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Oeuvres complètes. Tome XII. Travaux de mathématiques pures 1652-1656 (1910)

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Titelpagina van Oeuvres complètes. Tome XII. Travaux de mathématiques pures 1652-1656
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Editeur

D.J. Korteweg



Genre

non-fictie

Subgenre

verzameld werk
non-fictie/natuurwetenschappen/wiskunde


In samenwerking met:

(opent in nieuw venster)

© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Oeuvres complètes. Tome XII. Travaux de mathématiques pures 1652-1656

(1910)–Christiaan Huygens–rechtenstatus Auteursrecht onbekend

Vorige Volgende
[pagina 239]
[p. 239]

Ad C.V. Fran. Xaver. Ainscom, S.I. epistola.
1656.

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[p. 241]

Avertissement.

En composant son ‘Ἐξέτασις Cyclometriae Cl. Viri Gregorii à S. Vincentio’Ga naar voetnoot1), Huygens avait espéré de pouvoir, par la lucidité de son exposition et la force de ses arguments, convaincre Grégoire lui-même de l'insuffisance de sa quadrature du cercleGa naar voetnoot2).

Après la publication, en décembre 1651, il fut bientôt désappointé par l'attitude évasive de Grégoire, qui, nonobstant les insistances de plus et plus pressantes de Huygens, persista à réserver son jugement jusqu' au jour où il répondrait à tous ses adversaires à la foisGa naar voetnoot3). Un moment alors Huygens se trouva sur le point de perdre patience. Ce fut lorsque dans le brouillon d'une de ses lettres à Grégoire il lui adressa, entre autres, l'allocution célèbre de Cicéron ‘Quousque tandem abuteris patientia nostra!’Ga naar voetnoot4). Mais il se reprend et se contente dans la lettre qu'il

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[p. 242]

écrit de prier Grégoire emphatiquement de vouloir du moins lui indiquer en trois mots ‘combien de fois le rapport 53 à 203 contient le rapport 5 à 11 dans le sens de sa 44ième Proposition du Livre 10’Ga naar voetnoot5).

C'est en effet de la réponse à donner à cette question que dépend la réduction à l'absurde qui constitue la partie principale de l'‘Ἐξέτασις’Ga naar voetnoot6). Une réponse numérique aurait permis de calculer, en admettant la justesse de la quadrature de Grégoire, la valeur du rapport de la circonférence du cercle au diamètre et d'en démontrer la discordance avec la valeur approchée bien connue de ce rapport. Au lieu de cela Grégoire renvoieGa naar voetnoot7) à un ouvrage d'un de ses élèves, le père de SarasaGa naar voetnoot8), d'où il suit, en effet, que le sens que Grégoire veut donner à l'expression ‘contenir’ se trouve étre celui même que nous avons suggéré dans la note 28 de la page 280 du Tome XI et d'après lequel le nombre de fois que le premier rapport ‘contient’ le second est exprimé par la valeur de n dans l'équation illustratie. La réponse ne manquait donc pas de précision comme on serait tenté de le croire au premier abord; mais elle impliquait que, même en admettant la justesse de toutes les propositions qui avaient amené la première de ses quadratures prétendues, Grégoire n'avait pas donné la quadrature proprement dite du cercle mais seulement la réduction de cette quadrature à celle de l'hyperbole ou aux logarithmes.

Trois mois plus tard, en juillet 1652, Huygens avait à Gand un entretien amical avec Grégoire qui lui laissa entendre que son livre avait été rédigé par ses élèves, qu'il se pourrait bien qu'une erreur se fût glissée dans la première quadrature, la seule attaquée directement par Huygens; mais qu'il avait confiance dans les autres. En quittant Grégoire, Huygens était sous l'impression que la réponse tarderait encore longtemps à paraître et qu'elle ne vaudrait pas grand' choseGa naar voetnoot9).

