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Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome III 1567-1572 (1836)

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Titelpagina van Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome III 1567-1572
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non-fictie

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non-fictie/brieven
non-fictie/geschiedenis/Opstand


© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome III 1567-1572

(1836)–G. Groen van Prinsterer–rechtenstatus Auteursrechtvrij

Vorige Volgende
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[p. 501]

*Lettre CCCLXXXV.
Le Prince d'Orange au Comte Jean de Nassau. Détails de son expédition.

Ga naar margenoot+Monsieur mon frère. Les empeschemens continuelz de ce mien présent voiage, ensemble et la difficulté des chemins, joint aussi la rarité des messagers fidelles, a esté cause que n'avez eu si souvent de mes nouvelles, comme, ou vous eussiez peu requérir, ou moy désirer. Or n'ay je voulu différer davantage de vous envoyer ce présent porteur pour vous advertir de l'estat de mes affaires. C'est que depuis mon département de Hellenraid il a pleu à Dieu me donner heureux voiage jusques à la ville de TilmontGa naar voetnoot1, laquelle s'est rendue amiablement, comme pareillement a faict ma ville de Diest; depuis sommes arrivez à la ville de Louvain, laquelle du commencement a fait mine de résister, mesmes après avoir cerché des délais superflus, lesquels ne servoyent qu'à gagner tamps, pour cependant advertir l'ennemy de ce qu'il avoit à faire; et voyant que je ne me laissoye contenter de parolles, a commencé à user de démonstration d'ennemy, tirant à force en nostre camp. Mais finallement voiants qu'ilz eussent eu du pire, d'autant que, et leurs piecès se crevoyent l'une après l'autre, et nous commencions à faire nos approches, et mesmes nos soldats faisoyent desjà irruption déans la ville, aiants brulé une porte et estants prests de mettre le feu à l'aultre, ilz se sont aussi rendus. Quelque peu auparavant j'avoye envoyé

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[p. 502]

Ga naar margenoot+mes gens vers MalinesGa naar voetnoot(1) et Anvers, ayant quelque intelligence déans les dites villes. L'entreprise de Malines a bien succédé et mes gens y sont entrez, mais celle d'Anvers n'a pas bien esté secondé par ceux qui devoyent venir du costé de Zélande, et par conséquent faillie. Cependant le Gouverneur, Mr. de Champagney, s'y trouve bien empêché, comme ay peu veoir par les lettres qu'il escrit au Duc d'Alve et d'Arschot, mettant toute sa fiance sur la saisine de la ville de Dermonde, laquelle il tâche de persuader au dit Duc d'Alve, comme de la ville qui doit tenir le passage des vivres ouvert. Or est-il que depuis, par la grâce de Dieu et la bonne industrie de ceux qui estoient de ma part à Malines, la ditte ville de Dermonde s'est aussi remise en noz mains, comme a pareillement faict Oudenarde, tellement qu'il y a grande apparence que toute la Flandre, ou du moins une bonne partie d'icelle, se doit tourner de nostre costé. Davantaige la plus grande partie de la Phryse occidentale s'est aussy jointe avecq nous, et n'y a que deux villes de reste que font teste, assavoir, Harlingen et Leewarden, non toutesfois sans espérance de les pouvoir aussy obtenir, à cause que, pour le peu de garnison qu'il y a dedans, il y a apparence qu'elles suyvront l'exemple des autres, assavoir, Franecker, Dockum Sneeck, Bolswart, Staveren, Ylst, et se joindront tous

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[p. 503]

Ga naar margenoot+ensemble, affin d'attirer par ce moyen aussy à eux la ville de Groeningen.

