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Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome III 1567-1572 (1836)

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Titelpagina van Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome III 1567-1572
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non-fictie

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non-fictie/brieven
non-fictie/geschiedenis/Opstand


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Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome III 1567-1572

(1836)–G. Groen van Prinsterer–rechtenstatus Auteursrechtvrij

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Lettre CCLXXXIII.
H. de Wiltpergh au Prince d'Orange. Entrevue du Duc d'Albe et du Comte de Buren à Louvain.

*** De la Pise se trompe en écrivant que le Duc s'assura de la personne du Comte le 10 sept. 1567. Bor fixe cet événement au 24 janvier 1568, le même jour où la citation contre le Prince fut publiée. Vraisemblablement la chose eut lieu encore plus tard. Dumoins le Prince écrit le 28 février au Comte de Schwartzbourg, dans
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Ga naar margenoot+une lettre datée de Dillenbourg et relative à cette citation: ‘Wir mögen E.L. mit bekümmertem gemüth nicht verhalten das wir wol als baltt zu E.L. abreysen, uff derselbenn rhatsamb bedencken und gutachten, den hoffmeister Wilpergernn geschrieben und mitt ernst ufferlegt und bevolhen habenn unsernn sohn als balt heruff zu schickenn; so ist doch solch unser schreiben zu allem unglückh etwas zu spät ankommen, darausz dann ervolget das der Duca ihn vonn Löven abholenn und ghen Antorff hat fhüren laszen, des vorhabens ihnen fürters naher Spanien zu verschicken.’ (* M,S.) Le 15 février le Comte de Buren fut conduit à Anvers (Chronijk v. Antw. p. 156) et, d'après les expressions du Prince il est peu probable qu'il ait ėté préalablement détenu à Louvain. A quoi on peut ajouter que le Prince écrit au Duc d'Albe ‘L'on s'est avancé de procéder contre moi ... par proclamation ..., et par après par appréhension de mon fils.’ Le Petit, 173b.
Strada, p. 374, et d'après lui plusieurs auteurs ont insinué que le Prince avoit prévu cet enlèvement, et cependant laissé PhilippeGuillaume dans les Pays-Bas par calcul; afin que, en cas de non réussite de ses projets, ce jeune homme, innocent aux yeux de Philippe, pût hériter des biens paternels. Mais le Prince ne pouvoit ignorer qu'en Espagne son fils seroit exposé à des périls de tout genre; et, bien que profond politique, il n'étoit pas un père dénaturé. ‘Il n'eut jamais creu que la tyrannie Espaignole se fut portée si avant ... et en cela il fut deceu par sa prévoyance qui ne l'avoit jamais trompé.’ De la Pise, p. 554.

Monsigneur, le 20 de ce mois arriva le Duck d'Allwa vers le midi en sette ville de Louvaing: l'ayant veu passer Monsr le Comte de Buren avecque toute sa garde en certein meson près de son logis, qu'estoit le Collège de Savoi, lui alla baiser les meins et trouvasmes Monsr d'Aremberge, Monsr de Berlemontt avecque lui, et fust Monsr de Buren fort bien resseu et caressé de Monsr le Duck, s'offrist, là où l'occasion s'offriroit de lui pouvoir faire service, que le feroit de bon coueur, se que dict aussi à Monsr

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[p. 121]

Ga naar margenoot+d'Aremberghe en Espangnoll le volor dir à Monsr de Buren, dont après Monsr de Buren remersia à Monsr. le Duck en Franssoi en lui présentant aussi son service, ce que le Duck trouvoit fort bon, à seuGa naar voetnoot1 que l'on pouvoit présumer. Monsr d'Aremberge se présentoit d'accompangner Monsr de Buren de rechief, prengnant congié du Duck d'Alwa à son partement, mes pour aultres enpeschemens ne venoit appoinGa naar voetnoot2 d'y estre: aussi returnant Monsr le Duck de la messe, le 22 de ce mois, prins Monsr de Buren congié; le Duck l'ambrassa et lui fist de rechieff le mesmes et semblables oeffres, me disant lui volor donner à entendre: sur ce Monsr de Buren fist le remersiment et le Duck ne voulut permettre que l'accompangniesse plus avant ver son quartir. - Aiant esté averti que ill i ast quatre compangnies de chevaulx légers à Diest et là autour, m'en alloi ver Monsr d'Aremberge comme marrischall du camp, le suppliant volor assister que seulx de Diest et aultres vassaulx de vostre Excell. fussiontt solagés: ainsi me disoitt n'avoir esté par lui que illiGa naar voetnoot3 ettiont et que ilz aviont esté ordonné aultre part, mes depuis changé par aultres; néanmoins â la premir comoidité en Bruxelles renderoit tout debvor pour en povor estre dé [porté]. L'ampman de Vianden m'ast aussi escript que le comissaire Kegell et aussi principallement le commissaire de vivvres, Monsr de Navez, ast faict grande assistance et solagement aux pouvres subjectz de la Comté de Vianden, avecque plus ou pour le moins d'aussi grande diligence come si fussiont esté serviteurs gagés de vostre Excell.; aussi se sont montrés les Coronelles Schawenburch et le Comte de Lodron fort affectioné

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[p. 122]

