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Oeuvres complètes. Tome XIII. Dioptrique (1916)

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Editeur

D.J. Korteweg



Genre

non-fictie

Subgenre

verzameld werk
non-fictie/natuurwetenschappen/natuurkunde


In samenwerking met:

(opent in nieuw venster)

© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Oeuvres complètes. Tome XIII. Dioptrique

(1916)–Christiaan Huygens–rechtenstatus Auteursrecht onbekend

Vorige Volgende
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Tables.

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I. Pièces et Mémoires.

Page.
Avertissement I-CLXIII
Tables de concordance CLXIV-CLXVII
LA DIOPTRIQUE 2-141; 172-233; 244-269; 272-353; 434-585
  1653. Première Partie. Traité de la réfraction et des télescopes 2-141; 172-233; 244-269
  Livre premier. De la réfraction due aux surfaces planes et sphériques 2-141
  De la réfraction des rayons 2
  Propos. I. Soit donnée une surface quelconque limitant un corps transparent, soit AC le rayon réfracté provenant du rayon DA, AE le prolongement de CA, AF celui de DA. Si ensuite le corps transparent change de place, la surface qui le limite restant la même, mais de manière qu'il vienne se trouver de l'autre côté de cette surface, le rayon réfracté provenant du rayon FA sera AE 12
  Propos. II. Soit DC un rayon oblique tombant du dehors sur la surface réfringente d'un corps transparent et CG le rayon réfracté. Prenons un point quelconque F sur la normale à la surface à l'intérieur du corps transparent. Tirons FG parallèle à DC jusqu'à ce qu'elle coupe CG en G, alors le rapport CG:GF est égal à l'indice de réfraction 14
  Propos. III. Soit DC un rayon oblique tombant du dedans sur la surface réfringente d'un corps transparent, CH le rayon réfracté. Prenons un point quelconque L sur la normale à la surface à l'intérieur du corps transparent. Tirons LH parallèle à DC jusqu'à ce qu'elle coupe CH en H, alors le rapport LH:HC est égal à l'indice de réfraction 16
  Définition des points de concours ou de dispersion 16
  Propos. IV. Étant donnée la surface plane d'un corps transparent et le point où se dirigent les rayons au moment où ils tombent du dehors sur cette surface, trouver le point de concours des rayons réfractés 18

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Propos. V. Étant donnée la surface plane d'un corps transparent et un point d'où proviennent des rayons qui tombent du dehors sur cette surface, trouver le point de dispersion des rayons réfractés 22
Propos. VI. Étant donnée la surface plane d'un corps transparent et un point d'où proviennent des rayons tombant du dedans sur cette surface, trouver le point de dispersion des rayons réfractés 24
Propos. VII. Étant donnée la surface plane d'un corps transparent et un point en dehors de ce corps où se dirigent des rayons qui tombent du dedans sur cette surface, trouver le point de concours des rayons réfractés 26
Lemme 1. Soit A l'angle obtus d'un triangle ABC, D un point sur le prolongement de AC, alors BD:DA < BC:CA 26
Lemme 2. Réciproquement, si pour le même triangle le point D se trouve sur la droite AC du même côté de A que le point C et qu'on ait BD:DA < BC:CA, on aura AD > AC 28
Lemme 3. Soit B l'angle obtus d'un triangle ABC, D un point sur le prolongement de AC, alors AD:DB < AC:CB 28
Lemme 4. Réciproquement, si pour le même triangle le point D se trouve sur la droite AC du même côté de A que le point C et qu'on ait AD:DB < AC:CB, on aura AD > AC 28
Lemme 5. Soit une ligne droite AB divisée en C de telle manière que AC > CB. Prolongeons cette droite du côté B et soit AD:DB = AC:CB. Décrivons avec CD comme diamètre une circonférence de cercle, soit E un point de cette circonférence, alors AE:EB = AC:CB. Si, au contraire, le point L se trouve à l'intérieur de la circonférence on aura AL:LB > AC:CB et si le point H se trouve à l'extérieur AH:HB < AC:CB. Les réciproques de ces propositions sont également vraies 30
Propos. VIII. Trouver le point de concours de rayons parallèles tombant du dehors sur la surface sphérique convexe d'un corps transparent 32
Propos. IX. Trouver le point de concours de rayons parallèles tombant du dedans sur la surface sphérique convexe d'un corps transparent 34
Propos. X. Trouver le point de dispersion de rayons parallèles tombant du dehors sur la surface sphérique concave d'un corps transparent 38
Propos. XI. Trouver le point de dispersion de rayons parallèles tombant du dedans sur la surface sphérique concave d'un corps transparent 40
Définition de l'expression ‘correspondre à un point’ 40
Propos. XII. Étant donnée la surface sphérique convexe ou concave d'un corps transparent et le point auquel correspondent les rayons qui tombent sur cette surface; construisons sur l'axe, qui passe par le centre et par le point donné, une quatrième proportionnelle à trois longueurs ayant chacune une extrémité en ce point. La première de ces longueurs est la distance du point donné au point auquel  