Or par là vous voyez, Monsr. mon frère, comment Dieu est favorable à nostre cause. Maintenant je vous prie considérer comment de l'autre costé la malignité des hommes tasche de renverser et anéantir ceste grande grâce de Dieu. Vous estes sans doubte assez adverty du malheureux et exécrable meurtre, commis le 17me du mois passé à la ville de Paris, lequel le Roy publie ouvertement avoir esté faict par son commandement. OrGa naar voetnoot(1) 24. 31. 48. 60. 15. 33. 34. 9. 42. 60. 45. 25. d.e. 35. 36. 3. 54. s. 61. 60. 15. 13. cela nous ait esté, n'est besoing de vous discourir, car vous l'entendez assez de vous mesmes, considérant que, quant aux moyens humains 35. 20. 31. 36. 42. 39. 40. 60. 39. 27. 48 60. 15. 17. 15. 54. 45. 42. 27. 51. 52. 20. 2. estoit 11. 25. 12. 26. 60. 61. 9. 42. 54. 56. 57. 15. 12. 14. 15. 33. 3. 18. 50. 51. 3. 38. 39. 14. 9. 15. 16. Et de faict les apparences en estoient si grandes, que tant s'en faut que l'on me polra imputer à légère crédulité d'y avoir adjouté foy, qu'au contraire l'on m'eut à bon droict peu accoulperGa naar voetnoot1 de malignité, si j'eusse seulement voulu faire semblant d'en avoir aucun soupçon sinistre; aussy n'est ce pas chose ordinaire de cacher telles et si énormes délibérations soubs une couverture si plausible de festin de nopces, et mesmes d'une alliance tant signalée et tant soubhaittée de toutes gens de bien. Qui me faict croire fermement qu'il n'y ait nul

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[p. 504]

Ga naar margenoot+d'entre tous les Princes d'Allemagne, lequel en ait attendu une issue si tragicque; ce que je discours tant plus volontiers, à cause qu'ordinairement après le faict advenu, un chascun voudroit estre tenu pour bon prophète et devin, mettant la coulpe sur les autres d'avoir esté légers à croire, pour tant plus faire valoir sa prudence, comme je ne fai doubte qu'il s'en trouveraGa naar voetnoot(1) en ce faict présent plus qu'il n'en est besoing. Quoiqu'il en soit, il a ainsy pleu à Dieu pour nous oster toute espérance que pouvions avoir assise sur les hommes; car sur un mesme jour a l'on massacré l'Amiral, avec Mr. le Comte de Rochefoucault et son filz, Mr. de Téligny, de Pilles et autres 5 à 600 gentilzhommes, oultre une infinité d'autres personnes, sans avoir esgard ny à sexe, ny à aage, ny à mérite quelconque, et là dessus le Roy publie qu'il a esté fait par son commandement, commandant de tenir l'exercice de la religion en surséance et deffendant à tous ses subjets, sur peine de la hart, de ne prendre les armes pour venir à mon secours; voire que plus est, il a présenté au Duc d'Albe secours contre moy.

Vous pouvez assez comprendre 7. 25. 17. 13. 20. 9. 42.

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[p. 505]