Toutefois, déjà en janvier 1653 Huygens appritGa naar voetnoot10) qu' une réfutation de son ‘Ἐξέτασις’ était prête, composée par un des élèves de Grégoire, le père Aynscom. Elle ne parut qu'en 1656Ga naar voetnoot11). En attendant, Kinner à Löwenthurn, un

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[p. 243]

autre élève, prit la défense de son ancien maître. Dans ses lettres à Huygens du 30 novembre 1652 et du 18 juillet de l'année suivanteGa naar voetnoot12) il contesta que la première quadrature de Grégoire fût celle à laquelle l'auteur avait donné la préférence sur les autres, comme Huygens l'avait prétenduGa naar voetnoot13). Tout au contraire il considérait qu' avec elle l'auteur avait plutôt voulu montrer la possibilité de la quadrature du cercle que de l'exposer de fait. C'était la seconde quadrature qui, d'après l'opinion de Grégoire lui-même, était la plus facile. Lui, Kinner, l'avait rédigée en 35 propositions qu'il publierait peut-être bientôt; ce qu' il fit en effet dans son ouvrage ‘Elucidatio geometrica Problematis Austriaci sive Quadratura Circuli feliciter tandem detectae per R.P. Gregorium a S. Vincentio’Ga naar voetnoot14).

Aussitôt après la réception de cette ‘Elucidatio’ Huygens chercha à détromper Kinner en lui indiquant le lieu précis où il avait trouvé sa quadrature en défautGa naar voetnoot15); mais il ne réussit pas à le convaincreGa naar voetnoot16).

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[p. 244]

Après ce premier passe d'armes avec un des élèves de Grégoire, Huygens avait encore à attendre plus de deux années avant qu'il reçut, en juillet 1656, la réponse du père AynscomGa naar voetnoot17), annoncée depuis si longtemps. Dans cet ouvrage de 182 pages in folio, l'auteur s'efforce à réfuter tous les adversaires des quadratures de Grégoire. Il les divise en deux classes: ceux qui ont attaqué les théorèmes sur les proportionnalités et ceux qui, laissant de côté ces théorèmes ou admettant leur justesse, se sont occupés des propositions dont les quadratures dépendent plus directement. Après avoir rendu hommage dans sa préface aux adversaires, parmi lesquels il donne au jeune Huygens la première place, qui se sont servis de méthodes dignes de géomètres, quoiqu' ils n'aient pas atteint leur butGa naar voetnoot18), il répond à ceux de la première classe par son ‘Liber primus’, qui occupe les 88 premières pages de son ouvrage. Puis le second livre débute, dans sa ‘Pars prima,’ par un résumé de la première quadrature de Grégoire avec des explications authentiques suivant les intentions de son auteurGa naar voetnoot19); tandis que la ‘Pars secunda’ prend à tâche de réfuter l'un après l'autre tous les adversaires de la ‘seconde classe’ par autant de ‘Responsiones’Ga naar voetnoot20), desquelles nous reproduisons

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[p. 245]

plus loinGa naar voetnoot21) la ‘Responsio III ad Ἐξέτασιν Clariss. D. Christiani Hugenij’. Enfin Aynscom conclut par un troisième, quatrième et cinquième Livre qui contiennent des exposés des trois autres quadratures de Grégoire.

Inutile de dire que le père Aynscom ne réussit pas à sauver ni la première quadrature, ni les autres; toutefois une chose ressort très nettement de son exposition. Nous voulons parler de l'emploi, par Grégoire, du terme ‘contenir’ dans la ‘Demonstratio’ de sa 44e proposition du ‘Lib. 10’, proposition dont dépend sa première quadrature. Quel est le sens de ce terme dans la phrase ‘qu'un rapport donné en contient un autre un certain nombre de fois’? Huygens, dans son ‘Ἐξέτασις’Ga naar voetnoot22), examine successivement deux interprétations diverses. Il en rejette la première, celle que nous venons d'exposer plus haut, en remarquant que le rapport 53 à 203 n'est du rapport 5 à 11 ni le carré, ni la troisième puissance ou quelque puissance plus élevée’, ensuite il en hasarde avec beaucoup de réserve une autre qui amène la réduction à l'absurde qu'il fait suivre. Or, il n'y a aucun doute que cette première interprétation était celle, visée par GrégoireGa naar voetnoot23). La circonstance alléguée par Huygens que le nombre n qui doit satisfaire à la relation 53/203=(5/11)n est nécessairement un nombre incommensurable n'y fait pas obstacle, puisque la ‘Prop. 129’Ga naar voetnoot24) du ‘Lib. 6’ de l'ouvrage de Grégoire, citée par

