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Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome III 1567-1572 (1836)

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Titelpagina van Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome III 1567-1572
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Genre

non-fictie

Subgenre

non-fictie/brieven
non-fictie/geschiedenis/Opstand


© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome III 1567-1572

(1836)–G. Groen van Prinsterer–rechtenstatus Auteursrechtvrij

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† Lettre CCLXVII.
Le Prince d'Orange à......... Relative à la sédition des Calvinistes d'Anvers.

*** Anvers avoit été pendant deux jours en proie à un effroyable tumulte.
Le Seigneur de Tholouze, à la tête d'un assez grand nombre de soldats, après une vaine tentative pour s'assurer de la Zélande, se trouvoit, malgré la défense réitérée du Prince, à Outserwele (aujourdhui Austruweel), village à une lieue d'Anvers, ce qui causoit dans la ville une grande agitation. Le 13 mars au matin on vit passer les troupes envoyées par la Gouvernante pour dissiper ce rassemblement. Aussitôt les Calvinistes veulent voler au secours. Le Prince d'Orange etle Comte de Hoogstraten s'y opposent; Tholouze et les siens sont complétement battus; la fureur des réformés redouble; la nuit et tout le jour suivant on est à chaque instant près d'en venir aux mains, et ce n'est qu'à l'aide des Luthériens, qui se joignent aux Catholiques, qu'on parvient enfin à rétablir l'ordre, moyennant un traité par lequel les concessions de septembre relativement aux prêches sont renouvellées. Le Prince fut exposé plus d'une fois aux
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Ga naar margenoot+dangers les plus imminens. ‘De Gouverneurs waren in groot perykel van haer leven, d'een en andere deselve noemende verraders en hun dreigende met hare Pistoletten en Harquebusen te doorschieten, ook metter daet eenige afschietende: daer is onder anderen een Droog-scheerder geweest, dewelke den Prince van Orangien een geladen Cinkroer op syn borst stellende, seide, “gy eerlose en schelmse verrader zyt oorsake van dit spel en dat onse broeders daer buiten werden gemassacreert en vermoort.”’ Bor, 145a.
Malgré cette conduite du Prince on a prétendu qu'il étoit d'accord avec M. de Tholouze. Il fut accusé d'avoir ‘envoyé gens expres en Zélande pour la surprendre et par ce bout empescher et forclorre le passage de S.M. par mer.’ Il a démontré lui-même l'absurdité de cette supposition dans sa Défense. Le Petit, p. 188. Etnéanmoins on a persisté à soutenir que sans doute il avoit favorisé l'entreprise. (‘Men heeft reden om te vermoeden dat de Prins bedektelijk de hoofdaanleider van den aanslag geweest is.’ Wagen. VI, 223. ‘Wy meenen te mogen besluyten dat de onderneming niet alleen met voorweten, maer selfs uit last van den Prins is geschiet.’ Leven van Willem I. 1e D. p. 561). Si le Prince se fût décidé à rompre entièrement avec le Roi, il eut pu facilement s'assurer d'une grande partie de ses Gouvernemens. Les lettres qui suivent, surtout celles du Prince lui-même, sont également contraires à l'opinion des historiens que nous venons de citer.
Le passage suivant de la requête des refugiés Belges à la diète de Spires en 1570 est très remarquable sous ce rapport. ‘Non erat difficile munitissimas quasque civitates occupare, praesertim si Auraicae Princeps, quem nunc cunctae seditionis authorem impudentissime mentiuntur adversarii, vel cogitatione tantum concepisset contra Regis ac Parmensis voluntatem quicquam tentare, cum ad ejus pedes se abjiceret universa fere provincia, .... ei se suaque omnia committeret, ipse etiam praeter Hollandiam, Zelandiam agrumque Transisalanum, quibus locis praefectus erat, quaeque vel maximi ad occupandam universam provinciam momenti esse nemo sane nescit, Antverpiam, Mechliniam, Buscoducum, multasque alias praecipuas civitates, vel
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Ga naar margenoot+solo nutu in sua potestate posset retinere. Sed noluit optimus Princeps in sua erga Regem fide vel tantillum desiderari.’ Gerdes, Scrin. Antiquar. VIII. 2. 620. Probablement le Prince a eu de l'influence sur la rédaction de cet acte, mais on ne sauroit méconnoître dans les lignes que nous venons de citer, le ton d'une profonde conviction.
Les moyens de s'opposer à la venue du Duc d'Albe, avec quelque chance de succès, ne lui eussent pas manqué à la fin de 1566 et au commencement de 1567. Dans sa Défense il affirme: ‘Pour empêcher les forces et violences dont pour le présent ont use au Pays-Bas, ont trouvé plus de moyens que nos adversaires ne pensent, si présumption qu'avions de la bonté du Roy, .... ne nous eut diverti de samblables pensées.’ Le Petit, 187a. Et en 1573 dans une requête au Roi on s'exprime ainsi: ‘Hoezeer de Heeren en Steden van deze Landen .... wel middelen hadden om den Hertog van Alba uit het land te houden en zijne inkomst te beletten; nochtans, alzoo dezelve kwam uit naam van U.M., ten einde zij openlijk aan den dag zouden leggen dat zij geene rebellie in den zin hadden, .... hebben zij hem met alle gewilligheid ontvangen.’ Kluit, Over 't recht om Philips af te zweren, Byl. p. 18.
Nous devons ajouter ici le témoignage du Comte de Hoogstraten, qui avoit la confiance du Prince et, lors de l'émeute des Calvinistes, se trouvoit avec lui à Anvers: ‘Disons rondement et véritablement que le Prince ne nous a jamais proposé, requis ou communiqué chose qui fust contre le service de S.M., et par laquelle ayons peu appercevoir que ses desseins tendoient à ambition, troubles, rebellion, ou autrement au desservice d'icelle.’ Bor, I. Auth. St. 27a.