Ga naar margenoot+36. 5. 6. 27. 15. 38. 39. 9. 15. 33. 3 a. 26. 27. 57. 50. 51. 15. 61. 9. 60. 33. 15. 14. 39. 42. 72. 3. 18. 19. 25 f. 3. 27. 51. 15. 43. 54. 54. veu que s'il ne fut entrevenu, selon toutes apparences humaines, nous estions desjà pour cest heure maîtres du Duc d'Alve, et eussions capitulé à nostre plaisir. Maintenant au contraire, sans l'horreur et estonnement qu'un fait si exécrable imprime en tous coeurs des gens de bien, encor est-il incroyable 31. 25. 17. 13. 33. 15. 12. 42. 36. m. 3. 21. 14. 15. 14. 25. [T.] 50. 51. 14. 15. 61. 9. 60. 33. 15. 36. 15. 39. 57. que 26. 27. 15. 39. 3. 69. 50. 51. 15. 9. 15. 14. 60. 61. 25. 20. car pour n'estre 26. 13. 17. 14. 25. 18. 27. 14. 15. 16. 54. 60. 51. 50. 33. 27. 39. 18. 3. 39. 57. 15. 50. 51. 27. 15. 14. que 31. 33. 3. 11. 12. 13. 36. 27. 51. 3. 33. 36. 3. 60. 42. 27. 57. 42. 51. 42. 36. 27. 54. et estoit 11. 13. 12. 15. 13. 54. 27. 3. 45. 51. 15. 54. 56. 57. 15. 14. assavoir, de 11. 25. 10. 12. 26. 27. 66. 3. 12. 42. 60. 72. 15. 14. 36. 27. 33. 6. 42. 39. 54. 55. 3. 51. 48. 60. 15. 6. 60. 54. 27. 15. 51. 54. 55. 26. je n'ay voulu me 9. 24. 3. 51. 21. 15. 14. 51. 12. 15. 6. 15. 3. 60. 9. 42. 60. 45. 12. 15. 39. 18. 3. 39. 57. 15. 51. 27. 15. 3. 33. 15. 36. 3. 39. 12, 13. 14. 15. 16. qui mesmes n'est guères utile pour le présent. Si que estant marché plus avant et ayant passé par Nivelle, quis'est aussy rendue à nostre dévotion, et arrivé entour du camp de l'ennemy, je l'ay trouvé si bien retrenché de tous costés, qu'il a esté impossible avec l'arcquebouzerie que j'avoye, l'en faire désloger, ny mesme le faire venir à mains, non obstant qu'à nostre arrivementGa naar voetnoot(1) ils fussent

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[p. 506]

Ga naar margenoot+bien estonnez, et encor depuis en une escarmouche qui s'estoit attachié à l'improviste, ils furent saisis de telle frayeur, que, s'il n'y fut pareillement survenu quelque désordre entre nos gens, nous estions pour les mettre du tout en routte, mais depuis ils ont reprins courage, jusques à nous venir donner une camisade, où avons perdu mon escoutet de Breda, le Sieur de Drunen, et le Capitaine Italien Paul Camill, avecq quelques autres. Or, combien qne l'ennemy ait toujours eu beaucoup plus grand perte de gens que nous, si est ce que les nostres, se voyant si mal secondés et soutenus par les arquebuziers, 25. 17. 14. 16. 27. 39. 40. 42. 39. 57. 14. 15. 54. 55. 56. 57. 58. 15. 54. 3. 27. 56. 54. 27. 53. 54. 12. e. 20. 57. 15. 33. l. 14. 25. 15. 18. 51. 3. 69. 14. 15. 60. 51. que 26. 27. 3. 69. 26. 15. 54. 57. 15. 14. 9. 42. 39. 57. 51. 3. 27. 39. 57. 12. 14. 15. 33. 15. 54. 51. 50. 3. 36. 36. 15. 14. 39. 15. 14. 51. 50. combien que d'autre costé 31. 33. 3. 18. 3. 60. 57. 15. 12. 14. 15. 60. 27. 60. 51. 15. 14. 54. 36. 15. 18. 42. 51. 9. 42. 27. 57. 3. 60. 54. s. 68. 69. 12. 14. 15. 36. 15. 51. 15. 14. 57. 27. 51. 15. v. 28. 20. ne sachant mesmement pour lors que Dendremonde s'estoit encore rengée de nostre costé. De sorte que 2. 5. 3. 4. 36. 42. 39. 21. 41. 3. 39. 12. 13. 51. 15. 21. 51. 15. 57. 27. 3. 69. 15. 54. 57. 15. 9. 42. 39. 57. 51. 3. 27. 39. 57. 12. 15. 14. 33. 3. 27. 54. 26. s. 15. 50. 51. 61. 36. 42. 39. 18. 51. 15. 14. 51. 15. 33. 42. 60. 27. 54. encor 26. 25. 31. 17. 25. 3. 54. 55. s. 27. 15. 21. 15. 14. 13. 17. 20. à cause que estant toutes les avenues fort estroittement gardées. Je 38. 39. 3. 60. 42. 69. 39. 60. 33. 36. 42. 69. 15. 38. 39. 12. 14. 15. 33. 60. 69. 15. 39. 60. 42. 40. 69. 5. 51. 54. 15. 9. 42. 60. 51. 54. ny mesme de 32. 31. 33. 60. 69. 12. 42. 39. n. 14. 15. 51. 15. 54. 9. 42. 51. 57. 15. 14. 45. 42. 60. 51. 33. 15. 57. 27. 51. 15.