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[p. 246]

AynscomGa naar voetnoot25), équivant pleinement à l'introduction des exposants incommensurables. Toutefois elle change entièrement la portée de la prétendue quadrature, qui, comme nous l'avons déjà remarqué, ne donnerait autre chose que la réduction de la quadrature du cercle à la détermination d'un nombre qui n'est exprimable qu' à l'aide des logarithmesGa naar voetnoot26). Sous ce point de vue Huygens a raison de rejeter cette première interprétation comme ne menant pas à une quadrature proprement dite.

Dès que Huygens eut reçu l'ouvrage d'Aynscom il prépara sa réplique. Il l'annonce à De RobervalGa naar voetnoot27) et à WallisGa naar voetnoot28) duquel il se propose de citer dans cette réplique l'opinion, conforme à la sienne, exprimée par Wallis dans la préface de son ‘Arithmetica Infinitorum’. Le 25 septembre il envoie le manuscrit à l'imprimeur ElsevierGa naar voetnoot29). Au commencement d'octobre 1656 l'impression est achevéeGa naar voetnoot30).

Aynscom, qui reçut un exemplaire par l'intermédiaire du père SeghersGa naar voetnoot31), n'a jamais répondu, nonobstant un rappel que Huygens lui fit parvenir en 1659 par le mème pèreGa naar voetnoot32).

[pagina 247]
[p. 247]

Ainsi la poussière soulevée par la quadrature du cercle de Grégoire St. Vincent, les attaques de MersenneGa naar voetnoot33), SylviusGa naar voetnoot34), MaybaumGa naar voetnoot35), LéotaudGa naar voetnoot36), AuzoutGa naar voetnoot37) et Huygens et les réponses de de Sarasa, Kinner à Löwenthurn et Aynscom, retombait enfin au repos, et toute cette polémique, qui a occupé le monde savant pendant plus de dix années, aurait laissé bien peu de traces, ne fût-ce que tout ce qui regarde un homme comme Huygens ne cessera jamais d'inspirer un certain intérêt.

