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Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Supplément (1847)

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Genre

non-fictie

Subgenre

non-fictie/brieven
non-fictie/geschiedenis/Opstand


© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Supplément

(1847)–G. Groen van Prinsterer–rechtenstatus Auteursrechtvrij

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[p. XXXV]

Additions.

p. 14*. l. 5. Ajoutez: Le 6 juillet le Comte Louis de Nassau avoit écrit de Bruxelles au Landgrave Guillaume de Hesse: ‘Unser rothe Jungfraw mit irem anhang fürchtet nichts mehr dan das Engellandt und Frankreich einen friedden und bundnus mit ein andermachen, sonderlich der Religion halber; ich weis wol das Spanien allen mögelichen fleis anwendet dissenn friden zu verhindern, ich hoffe aber zu Gott sie werden witziger sein: dan sie uff beiden seiten wol wiessenn waruff Spanien umbgehet’ (ms. c.).
p. 170*. l. 21. Ajoutez: Le 26 juin le Cardinal de Granvelle écrivit à M. de Bellefontaine: ‘L'exploit contre le Comte Ludovic étoit tel que si les Espagnols par leur mutinerie si estrange n'eussent tout gasté, nous pouvions avoir espoir que les affaires publicques des pays d'embas prandroient meilleur chemin que du passé.... L'on nous asseure... que les Espagnols estoient appaisez, mais c'est après avoir fait plus de desservice à S.M. qu'ilz ne luy ont faict ny feront jamais de service.. On voit par

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  lettres du Prince d'Orange interceptées et desquelles le Sr Comm. Major m'a envoyé copie, qu'il n'estoit à son ayse et qu'il avoit grande crainte après la défaite du Comte’ (ms. b. gr.).

Traduction
des passages en espagnol.

Tome I (2e édit.).

p. 191. l. 16. Sans doute ils se trompent fort de croire de pareilles choses, puisque je n'y ai jamais songé.

p. 191. l. 20. Et puisque sa Maj. sait bien que maintenant ceux qui lui veulent du mal, ne manqueront pas de répandre et de publier en Allemagne (à cause du présent embarras et rebellion en France, et du secours que s.M. a accordé à son frère le Roi trèsChrétien, à son instance, pour l'assoupir et y porter remède, comme il convient) beaucoup de choses et sans fondement contre sa M. et à son préjudice, comme s'il se pratiquoit des choses au préjudice des États du Saint-Empire et de leur Religion, et quoique ceci importe peu à sa M., et que sans doute le temps fera paroître la vérité du tout, cependant, etc.

p. 192. l. 7. Quoique je ne pratique rien, ni ne désire quant à cela de la religion.

p. 259. p. 1. Je vois le Président et Berlaymont presque désespérés; parcequ'ils connoissent qu'indirectement on prononce maintenant contre eux; et d'ici je les anime autant que je puis à souffrir et à mettre leur espérance dans le temps et la venue de v.M. si nécessaire, et à n'abandonner en aucune manière les affaires; car en les abandonnant, véritablement le tout iroit par terre.

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[p. XXXVII]

supplément.

 

p. 44*. l. 28. Plût à Dieu qu'il fût parti il y a un an; qui eût été mieux pour ces États.

p. 49*. l. 1. Il ne sauroit y avoir personne sur qui v. E. peut faire plus de fondement que sur le Président, s'il veut, et pour moi j'estime qu'il voudra autant que ses forces seront suffisantes, ses indispositions l'ayant beaucoup affoibli.

p. 80*. l. 20. Pour me donner avis de ce qui s'est passé avec l'Empereur sur l'emprisonnement des Comtes d'Egmont et de Hornes; ce qui, quoique c'ait été un peu dur, ne m'émeut en aucune façon; parce que j'ai toujours tenu pour certain que, lorsqu'il aura entendu la raison et justice avec laquelle cela s'est fait, il le prendra différemment, comme m'avez écrit qu'il le prend déjà, ou qu'il l'aura pris quand il aura vu ce que je lui ai écrit.

p. 81*. l. 1. Quant au fait particulier du Prince d'Orange, vous lui direz qu'il peut répondre et assurer au Duc Auguste que, par le Duc d'Albe, on procède en mon nom avec tant de circonspection et de justice, que si l'on ne trouve pas de faute, il ne lui sera pas fait de peine et que j'aimerois beaucoup mieux qu'il fut trouvé si exemt de faute qu'il put se justifier suffisamment et retourner à son État, et en jouir comme auparavant, et que si par hasard on trouve quelque faute dans la manière de procéder qu'on tient en son affaire, j'ordonnerai d'y faire attention; de sorte qu'il pourra être très-assuré que justice lui sera faite sans affection ni passion; puis il n'y a pas de motif pour soupçonner le contraire du Duc ni de aucun des ministres que j'ai là bas.