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[p. 507]

Ga naar margenoot+14. 50. 51. 24. 42. 51. 54. 12. 13. 14. 25. 33. 3. veu singulièrement 47. 48. 60. 15. 14. 39. 15. 54. 51. 15. 69. 57. 51. 15. 54. 36. 15. 33. 42. 39. 57. 51. 15. 18. 60. 54. 15. 57. 42. 60. 57. 3. 45. 33. 3. 57. dont ayant entendu que mon dit 18. 14. 51. 15. 50. 51. 15. 42. 15. 60. 57. en 8. 16. 14. 9. 42. 51. 44. 54. 42. 60. 57. 15. 39. 27. 51. 33. 14. 15. 54. 27. 15. 21. 15. 14. 48. 60. 15. 33. 48. 60. 15. 54. 12. 27. 66. 42. 60. 12. 42. 60. 72. 15. 27. 42. 60. 51. 54. j'ay trouvé pour le meilleur de me retirer par deçà, soit pour 11. 12. 42. 39. 11. 14. 15. 51. 33, 15. 6. 51. 3. 39. 33. 15. 3. 33. 3. 60. 27. 33. le 11. 12. 15. 6. 51. 60. 66. 15. 33. le 53. 54. 25. 31. 42. 60. 43. 12. 3. 39. 60. 15. 51. 54. et par ce moyen 32. 33. 15. 60. 14. 15. 51. 52. 32. 33. 15. 54. 27. 14. 15. 21. 15. 14. 12. 14. 15. 36. 42. 39. 57. 54. 55. ou 9. 42. 60. 45. p. 15. 51. 33. 15. 16. 54. 60. 27. 60. 51. 15. 54. 3. 60. 12. 60. 9. ou bien pour 40. 25. 9. 24. 3. 51. 21. 15. 51. 33. 15. 11. 12. 60. 27. 25. 26. 12. 14. e. 23. 42. 24. 33. 54. 55. 57. 15. 27. 34. -

Voilà, Monsieur mon frère, quant à l'estat de nos affaires. Or povez vous par là assez entendre, s'il n'est encore tamps que les Princes d'Allemagne se resveillent, là où ils voyent tout manifestement à quoy l'on prétend, car ce n'est ny à moy, ny à vous en particulier, que l'on en veut. Ils sont délibérez de mettre en exécution leur vieille alliance de Bajonne et autres semblables, c'est à dire extirper tous ceux qui ne sont subjects à la domination Romaine, et réduire l'Europe soubs l'obéissance du Pape, et n'est plus question d'adjoutter foy à aucunes promesses, serments ou contracts qu'ils feront, car tousjours à ceste reigle la vigueur, Haereticis non est habenda fides. Vous savez ce qu'ils ont donné à entendre à nos Princes, tant par lettres, que par gens propres expres-