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  correspondraient les rayons réfractés provenant de rayons parallèles â l'axe venant de l'autre côté. La seconde est la distance du point à la surface réfringente. La troisième est la distance au centre de cette surface. La quatrième s'étendra alors jusqu'au point qui correspond aux rayons réfractés. Cette quatrième distance doit être prise à partir du point donné dans un sens tel que toutes les quatre soient dans le même sens ou bien deux dans un sens, deux dans l'autre 40
Propos. XIII. Trouver le point de concours de rayons parallèles ayant traversé une sphère entière composée d'une substance transparente 78
Propos. XIV. Trouver le point de concours de rayons parallèles à l'axe tombant sur une lentille planconvexe 80
Propos. XV. Trouver le point de dispersion de rayons parallèles à l'axe tombant sur une lentille planconcave 82
Propos. XVI. Trouver le point de concours de rayons parallèles à l'axe tombant sur une lentille biconvexe ou concavo-convexe, la concavité étant moindre que la convexité 84
Propos. XVII. Trouver le point de dispersion de rayons parallèles à l'axe tombant sur une lentille biconcave ou convexo-concave, la convexité étant moindre que la concavité 88
Propos. XVIII. Trouver une lentille possédant une surface convexe égale à une surface donnée, et ayant son foyer à une distance donnée 94
Propos. XIX. Étant donnée une lentille possédant deux surfaces convexes inégales ou à section en forme de lunule, trouver une autre lentille équivalente ayant une surface convexe et une surface plane ou bien deux surfaces convexes de même courbure 96
Prop. XX. Étant donnée une lentille quelconque convexe ou concave avec deux surfaces sphériques, ou avec une surface sphérique et une surface plane; étant donné en outre sur l'axe de cette lentille un point où se dirigent ou d'où proviennent des rayons lumineux qui tombent sur la lentille: si l'on construit une troisième proportionnelle à deux longueurs, dont la première est la distance du point donné au foyer des rayons parallèles à l'axe venant de l'autre côté, et la seconde la distance du point donné à la lentille elle-même, alors l'extrémité de la troisième, portée sur l'axe à partir du point donné dans le même sens que la première longueur, sera le point de concours ou de dispersion des rayons qui proviennent du point donné ou qui se dirigent vers lui 98
Propos. XXI. Placer en un lieu donné une surface sphérique capable de réunir en un point donné les rayons qui correspondent à un point donné 108
Propos. XXII. Chercher les points de concours ou de dispersion des rayons qui correspondent à un axe de la lentille faiblement incliné par rapport à l'axe principal 110
Propos. XXIII. À l'interieur de toute lentille biconvexe ou biconcave il existe un  