p. 105*. l. 9. D'abord sa dite M. prie et mande de son côté à sa Maj. Imp. qu'elle ne pourra jamais se persuader, ni croire qu'il soit possible que le Prince d'Orange, dans une cause si injuste, où il s'agit de prendre les armes et d'envahir les États de son Seigneur naturel, avec si peu d'instruments de pouvoir et si peu de moyens financiers, auroit été en état de former une armée en Allemagne, s'il n'eût été aidé par des Princes, des Cités et d'autres particuliers de l'Empire, et que, ni l'autorité de sa Maj. Imp., comme en étant Seigneur et Chef, ni le devoir que, comme frère du Roi et dans une

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cause si éminemment sienne elle eût pu faire, n'eussent suffi pour l'empêcher, et que, quoique Sa Maj. Catholique soit bien persuadée de la bonne volonté de sa M. Imp., elle ne peut laisser de regretter vivement que nuls motifs ni considérations ne l'aient retenue ou embarrassée de ne pas entreposer son autorité... Que de même Sa Maj. Catholique a regretté, comme de raison, que le dit Prince d'Orange s'étant, par dessus ses grandes fautes précédentes, avancé dans sa rebellion jusqu'à prendre les armes et former une armée et envahir les États de Sa Maj. royale, l'Empereur ait cherché à s'entremettre pour lui; vû que les choses ne sont pas en tel termes ou en tel état que (moyennant la dignité et l'autorité de Sa Maj. Catholique) on puisse traiter de grâce ni de miséricorde, et beaucoup moins de conditions et d'autres points pareils; d'autant plus que Sa Maj. Imp. savoit que les forces de Sa Maj. Catholique n'étoient pas foibles pour résister, ni dans des circonstances où cette entremise eût été nécessaire par rapport à Sa Maj.; et que le Roi a très-particulièrement regretté la manière et les termes dans lesquels on a traité et l'on propose une suspension d'armes, et une trève, et les conditions d'un accord étant si peu convenables entre un Souverain et un vassal rebelle, de la part duquel on doit procéder avec soumission et respect, et pas sur un pied d'égalité....

Quelque juste que soit le ressentiment de Sa Maj. royale, par rapport à ce qui a été dit ci-dessus, ce qu'on pourroit augmenter de beaucoup de paroles, elle en a un autre, plus grave encore, de ce qui a fait tàcher Sa Maj. Imp. de persuader et recommander d'une manière si expresse et si forte que, dans ce qui concerne la Religion, on procède avec modération et connivence, abandonnant la voie de contrainte et de rigueur, et prenant en cette matière quelque milieu, à l'exemple de ce qui s'est fait dans d'autres provinces et par d'autres Princes, ainsi que dans son Instruction il est dit et répété plusieurs fois: puisque Sa Maj. Imp. doit être bien au fait de la manière d'agir de Sa Maj. Catholique et de la manière dont en toute occasion elle a agi, et si souvent déclaré qu'aucun respect humain, ni aucune considération d'État, ni tout ce que dans ce monde pourroit lui être représenté ou contre elle hasardé, ne la fera jamais dévier ni s'écarter en un seul point du chemin que, dans cette affaire de la Religion et

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dans sa manière d'agir en cela, conformément aux ordonnances de la sainte mère l'Église Romaine et à l'exemple des Rois et des Princes ses prédécesseurs, elle a tenu et entend tenir perpétuellement, et avec tant de fermeté et de constance que non seulement elle n'admettra pas de conseil ou de persuasion qui y soit contraire, mais qu'elle ne peut en aucune façon y prêter l'oreille, ni prendre en bonne part qu'on la conseille.

Qu'en outre Sa Maj. Catholique n'a pu laisser de s'étonner beaucoup de la forme dans laquelle Sa Maj. Imp. dans son Instruction, parle de l'union et de la confédération et correspondance de ses Pays-Bas patrimoniaux; puisque, si elle veut prendre de bonnes informations, elle trouvera que leur union et aggrégation à l'Empire est accompagnée de conditions expresses limitées et particulières, et que, à telles fins qu'on y a déclarées, et parceque les Pays Bas en sont l'extrême frontière, on est convenu et on a traité avec l'Empire que la Souveraineté de Sa Maj. royale y demeure entière et sauve, sans qu'elle soit obligée à d'autres lois ou conditions ou recès des Diètes, ni à ce que ses vassaux ayent un recours ultérieur à l'Empire, beaucoup moins encore en ce qui concerne la Religion.

En outre Sa Maj. Catholique a été fort surprise des termes et de la manière dont on a usé en ceci, ... parce qu'ils lui semblent outrepasser de beaucoup les limites d'un conseil et d'une persuasion amicale et qu'ils touchent à des termes de menaces et à une influence par manière de terreurs et de craintes.... Et Sa Maj. Imp. pourra juger par elle même qu'avec les Princes de la qualité de Sa Maj. Catholique, de tels moyens ne sont ni bons ni convenables pour les persuader et émouvoir, et que, Dieu soit loué, Sa Maj. royale ne se trouve pas dans une position où elle manqueroit de forces, d'autorité, et d'amis, pour être persuadée et inclinée par des termes pareils.... Madrid, 20 janvier 1569.


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