voetnoot1)
Voir l'ouvrage reproduit aux pages 315-337 du Tome XI.
voetnoot2)
Consultez le T. I aux pages 160 ‘Magna me spes tenet et tractandi ratione et argumentorum efficacia plenissimè tibi satisfactum fore’, 161 ‘Sin otium non fuit nec adhuc suppetet, intelliges tamen imposterum et ex aliorum sententiis, et ex adversarij propria ut spero confessione nihil me frustra hic movisse’ et 166 ‘Breviter modo hanc confutationem institui, et praecipne in hoc operam dedi ut ipsi Patri Gregorio in veriorem sententiam transeundi necessitatem imponerem’.
voetnoot3)
Voir les lettres de Huygens du 26 décembre 1651, du 24 janvier et du 15 mars 1652, pp. 159, 171 et 174 du Tome I, et les réponses de Grégoire du 6 janvier, du 18 février 1652 (placée par mégarde parmi l'année 1651) et du 6 avril 1652, pp. 164, 137 et 179 du Tome 1.
voetnoot4)
Voir le premier alinéa de la pièce No. 122, p. 174-175 du T. I.
voetnoot5)
Voir la p. 175 du T. I.
voetnoot6)
Comparez la p. 327 du T. XI.
voetnoot7)
Voir la p. 180 du T. I.
voetnoot8)
L'ouvrage cité dans la note 7 de la p. 156 du T. I.
voetnoot9)
Voir, sur cette entrevue, la lettre de Huygens à Tacquet du 4 novembre 1652, p. 189 du T. I.
voetnoot10)
Voir sa lettre à van Schooten du 17 janvier 1653, p. 219 du T. I.
voetnoot11)
Sur la cause du retard on peut consulter une lettre de Grégoire à Huygens du 15 janvier 1654, p. 266 du T. I.
voetnoot12)
Voir les pp. 193 et 235 du T. I.
voetnoot13)
Voir la première page de l'‘Ἐξέτασις’, p. 315 du T. XI.
voetnoot14)
Voir, pour le titre complet, la note 3 de la p. 252 du T. I.
voetnoot15)
Voir la lettre No. 184 du 23 mars 1654, p. 278 du T. I.
voetnoot16)
Voir la lettre No. 188 du 11 avril 1654, p. 282 du T. I. L'ouvrage de Kinner à Löwenthurn est très rare. Un exemplaire se trouve dans la bibliothèque de l'Université à Prague. Par la bienveillance de la direction nous l'avons pu avoir à Amsterdam et constater la portée de l'erreur commise par Kinner, à l'exemple de Grégoire.
Soient, en effet,
a1 : b1 = a2 : b2 = a3 : b3 = .... = an : bn,
et de plus:
a1 : c1 = b1 : d1; a2 : c2 = b2 : d2; a3 : c3 = b3 : d3; .... an : cn = bn : dn;
on aura alors: Σa : Σc = Σb : Σd.
Ce théorème est démontré par Archimède; il constitue la Prop. 2 de l'ouvrage ‘De Conoidibus et Sphaeroidibus’, p. 29 de l'édition de Commandin (Heiberg, T. I, p. 291, où elle porte le numero 1). Grégoire et Kinner font remarquer qu'elle reste valable si les grandeurs a, b, c, d sont remplacées par des rapports; ce qui est vrai.
Des relations:
p1/q1 : r1/s1 = p2/q2 : r2/s2 = p3/q3 : r3/s3 = ..... = pn/qn : rn/sn
combinées avec:
p1/q1 : t1/u1 = r1/s1 : v1/w1; p2/q2 : t2/u2 = r2/s2 : v2/w2; ...; pn/qn : tn/un = rn/sn : vn/wn,
on peut donc conclure légitimement qu'on aura:
Σ p/q : Σ t/u = Σ r/s : Σ v/w;
mais dans l'application qui suit, le Hoc est signalé par Huygens dans la lettre No. 184 (p. 278 du T. I), cette relation est traitée comme si elle était:
Σp/Σq : Σt/Σu = Σr/Σs : Σv/Σw.
Si nous ajoutons que les Σp, Σq, etc. représentent des cubatures de divers corps, générés par l'opération ‘ducere planum in planum’, décrite p. 278 du T. XI, et que quelques unes de ces cubatures dépendent de la quadrature du cercle, on comprendra comment cette application erronée de la proposition citée d'Archimède a pu mener à une fausse quadrature du cercle.
Ces remarques suffiront pour élucider les lettres citées, échangées entre Huygens et Kinner. Comme il l'avait déjà annoncé dans sa lettre du 23 mars 1654 (voir la page 279 du T. I), Huygens, tout en poursuivant sa correspondance amicale avec Kinner, n'a pas répliqué aux objections futiles contre sa critique, contenues dans la lettre de Kinner du 11 avril 1654, p. 283 du T. I.
voetnoot17)
Voir l'ouvrage cité dans la note 6, p. 210 du T. I.
voetnoot18)
‘Qua in re, solidius reliquis, versati sunt, Clariss. Dominus Christianus Hugenius, Eruditissimique viri, Adrianus Auzotius, Alexius Syluius, & R.P. Vincentius Leotaudus S.I. Geometra egregius: qui licet spe suâ falsi, & scopum quem spectabant vnicè, minime attigere, vt sequentes edocebunt libri, eâ certe in re geometrica versati sunt methode, quae Geometras decet. vnde illorum conatus Auctori non solum non displicuit, vt multum se debere illis fateatur perlubenter: ego certè, totum huius operis argumentum, iisdem debere me, nunquam diffitebor: in quo, quid potissimum spectarim, quid à me factum sit, paucis accipe.’
voetnoot19)
Voir les pages 89-104 de l'ouvrage cité.
voetnoot20)
Voir les pages 104-131 de l'ouvrage d'Aynscom. En effet, les adversaires de Grégoire se sont bornés presqu' exclusivement à attaquer sa première quadrature; soit que, comme Huygens, ils l'aient considérée comme préférée par l'auteur aux autres, soit qu' ils n'aient pas eu le courage de pénétrer plus avant.
voetnoot21)
Voir les p. 249-261 du Tome présent.
voetnoot22)
Voir la p. 327 du T. XI.
voetnoot23)
Cela résulte entre autres de la ‘Prop. 34’ du ‘Lib. 10’ (p. 1117-1118) où la phrase en question est employée dans le sens bien déterminé que nous avons expliqué p. 279-280 du T. XI, au § 9.
voetnoot24)
Voici cette proposition qu'on trouve à la page 596 de l'ouvrage de Grégoire: ‘Sint AB, BC