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  point tel qu'un rayon quelconque passant par ce point a la même direction avant d'entrer dans la lentille et après l'avoir traversée. Un tel point se trouve à l'extérieur de la lentille du côté de la plus petite sphère dans les cas d'une lentille convexo-concave ou concavo-convexe 118
  Propos. XXIV. Le diamètre de l'image d'un objet, qui est formée derrière une lentille convexe a le même rapport au diamètre de l'objet que la distance de l'image à la lentille à la distance de l'objet à la lentille 122
  Propos. XXV. Un rayon qui tombe sur la surface commune de deux corps transparents, venant du corps le moins réfringent et pénétrant dans celui qui réfracte plus fortement, est incliné du côté de la perpendiculaire, l'indice qui correspond à cette réfraction étant le quotient des indices des deux corps par rapport à l'air. 124
  Propos. XXVI. Expliquer la construction de l'oeil et la manière dont se fait la vision 128
  Propos. XXVII. Porter secours aux yeux des vieillards et des myopes à l'aide d'une lentille en verre 134
  Propos. XXVIII. Trouver une lentille en verre qui permette de voir clairement aux personnes placées sous la surface de l'eau 138
Appendice I. [1652]  
  Rédaction antérieure du début du premier Livre du Traité de la Réfraction et des Télescopes 143
Appendice II. Décembre 1652  
  Étant donné l'indice de réfraction trouver le rayon de l'arc-en-ciel primaire et réciproquement. Problème dont la solution est utile pour la détermination des indices de réfraction 146
Appendice III. Mai 1658  
  Détermination expérimentale de la réfraction différente dans le cristal et dans le verre de Vénise 154
Appendice IV. [1664]  
  Triangle rectangle en verre destiné a déterminer la réfraction des rayons sous différents angles d'incidence 155
Appendice V. Septembre 1664  
  Détermination expérimentale de la réfraction différente de l'eau potable et de l'eau faturée de sel 156
Appendice VI. [1666]  
  Étant donnée une lentille biconvexe sur laquelle tombent des rayons parallèles à l'axe, trouver le point de concours des rayons après deux réfractions et une réflexion 157
Appendice VII. Février 1667  
  Étant donnés les rayons de courbure d'une lentille biconvexe, son épaisseur et sa distance focale, trouver l'indice de réfraction 160

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Page.
Appendice VIII. Mars 1667  
  Étant donné l'indice de réfraction, trouver le rayon de l'arc-en-ciel secondaire 163
Appendice IX. Juin 1668  
  Modification de la solution du problème précédent 169
Appendice X. [1690]  
  Détermination des rayons de courbure d'une lentille à l'aide des points de confusion qui se rapportent à deux réfractions et une réflexion 170
1653. Livre deuxième. De la grandeur apparente des objets vus par réfraction 172-233
  Propos. I. Les objets qu'on aperçoit confusément, soit à cause des lentilles placées entre ces objets et le spectateur, soit à cause de la distance, peuvent être rendus nettement visibles, soit à l'aide d'une lentille unique placée devant l'oeil, soit à l'aide d'un écran placé au même endroit et pourvu d'une très petite ouverture, si du moins l'oeil ne se trouve pas précisément au point de confusion maximum. L'image aperçue sera la même en grandeur et en position quelle que soit celle des deux méthodes dont on se serve 172
  Propos. II. Lorsque l'oeil est placé entre une lentille convexe et son foyer, les objets sont vus droits et agrandis. Si l'objet est fort éloigné, la grandeur apparente est à la grandeur vraie comme la distance focale de la lentille est à la distance du foyer à l'oeil; mais si l'objet se trouve à une plus petite distance, le rapport de la grandeur apparente à la grandeur vraie se compose du rapport que nous venons de nommer et du rapport de la distance entre l'oeil et l'objet à la distance entre l'objet et le ‘point dirigeant’ (où se forme l'image de l'oeil par la lentille). Lorsque l'oeil est placé dans le foyer de la lentille, les objets éloignés paraissent infiniment grands, et les objets rapprochés agrandis dans un rapport égal à celui de la distance de l'objet à l'oeil à la distance de l'oeil à la lentille 174
  Propos. III. Lorsque l'oeil est placé sur l'axe d'une lentille, à une distance plus grande que la distance focale, les objets en deça du point dirigeant sont aperçus droits et agrandis. Ceux en delà sont vus renversés et agrandis ou diminués selon les différentes positions de l'objet et de l'oeil par rapport à la lentille. Le rapport de la grandeur apparente à la grandeur vraie se trouvera comme dans la proposition précédente 180
  Propos. IV. Lorsque l'oeil est placé derrière une lentille concave, les objets sont vus droits et diminués. Si l'objet est placé à grande distance, la grandeur apparente est à la grandeur vraie comme la distance entre la lentille et le point de dispersion est à la distance de ce point à l'oeil. Mais si l'objet est rapproché, le rapport de la grandeur apparente à la grandeur vraie se composera du rapport mentionné, et du rapport de la distance entre l'oeil et l'objet d'une part et la distance de l'objet au point dirigeant de l'autre 184