Ga naar margenoot+ver vostre Excell. et ses vassaulx. Monsr d'Aremberg me dict entre aultres propos que il confirmoit encoir seu que ill avoit dict à Monsr d'Aigemont volor escrire à vostre Excell., s'offrant beaucoup pour le service de vostre Excell. et de Monsr de Buren. Monsr le Comte de Horne vint le 20 de se mois [achevio] le soir après sept heures avecq 4 ou 5 personnes descendre au logis de Monsr de Buren, et lui donna le Duck heure le lendemain de parler à lui, que fust ver les dix heures devant disné; ile returnast seul disner avecque Monsr de Buren. Ver le soir vint Monsr de Mansfeldt par la poste baiser les mains au Duck; Monsr de Horne l'alla trouver sur la place en entrant devant sent-Jacques, et alliont ensemble ver Monsr le Duck. Monsr de Mansfeldt, après lui avoir besé les mains et quelques devisesGa naar voetnoot1 print congié et partie de rechieff ver Brusselles, et Monsr de Horn print aussi congié. Le Conte de Mansfeldt, passant par devant Sen-Jacques, anvoioit ung gentilhome visiter Monsr de Buren; son filz, le Conte Charle, le vint saluer avecques plusieurs aultres gentisomes et Capitaines de sa cherge. Le soir alla Monsr de Horne soupper avecq Monsr de Megen, Monsr d'Aremberge et Monsr de Berlemontt. Le lendemain ver les 3 heures avant son partement me dict que ill avoit ressu contentement du Duck d'Alwa, et que après que il avoit esté visiter monsr de Nuenar et l'avor consolé en son doeulle, s'en returneroit en Bruxelles. Ill me dict aussi que le gran prieur de Sent-Jan, filz battart du Duck d'Alwa, l'avoit requis pour lui recouvrer ung bon chevall de pass, dont me samble, toutte fois à correction, si vostre Excelle en avoit ou en scavoit recou-

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[p. 123]

Ga naar margenoot+vrir et lui anvoier, ou par Monsr de Buren, peult estre vindroict appoin là où l'on s'en doutteroit point. Don Zesar, frère du marquis de Pescaire, avoit veu ung double tourtau que Alendorff avoit donné à Monsr de Buren, fist demander si ill n'ettoit à vendre, et ne servant le dit chevall pour la personne de Monsr de Buren, le lui anvoia par Jan Baptista; ainssi lui vint le lendemain mesmes remersier avecque beaucoup de cortosyez et présentations de son service à vostre Excellence et à Monsr de Buren. J'ei heu communiquacion avecque aulcungs capitaines Espangnolz et Italliyens, demandant du partement de vostre Excellce, ainssi leur ei en particulier dict quelque resons, desquelles ettiont ebeihies, disant que n'aviont jammays owi telles resons. J'ei aussi parlé avecquè le mestre de poste d'Espangne ou du Duck d'Allwa, nomé Artus de Noort, natiff de WallwickGa naar voetnoot1, se disant affectioné serviteur de vostre Excellence; m'a dict, quant ill arasts quelcques novelles, en fera part à vostre Excell.; je lui ei dict là où ill les adresserast. Je vois le tamps que court checqung pour soi, Dieu pour nous tous; par quoy, à correction, me semble que ne seroit poin mauvez que vostre Excellence eusse aussi quelque intelligence avecque le Duck d'Allwa, tant pour vostre Excellence que pour le bien de ses vassaulx, par quelque personne de qualité, comme Monsr d'Arbaix ou samblable, que vostre Excellence trouverroit convenir à seGa naar voetnoot2, car estant loing de l'oreille loing de la mémoire, si illenniastGa naar voetnoot3 aulcuns d'autorité pour rafrechir la mémoir. Monsr d'Egemont, Monsr le Duck d'Arscott, Monsr d'Aremberge, Monsr de Berlemont, tous m'on dict, là où s'offrirast occasion que poron faire

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[p. 124]

Ga naar margenoot+service à vostre Excellence, à son fils et pour ses affaires, que s'i emplieront tous volunti, mes en ce temps chesqung ast affair de son propre à cause des cherges, parquoi ung particulir poroist mieulx vacquer. - Monsigneur, j'ei escript seste en haiste, parquoi supplie vostre Excellence me pardonner si elle est mal escript et en confusion trop étendu et prendre plus de regart à l'affection de léall serviteur que à l'écript. J'espere que Dieu nou dorra sa grâce et bone matère pour pouvor continuer à vostre Excellence des écripts de pardessà. Aiant heuGa naar voetnoot1 se porteur haiste, Monsr de Buren n'a seu fair son debvor ver vostre Excellence par son écript, ainsi m'a chergé de fair ses très humbles recommendations en la bone grâce de vostre Excellence, et se port fort bien, Dieu mersi .... De Louvaing le 22 d'augeust.

 

le très humble et très obéissant serviteur de vostre Excellence,

Henri de Wiltpebgh.

 

A Monsigneur, Monsigneur le Prince d'Oranges, Conte de Nassau.

margenoot+
1567. Août.
margenoot+
1567. Août.
voetnoot1
cc.
voetnoot2
à point.
voetnoot3
ils y.
margenoot+
1567. Août.
voetnoot1
conversations.
margenoot+
1567. Août.
voetnoot1
Waalwijk.
voetnoot2
il n'ya.
voetnoot3
ce (cela).
margenoot+
1567. Août.
voetnoot1
eu.

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datums

  • 22 augustus 1567