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Ga naar margenoot+sément dépêchés, et autres diverses manières, que s'ilz peuvent plus longtemps souffrir que l'on se mocque ainsy d'eux, il faudra certes que, après que nous autres, petits compagnons, serons deffaits, qu'eux attendent aussy leur tour pour saouler l'avarice et la rage sanglante de ces ennemis de Dieu et de toute justice. Pourtant je vous prie de prendre la chose à coeur et la remonstrer à bon escient, voire avecq toute importunité au Lantgrave, et par son moyen aux autres Princes, car la chose emporte trop pour plus longtamps se taire. Il fault qu'ilz s'esveillent désormais, s'ilz ne vueillent attendre l'entière ruine d'Allemagne qui leur panche désjà sur la teste, ayant esté brassée de longue mainGa naar voetnoot(1). Je vous prie, Monsieur mon frère, ne vous ennuyer de leur mettre cecy au devant, ores bien qu'ils s'en deussent fâcher, car ceste occasion nouvelle et tant importante vous polra excuser devant toutes gens de bien et de jugement; aussy m'y ferez vous singulier plaisir.

 

Monsieur mon frère, après ceste escritte, suis arrivé en ceste ville de Malines, ayant laissé mes reistres à StertbequeGa naar voetnoot1 en mon camp, et m'a icy esté délivrée une lettre vostre, pour responce de laquelle ne vous sauroye assez

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[p. 509]

Ga naar margenoot+remercier de la bonne diligence qu'usez à m'advertir ainsy particulièrement de toutes occurences qu'entendez; et touchant ce desseing nouveau dont m'advertissez, je ne faudray à estre sur mes gardes et en donner advis à tous mes Capnes et ayants charge, afin qu'ilz soyent sur leurs gardes. Quant au reste, je vous prie de vouloir incontinent et au plustost que vous sera possible, dépêcher le 20. 31. 25. 31. 17. 13. 9. 42. 36. m. 26. 27. [51.] s. 4. 5. 25. 3. 27. 51. 15. 54. 9. 24. 66. 3. 51 57. 54. 14. 15. 39. 18. 50. 51. 3. 39. 9. 8. 15. afin de faire entoute diligence 35. 23. 17. 74. 36. 3. 51. 9 24. 15. 50. 51. 52. 32. 33. 14. 15. 54. 9. 27. 39. c. 37. 48. 36. 27. 33. le 5. 25. 3. 51. 48. 60. 15. 6. 60. 72. 27. 15. 51. 54. 55. 31. 60. 15. 51. 54. 17. 51. 15. 14. 36. 60. 39. 38. 12. 14. 15. 14. d'autant que je ne sache 14. 5. 31. 17. 13. 40. 20. 33. 27. 15. 60. 32. 45. 33. 60. 54. 9. 42. 36. 37. 25. m. 41. 42. 12. 14. 15. 16. 42. 60 39. 42. 60. 54. nous 43. 45. 42. 35. 51. 27. 42. 39. 54. 51. 15. 39. 9. 41. 42. 39. 57. 51. 15. 51. 50. 25. et surtout que l'on y use bonne discrétion et prudence, sans se precipiter témérairement en danger. Vous polrez adviser avec le doctor Ehemius quel seroit le meilleur et plus propre chemin pour y venir. De ma part, je ne trouveroye hors de propos que 22. 31. 12. e. 53. s. 3. 50. 51. 6. 51. 60. 9. 10. 25. 31. 27. 33. 72. de 25. 54. 9. 15. 39. 12. 27. 54. 55. s. 15. 39. 57. 33. 15. 51. 27. 39. partie 2. 20. 23. 3. 5. 6. 2. 3. 4. 57. 15. 3. 60. 61. 25. 31. 17. 13. partie 26. 17. 25. 20. 4. 3. 45. 27. 15. 14. 12. 13. 25. vous y pourrés adviser et user de toutte dilligence. Qui sera la fin où me recommandant de bien bon coeur en vostre bonne grâce, prieray Dieu qu'Il vous maintienne, Monsr. mon frère, en Sa sainte sauvegarde et protection. Escrit à Malines, ce 21 de septembre 1572.