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Page.
Propos. V. Étant données deux lentilles dont la distance mutuelle et les positions par rapport à l'oeil et à l'objet sont connues, trouver dans quel rapport elles augmentent ou diminuent la grandeur de l'objet et si l'image est droite ou renversée 186
Propos. VI. Lorsqu'un objet est vu à travers d'un nombre quelconque de lentilles, et qu'on intervertit les positions de l'oeil et de l'objet tandis que les lentilles demeurent en place, la grandeur apparente de l'objet sera la même et l'image aura la même situation, droite ou renversée 198
Propos. VII. Les positions de l'oeil et de l'objet étant données, une lentille convexe placée entre ces deux donnera une image droite si sa distance focale est plus grande que le quart de la distance de l'oeil à l'objet et l'image sera la plus grande, lorsque la lentille sera placée au milieu entre l'objet et l'oeil. Mais si la distance focale est plus petite que le quart de la distance de l'oeil à l'objet, l'image sera quelquefois renversée; elle aura les plus petites dimensions lorsque la lentille sera placée au milieu entre l'objet et l'oeil 206
Propos. VIII. Les positions de l'oeil et de l'objet étant données, une lentille concave placée entre ces deux donnera une image d'autant plus petite qu'elle sera plus proche du point milieu entre l'oeil et l'objet 218
Propos. IX. Si la distance de l'oeil à une lentille convexe demeure invariable et que l'oeil est situé entre la lentille et son foyer, l'image apparaîtra d'autant plus petite que l'objet sera placé à une plus grande distance. Mais si la distance de l'oeil à la lentille est plus grande que la distance focale, l'objet en s'éloignant paraîtra devenir plus grand, aussi longtemps que l'image est droite; mais dès que l'image sera devenue renversée sa grandeur diminuera lorsqu'on continue à éloigner l'objet. Si l'oeil est situé au foyer de la lentille, l'image aura toujours la même grandeur quelle que soit la distance de l'objet 220
Propos. X. Si la distance d'une lentille convexe à l'objet demeure invariable et que l'objet se trouve entre la lentille et un de ses foyers, l'image sera d'autant plus petite que l'oeil sera plus éloigné de la lentille. Mais si l'objet se trouve plus loin de la lentille, l'image, tant qu'elle est droite, s'agrandira lorsqu'on éloigne l'oeil de la lentille; mais dès que l'image sera devenue renversée, elle deviendra plus petite lorsqu'on continue à éloigner l'oeil. Si l'objet se trouve au foyer de la lentille, l'image aura toujours la même grandeur quelle que soit la distance de l'oeil à la lentille 222
Propos. XI. Si, au lieu d'une lunette à deux lentilles, l'une convexe et l'autre concave, on construit d'une matière solide et transparente un corps possédant une surface convexe et une surface concave, ce corps agrandira les objets lointains dans la même proportion que la lunette; c'est-à-dire dans le rapport de la distance focale de la surface convexe à la distance du foyer de cette surface à la surface concave, contre laquelle se trouve l'oeil 224