.... Wollgeborner, freundtlicher, lieber Schwager und Bruder, es haben uns die Calvinischen ahm 13 und 15ten dieses alhier in Antorff einen solchen ufflauff und lermen gemacht, das wir nit allain unser leib und leben, sonder auch die gantze stadt zu verlieren besorgten. So

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[p. 51]

Ga naar margenoot+hatt doch der liebe Gott solchs hoch schädliche feur, durch sondere gnad und schickung, gnediglichen erlöschet und gestillet, das wir nuhnmehr wiederumb zu ruhe und beszerung kommen seint. Gott geb das dermaszen uffstende sich hinfürter nit mehr zutragen. Sie, die Calvinischen, hetten die MehrGa naar voetnoot1 eingenhommen und alle straszen mit grobenn geschütz versehen, und wolten mit gewalt die pforten-schlüszell, auch das stadthausz und also das gantze regiment in iren händen und gewarsamb halten, und were ohn zweiffell auch beschehen, da nit der Augspürgischen Confeszion Verwandten, nebent allen anderen Nationen, uns und der Obrigkeit beygefallen weren, das wir also durch diesz mittell die stadt in irem ehre erhalten und von der Calvinisten oberhandt errettet haben, und obschon das mit groszer mühe und arbeit, auch gemeiner gefahr leibs und lebens zugangen, so müszen wir doch besorgen das wir, solchs dhienst halben, ahn hoiff nit vill dancke erlangen werden: es wirts aber der liebe Gott, unsers verhoffens, und etliche leuthe erkhennen, dabei wir's auch bisz dahien beruhen laszen und es dem Almechtigen heimbstellen müszen. Hiemit wollen wir E.L. dem himmelischen Vatter in seinen schütz und schirm bevelhen. Datum Antorff ahm 17 Martij Anno 67.

 

Wilhelm Printz zu Uranien.

 

Ga naar voetnoot(1)Monsr. je vous puis bien dire que nous avons faict la

[pagina 52]
[p. 52]

Ga naar margenoot+plus belle eschappade du monde et que par la grâce de Dieu nous nous povons estimer d'estre nouveau nez. Je ne scay aulcun moyen de pouvoir sortir d'icy, par quoy il s'y fault recommander à Dieu et aux bonnes prière des nous amys. Je vous prie aussy faire mes excuses à Monsr. de Neuenar que ne luy eserips et luy baise les mains, me remecttant à ce que luy manderez. D'Anvers le 17e mars.

 

Vostre bon amy,

Guillaume Prince d'Oranges.

margenoot+
1567. Mars.
margenoot+
1567. Mars.
margenoot+
1567. Mars.
voetnoot1
La place de Meir.
voetnoot(1)
Ceci semble être la copie d'un billet autographe ajouté par le Prince à la lettre qu'on vient de lire.
margenoot+
1567. Mars.

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  • 17 maart 1567