[pagina 510]
[p. 510]

Ga naar margenoot+Quant à 31. 17. 13. 14. 12. 27. 15. 57. 54. 55. 25. 20. 60. 42. 39. 40. 54. 20. 9. 24. 45. 42. 39. 15. 38. 39. 6. 15. 51. 21. 20. je voudroye volontiers 40. 45. 41. 35. 15. 39. 40. 54. 15. 50. 51. 60. 27. 51. 36. 3. 27. 54. 3. 2. 5. 18. 3. 60. 57. 15. 11. 17. 12. 15. 14. 36. 40. 42. 69. 15. 14. 39. 40. 27. 14. 15. 16. 39. 15. 54. 3. 60. 51. 42. 69. 48. 60. 15. 33. 60. 69. 20. 26. 36. 3. 39. 12. 15. 15. 51. 50. 25. 31. pour le présent.

 

VostreGa naar voetnoot1 bien bon frère à vous faire service,

Guillaume de Nassau.

 

A Monsieur, Monsieur le Comte Jehan de Nassau, mon bien bon frère.

margenoot+
1572. Septembre.
voetnoot1
Tirlemont.
margenoot+
1572. Septembre.
voetnoot(1)
Malines. ‘Le Conte Ludovic treuvoit fort bonne ceste emprinse de Malynes .... Mais le Prince d'Orenges ne la goustoit, pource que la ville estoit trop dedans pays, et qu'il désiroit plus s'eslargir sur les advenues et frontières du pays. Mais il fut tant sollicité par les dictz banniz et conspirateurs, qu'enfin il y acquiescea.’ Willems, Meng. no 6. p. 395.
margenoot+
1572. Septembre.
voetnoot(1)
Il est à regretter qu'une comparaison attentive des passages suivants avec d'autres pièces dont nous possédons le déchiffrement, n'ait conduit à aucun résultat. On s'est convaincu que les chiffres y étant infiniment plus nombreux que les lettres, il sera très difficile, si non décidément impossible, de retrouver le sens.
voetnoot1
1 accuser.
margenoot+
1572. Septembre.
voetnoot(1)
il s'en trouvera. ‘L. Wilhelm (wie er später erzählt) aüszerte mehrmals zu seinen vertrauten Dienern, es brause ihm vor jener Hochzeit.’ V. Rommel, N.G.H. I. 549. Th. de Bèze écrit, le 10 sept. 1572: ‘Quoties ego haec ipsa praedixi? quoties praemonui?’ Scrin. Ant. VIII. 2. 689. Mais des avertissements fondés sur le caractère foible et mobile du Roi, ou sur de vagues menaces des Catholiques, ne pouvoient décider Coligny, las des luttes civiles, à briser avec Charles IX, et à encourir ainsi le reproche de l'avoir déterminé et forcé à se rallier aux Guise, recommençant la guerre non pour des motifs, mais pour des soupçons: voyez p. 496, sqq.
margenoot+
1572. Septembre.
voetnoot(1)
arrivement. ‘De Prince, in syne aenkomste by Bergen, dede synen broeder, Graef Hendrick, met vier benden ruyteren, des Hertoghs volck onversiens besloten, met sulcke fortse dat sy die uyt alle ordre dreven, tot binnen haer beschanssingen.’ V. Meteren, p. 74c.
margenoot+
1572. Septembre.
margenoot+
1572. Septembre.
margenoot+
1572. Septembre.
voetnoot(1)
de longue main. Ces suppositions étoient fort naturelles, bien qu'elles fussent exagérées: De Thou écrit: ‘Ab adversariis ubique jactabatur Regem cum Pontifice et Hispanorum Rege in Protestantium perniciem secreta consilia agitare .... idque Fridericus Bajoarus Palatinus Septemvir insito relligionis suae tuendae ardore facile sibi persuaderi passus erat, ac vix tandem a Jo. Casimiro F. qui rebus nostris summopere favebat, ab ea opinione dimoveri potuit.’ Histor. l. 55. p. 907b
voetnoot1
Sterrebeek (?).
margenoot+
1572. Septembre.
margenoot+
1572. Septembre.
voetnoot1
Vostre - service. Autographe.

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