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Page.
  Propos. XII. Lorsque sur la droite qui joint l'oeil et l'objet sont placées des lentilles ou des surfaces séparant des milieux réfringents, en nombre quelconque et de forme arbitraire mais ayant cette droite pour axe commun, l'oeil apercevra après toutes les réfractions une certaine partie de l'objet, même dans le cas où l'oeil est réduit à un point unique, pourvu que ce point ne soit pas celui où concourent après la réfraction les rayons issus du point de l'objet qui se trouve sur l'axe 230
  Propos. XIII. Si entre l'oeil et l'objet sont placées un nombre quelconque de lentilles ou de surfaces séparant des milieux réfringents et que les rayons issus d'un point de l'objet situé sur l'axe commun de toutes ces lentilles et surfaces sortent parallèles après les avoir traversées, la grandeur et la situation, droite ou renversée, de l'image seront les mêmes à quelque distance derrière elles que se trouve l'oeil 232
Appendice I. [1652]  
  Rédaction antérieure de la Prop. I de ce deuxième Livre du Traité de la réfraction et des télescopes 235
Appendice II. [1653]  
  Étant données les positions de l'oeil et de l'objet qu'on regarde par l'intermédiaire d'une lentille placée en un lieu quelconque entre ces deux; si l'on transporte la lentille de manière que sa distance à l'objet devienne égale à celle dont elle était éloignée auparavant de l'oeil, on verra l'objet dans la même grandeur et dans la même situation, droite ou renversée 237
Appendice III. [1684?]  
  Soit donné une pièce solide de matière transparente, limitée par deux surfaces planes formant un petit angle. Si sur l'un de ces surfaces, dans un plan perpendiculaire à l'arête, tombent des rayons faisant des angles assez petits avec la normale, les angles que ces rayons font entre eux à la sortie de la deuxième surface seront les mêmes qu'à l'entrée. Il faut que les angles en question soient si petits qu'ils peuvent être considérés comme proportionnels à leurs sinus; ce qu'on suppose ordinairement jusqu'à 30o, et ce qui est permis d'autant plus pour les angles beaucoup plus petits auxquels nous appliquerons ce théorème 238
Appendice IV. [1692]  
  Affranchissement de tout doute et vérification par un exemple numérique du théorème de notre Dioptrique sur l'invertissement de l'oeil et de l'objet sans que le rapport de la grandeur apparente à la grandeur vraie soit changé par cela 240
1653. Livre troisième. Des télescopes 244-269
  Propos. I. Accommoder à un oeil quelconque une lunette composée de deux lentilles données 244
  Propos. II. Indiquer la construction d'un télescope servant à observer les éclipses ou les taches du Soleil et déterminer la grandeur de son image 246