illustratie

asymptoti hyperbolae DFH, & DE, FG, HC parallelae asymptoto: plano autem DEGF incommensurabile sit planum FGCH.
Dico rationem DE ad FG, toties multiplicare rationem FG, ad HC, quoties quantitas DEGF, continet quantitatem FGCH.’
Or, écrivant xy = k2 pour l'équation de l'hyperbole et posant DE = a, FG = b, HC = c, DEGF = A, FGCH = B, on a : A = k2 log a/b; B = k2 log b/c, donc a/b = (b/c)n où n = A : B est en général un nombre incommensurable.
Il est vrai que le terme ‘continere’ est employé ici et partout dans le sixième livre dans un autre sens que dans le dixième livre où se trouve la 44e proposition que nous venons de mentionner; mais on doit s'attendre dans l'ouvrage de Grégoire à ces sortes de surprises. Et il n'y a pas de doute que le terme ‘toties multiplicare’ du livre 6 équivaut au ‘toties continere per multiplicationem’, ou simplement ‘toties continere’, du livre 10.
Ajoutons que de Sarasa, dans l'ouvrage mentionné plus haut, comme aussi Tacquet dans sa lettre à Huygens du 2 décembre 1652, p. 194-197 du T. I, ont compris de cette manière l'intention de Grégoire. Tous les deux, Sarasa à la p. 7 de son ouvrage, citent à ce propos cette même ‘Prop. 129’. Et Wallis doit avoir exprimé la même opinion dans une lettre dont nous ne connaissons que la réponse de Huygens qui est du 13 juin 1653 (voir la p. 332 du T. I).
Consultez d'ailleurs sur les difficultés de l'interprétation des propositions de Grégoire la note 28, p. 257 du Tome présent.
voetnoot25)
En bas de la p. 100 de son ouvrage,
voetnoot26)
On aurait illustratie et illustratie; donc log illustratie: log 53/203. Nous laissons de côté l'explication par trop forcée donnée par Aynscom des intentions de Grégoire dans le ‘Scolium’ de la ‘Prop. 40’, sur lequel on pourra consulter la note 20, p. 254 du Tome présent. D'ailleurs cette explication ne mène à aucune construction ou calcul saisissable, et Huygens n'y a fait que justice dans les dernières pages de sa Lettre à Aynscom, p. 276-277 du Tome présent.
voetnoot27)
Voir la Lettre No. 315, du 20 juillet 1656, p. 457 du T. I.
voetnoot28)
Voir la Lettre No. 316, du 21 juillet 1656, à la p. 459 du T. I.
voetnoot29)
Toutefois l'ouvrage fut publié chez Vlacq; comparez les p. 490 et 491 du T. I.
voetnoot30)
Voir les lettres d'envoi à Seghers, van Schooten et van Gutschoven, pp. 502, 503 et 511 du T. I.
voetnoot31)
Voir la p. 502 du T. I.
voetnoot32)
Voir la p. 484 du T. II.
voetnoot33)
Voir l'ouvrage cité dans la note 5, p. 132 du T. I.
voetnoot34)
Voir l'ouvrage cité dans la note 1, p. 278 du T. I.
voetnoot35)
Voir l'ouvrage cité dans la note 5, p. 409 du T. I.
voetnoot36)
Voir les ouvrages cités dans la note 1, p. 266 et 267 du T. I.
voetnoot37)
Sous le pseudonyme A.A. dans l'ouvrage cité dans la note 4 p. 458 du T. I.

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