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Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome III 1567-1572 (1836)

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Titelpagina van Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome III 1567-1572
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non-fictie

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non-fictie/brieven
non-fictie/geschiedenis/Opstand


© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome III 1567-1572

(1836)–G. Groen van Prinsterer–rechtenstatus Auteursrechtvrij

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† No CCCIVc.
Projet de déclaration du Prince d'Orange. (Cessi est la déclaration que faict le Prince d'Orange sur l'instante réquisition que lui ast esté faict de la part de la plus grande partie des inhabitansGa naar voetnoot1 du Pais-Bas maintenant par tant de fasson opressés.)

*** Cette pièce inachevée est un brouillon écrit et corrigé par le Prince lui-même.

Premièrement que aiant le dit Prince toujours cognu la grande fidélité et loyaulté que les subjects du Pais-Bas ont toujours demonstré à leurs Princes naturelx, exposant corps et bien pour leur service, et qu'ilx ne désirent encores rien plus que de povoir continuer, mais considérant que ce bien ne leur peult advenir pour le maves rapport que l'on a faict à sa Mté d'iceulxGa naar voetnoot2, à cause qu'ils ont desiré

[pagina 206]
[p. 206]

Ga naar margenoot+de vivre et servir leur Dieu selon sa sainte parolle, ce que leur est interpreté à rebeillion et mutinerie, qui est cause qu'ilx sont exécutés, déchassés et mailtraictés en leurs biens et corps contre toute raison et équité et que sur ce prétext ontGa naar voetnoot1 mis gens estrangiers, lesquelx traictent tout le pais en extrême rigeur contre toutte justice et équité, rompant par tout la liberté, privilèges, obliant tant de notables services qu'ilx ont faict, finablement réduisent tout le pais en une extrême désolation et ruine; et comme saccung est obligé devers Dieu de pourchasser Sa gloire et maintenir sa liberté et privilèges, lesquelx ne procédent pas seulement de la libéralités des Princes mais sont la plus partGa naar voetnoot(1) contracts entre les Princes et subjects et mutuellement confirmé par serrement, et estant le dit Prince par tant defois instamment sollicité et requis, at bien volu condescendre à la réquisition de ce fidèl peuple, astheur de tout abandoné et délessé, de tant plus qu'i cognoit que ce néGa naar voetnoot2 pas seulement la ruine du pais, demorant les choses en tel termes, mais entièrement le deservice de sa Mté, que par faulx rapport pert ung si affectioné pais, est content de se emploier, autant que en luy est, en toutt ce qui porroit concerner l'advancement de la gloire de Dieu, le bien et conservation de la patrie, qui est mesmement le vrai service de Sa Mté. Et comme etc.

[pagina 207]
[p. 207]
Ga naar margenoot+Le 27 mars survint en France la paix de Longjumeau, boiteuse et mal assise (Mezerai, V, 102.) Languet écrit en apprenant cette nouvelle: ‘non potest non esse potior bello etiamsi in eo omnia feliciter successissent:’ Ep. secr. I. 60; mais peu de temps après: ‘Nostri in Gallia fruuntur pace quae ipso bello videtur pene deterior.’ l.l. p. 66. L'Electeur Palatin se réjouit beaucoup de cette paix, peut-être aussi pour l'heureuse influence qu'elle pourroit avoir sur les affaires des Pays-Bas. On prévoyoit depuis longtemps cette possibilité. ‘Si quid certi habuero de pace Gallica, id statim significabo, et si quid tentârint isti milites. Forte conabuntur turbare Hispanorum rationes in Inferiore Germania, qui ita superbe et crudeliter ibi dominantur, ut videantur digni quorum tyrannis reprimatur.’ l.l. p. 46. ad Camer. p. 79. D'abord les auxiliaires Allemands des huguenots alloient être fort disposés à servir ailleurs la même cause, et en effet ce ne furent pas les troupes qui manquèrent au Prince, mais l'argent. Puis on pouvoit espérer que les protestants François donneroient eux-mêmes des secours. Voici ce que dit Languet à cet égard. ‘Furor fit laesa saepius patientia; et quantum video Belgae constituerunt extrema quaeque tentare, potius quam hanc tyrannidem diutius ferre; et credo praecipuos inter ipsos jam esse in armis. Forte brevi audietis patratum esse insigne aliquot facinus.... Nostri in Gallia cum sint multis victoriis facti ferociores, et judicent Hispanos et Italos esse authores infoelicis istius belli, quo misere devastata est Gallia, dabunt operam ut eas injurias ulciscantur, et procul dubio irrumpent in Belgium, si quid ibi moveatur, etiamsi Rex interdicat.’ Ad Camer. p. 84. C'est ce qui arriva bientòt; Cocqueville, gentilhomme Noɹmand, prépara une irruption en Artois.
Les Commissions pour les Comtes Louis de Nassau, G. de Berghes et autres, portent la date du 6 avril. Le Prince les prie de s'armer pour la cause des Pays-Bas: ‘begerende hier in te voorsien en by advyse van de gemene Staten van denselven Lande, om die te behouden in den dienst van S. Maj. en in haren ouden staet, vrydom en welvaren en een ieder (so van het Evangelium als de Roomse kerke) in vrydom en liberteit van synder Religien en conscientien.’ Bor, I, 234a.

voetnoot1
d.i. Il y avoit d'abord de la communaulté.
voetnoot2
Ici le Prince a raturé ce qui suit; et au lieu de recognoistre leursservices qu'ilx sont traictés avec toute rigeur et tirannie, sans avoir regart ny aulx privilèges, libertés, comme s'il fussent pais concquis des barbares, et que pis est, leur est osté de povoir vivre selon leur concienses.
margenoot+
1568. Mars.
voetnoot1
Ont - traictent. Il y avoit d'abord: ne traictent pas seulement ceulx de la religion, mais.
voetnoot(1)
la plus part. Ces mots rendent l'assertion moins exacte. Peut-être faut-il reconnoître ici l'influence de Languet. Voyez p. 186. Ce savant, ainsi qu'on pourroit aisément le montrer par beaucoup de passages dans ses écrits, ne connoissoit pas aussi bien les constitutions Germaniques de son temps que les Etats républicains de l'antiquité.
voetnoot2
n'est.
margenoot+
1568. Mars.

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