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Page.
  Propos. III. Comment on peut perfectionner les télescopes, tant ceux pour l'observation pendant le jour que ceux dont on se sert la nuit, en remplaçant les deux lentilles convexes par trois lentilles 252
  Propos. IV. Construire un télescope donnant des images droites des objets lointains à l'aide de trois lentilles convexes, le grossissement étant donné 258
  Propos. V. Construire à l'aide de deux lentilles convexes et d'un petit miroir plan un télescope donnant des images droites et qui nous permet d'embrasser d'un seul regard un champ étendu 264
Appendice. [1691]  
  Effet sur le grossissement du télescope décrit dans la Prop. IV quand on remplace la lentille oculaire qui se trouve la plus près de l'oeil par une autre dont la distance focale est plus petite 271
1666. Deuxième partie de la dioptrique. De l'aberration des rayons hors du foyer 272-353
  Propos. I. Dans des segments très petits d'un même cercle le rapport des hauteurs des segments peut être estimé égal à celui des carrés des bases 272
  Propos. II. Dans des segments très petits appartenant à des cercles différents et qui possèdent la même base ou des bases égales, le rapport des hauteurs des segments peut être estimé égal à l'inverse de celui des diamètres de ces cercles 274
  Définition de ce qu'on entendra par l'‘épaisseur’ d'une lentille convexe ou concave 276
  Propos. III. Les lentilles convexes possédant la même distance focale et les lentilles concaves ayant la même distance du point de dispersion, auront la même épaisseur si leurs largeurs sont égales 276
  Propos. IV. Indiquer comment on peut trouver rapidement pour les lentilles convexes les aberrations des rayons provenant de la forme sphérique des surfaces 280
  Propos. V. Même problème pour les lentilles concaves 296
  Propos. VI. Dans deux lentilles de largeurs différentes, dont les courbures des surfaces d'entrée des rayons, ainsi que les courbures des surfaces de sortie, sont égales, les aberrations des rayons extrêmes parallèles à l'axe sont entre elles comme les épaisseurs des lentilles, ou bien comme les carrés des largeurs 306
  Propos. VII. Dans une lentille quelconque les aberrations des rayons parallèles à l'axe sont entre elles comme les carrés des distances à l'axe 308
Propositions écartées de notre dioptrique 314-353
  Propos. VIII. Dans les lentilles de même espèce (c'est-à-dire pour lesquelles les rayons de courbure des deux surfaces sont entre eux dans le même rapport) les aberrations des rayons extrêmes, parallèles à l'axe, ont entre elles un rapport composé du rapport des carrés des diamétres de leurs ouvertures et de celui des distances focales pris en sens inverse. Mais les diamètres des cercles d'aberration ont entre eux un rapport composé du rapport des cubes des diamètres  

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Page.
  des ouvertures et du rapport inverse des carrés des distances focales 314
  Propos. IX. Composer à l'aide de lentilles sphériques concaves et convexes des télescopes plus parfaits que les télescopes construits jusqu'ici et qui puissent rivaliser en perfection avec ceux qui sont composés de lentilles elliptiques ou hyperboliques 318
  Propos. X. Examiner le degré de clarté qu'on peut obtenir avec des télescopes quelconques 332
  Propos. XI. Dans des télescopes de différentes longueurs il faut, pour qu'ils donnent des images également lumineuses et également nettes, que le rapport des distances focales des objectifs de même espèce soit égal à la 4ième/3 puissance du rapport des diamètres des ouvertures de ces mêmes lentilles et que les distances focales des lentilles oculaires soient dans le rapport des racines bicarrées des distances focales des objectifs 338
Appendice I. 1665  
  Déduction des règles données dans la Prop. IV de cette deuxième Partie de la Dioptrique pour le calcul de l'aberration sphérique des lentilles 355
  § 1. Cas d'une lentille planconvexe recevant les rayons sur sa surface convexe. Effet d'une diminution de l'ouverture 355
  § 2. Cas d'une lentille planconvexe recevant les rayons sur sa surface plane. Effet d'une diminution de l'ouverture 359
  § 3. Cas d'une lentille biconvexe. Rapport qui doit exister entre les deux rayons de courbure, asin que l'aberration sphérique de la lentille biconvexe soit égale à celle d'une lentille planconvexe dont l'épaisseur, la largeur et la distance focale sont les mêmes et dont le côté convexe est tourné vers les rayons. Lentille biconvexe d'aberration sphérique minimum pour une épaisseur, largeur et distance focale données 360
  § 4. Cas d'une lentille concavo-convexe et d'une lentille biconcave. Lentille biconcave d'aberration minimum 368
Appendice II. [1665]  
  Démonstration inachevée de la Propos. VII de cette deuxième Partie de la Dioptrique 376
Appendice III. [1665]  
  Rédaction antérieure de la Propos. VIII de cette deuxième Partie de la Dioptrique. 379
  Étant données les aberrations longitudinales de deux lentilles d'espèce différente mais dont les distances focales sont égales, et données de même l'ouverture maximum de l'une et l'oculaire qui lui convient pour composer un télescope, on demande de déterminer l'ouverture maximum et l'oculaire qu'on doive choisir pour obtenir la même clarté et la même netteté dans les deux télescopes 385
  Si dans un télescope on conserve le même objectif mais qu'on remplace la lentille  

