Raumer, ao 1836, p. 78-174.
C'est une supposition assez vraisemblable qu'Anne, dont le caractère et les écarts causèrent au Prince tant de chagrins domestiques, devint son épouse surtout à cause de sa fortune et de sa parenté. En s'alliant aux Maisons de Saxe et de Hesse, il se ménageoit de puissants appuis. La Princesse étoit riche: ‘die baarc Ausstattung solle, mit Hinzurechnung eines erst nach Johann Friedrichs von Gotha Tode flüssig werdenden Capitals von 30,000 Rthlr., und von 35,000 von August selbst zugeschossenen Thalern, sich auf 100,000 Rthlr. belaufen; eine für jene Zeit höchstansehnliche summe:’ Hist. Tasch. p. 86.-On ne louoit fort, ni sa douceur, ni sa beauté. ‘Sie war “ungeschikten Leibes”, vielleicht etwas hinkend:’ l.l. p. 87: ‘von einer seltsamen Gemüthsart und hartem Sinne, und man müsze daher billig auf ihre Versorgung bedacht sein:’ l.l. p. 93. Il ne paroît pas que le Prince l'avoit vue, lorsqu'il fit demander sa main. Dans le cas contraire, l'Electeur Auguste n'auroit pas jugé nécessaire de retenir son portrait ‘als zu sehr geschmeichelt:’ l.l.
[pagina 50]
[p. 50]

Ga naar margenoot+On prétend, et la chose est possible, qu'elle plut au Prince: l.l. p 95. Elle au moins l'aima bientôt éperdument. Une dame de la Cour à Dresde écrit à la Comtesse Palatine: ‘das auch E.F. Gn. gern wissen wollte ob es das Frewlein gerne thäte oder nicht, mögen E.F.G. gewisz glauben dasz sie niemand hierzu beredet, viel weniger gezwungen noch gedrungen hat. Denn E.F.G. werden ja des Frewleins kopf und synn kennen und yre ferttigkeit wyssen, der warlich sych noch dyssen tack wyder zwyngen noch bereden lassen wyl, sondern techlich hertter wert obber den dyngen so sy ze synne nymet, ungeacht aller sachen und groszer fleysz so by yr ongewendt wert; ich habbes gar fylmals von yr gehert von alle yre freundschaft sy solten sy zw keinem heren bereden, der yr nicht gefylle:’ p. 98. Disoit-on du mal du Prince, elle répondoit plaisamment: ‘Er ist ein schwarzer Verrather, aber ich hab keine Ader an meinem Leibe, die ihn nicht herzlich lieb habe:’ p. 97. Mais le Landgrave Philippe écrit le 29 déc. 1560: ‘Das Frewlein Anna ein gute neigung zum Printzenn hatt, glaubenn wir woll, es ist aber kinderwerg, dann sie warlich noch ein kindt:’ v. Rommel, III. 328.
Le Comte de Schwartzbourg se rendit peu après à Dresde, non avec le Comte Louis, mais avec George van Holl. Ils affirmèrent: ‘Wilhelm sei dem Protestantismus heimlich sehr gewogen; wenn er ihn auch öffentlich noch nicht predigen lassen dürfe, werde er der Prinzessin doch einen Evangelischen Prädicanten und die Sacramente nach ihrer Weise verstatten; die Kinder dieser Ehe sollten zu Markgrafen erhoben und mit 70,000 fl. jährlicher Einkünfte versehen werden:’ l.l. p. 93.
margenoot+
1559. Octobre.
voetnoot1
sanrois.
voetnoot2
pardonne.
voetnoot3
mais.
voetnoot4
importe.
margenoot+
1559. Octobre.
voetnoot1
leur.
voetnoot2
Cet alinéa est écrit sur une feuide à part.
voetnoot3
régler.
voetnoot4
ma soeur.
voetnoot(1)
moy; comme étant désormais leur tuteur naturel. Les autres soeurs étoient mariées, et la Comtesse Catherine promise au Comte de Schwartzbourg.
voetnoot5
prise.
margenoot+
1559. Octobre.
margenoot+
1559. Octobre.

Vorige Volgende

Footer navigatie

Logo DBNL Logo DBNL

Over DBNL

  • Wat is DBNL?
  • Over ons
  • Selectie- en editieverantwoording

Voor gebruikers

  • Gebruiksvoorwaarden/Terms of Use
  • Informatie voor rechthebbenden
  • Disclaimer
  • Privacy
  • Toegankelijkheid

Contact

  • Contactformulier
  • Veelgestelde vragen
  • Vacatures
Logo DBNL

Partners

Ga naar kb.nl logo KB
Ga naar taalunie.org logo TaalUnie
Ga naar vlaamse-erfgoedbibliotheken.be logo Vlaamse Erfgoedbibliotheken

Over het gehele werk

titels

  • Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série)


auteurs

  • over Viglius van Aytta

  • over Willem van Oranje


landen

  • over Spanje

  • over Duitsland

  • over Frankrijk


Over dit hoofdstuk/artikel

datums

  • 5 oktober 1559