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Page.
  oculaire par une autre plus convexe, la vision deviendra moins distincte 387
Appendice IV. [1665]  
  Détermination de la section minimum (cercle d'aberration dans le sens moderne) du faisceau lumineux formé par les rayons parallèles à l'axe après leur passage par une lentille convexe 390
Appendice V. [1665]  
  Recherches de 1665 sur l'aberration sphérique longitudinale d'un faisceau de rayons correspondant à un point donné de l'axe de la lentille 392
  § 1. Cas d'une lentille biconvexe sur laquelle tombe un faisceau convergent. Détermination de l'aberration sphérique de la surface antérieure. Cas particulier où l'aberration disparaît. Calcul inachevé pour la lentille entière 392
  § 2. Cas d'une seule surface convexe sur laquelle tombe du dehors un faisceau divergent 397
  § 3. Cas d'une seule sursace convexe sur laquelle tombe du dedans un faisceau divergent. Cas particulier où l'aberration est nulle 398
  § 4. Cas d'une seule surface convexe sur laquelle tombe du dedans un faisceau convergent 400
  § 5. Cas d'une surface plane sur laquelle tombe du dedans un faisceau convergent 401
  § 6. Vérification du résultat obtenu au paragraphe précédent, en l'appliquant au calcul de l'aberration qui appartient à une lentille planconvexe sur laquelle tombent des rayons parallèles à l'axe; aberration, qui avait été trouvée auparavant par une autre méthode 402
  § 7. Vérification du résultat obtenu au § 4 en l'appliquant au calcul de l'aberration d'une lentille biconvexe symétrique sur laquelle tombent des rayons parallèles à l'axe, aberration qui avait été déterminée auparavant par une autre méthode. 405
  § 8. Cas d'une lentille planconvexe sur la surface convexe de laquelle tombe un faisceau convergent de rayons dirigés vers un point de l'axe dont la distance à la surface convexe est égale à quatre fois le rayon de courbure de cette surface 406
Appendice VI. 1669  
  Construction d'une lentille composée qui, par rapport à l'aberration sphérique, pourrait rivaliser avec les lentilles hyperboliques 408
  § 1. Aberration sphérique longitudinale d'un faisceau divergent tombant du dedans sur une surface concave 408
  § 2. Construction d'un objectif composé d'une lentille planconvexe qui reçoit un faisceau de rayons parallèles à l'axe sur sa surface convexe et d'une lentille biconcave dont l'aberration sphérique compense celle de la lentille planconvexe 411
  § 3. Cas où la lentille planconvexe est remplacée par une lentille biconvexe d'aberration sphérique minimum 413
  § 4. Cas où la lentille planconvexe est remplacée par une lentille biconvexe symétrique 415

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Page.
  § 5. Cas où la lentille planconvexe reçoit les rayons parallèles sur sa surface plane. Comparaison des divers cas. Anagramme 415
Appendice VII. [1669]  
  Autre construction d'un objectif composé où l'aberration sphérique de la lentille convexe est compensée par celle d'une lentille concave placée au devant d'elle 418
  § 1. Nouvelle détermination de l'aberration sphérique d'un faisceau divergent tombant du dehors sur une surface plane 418
  § 2. Nouvelle détermination de l'aberration sphérique d'un faisceau de rayons parallèles à l'axe tombant du dehors sur une surface convexe 419
  § 3. Nouvelle détermination de l'aberration sphérique d'un faisceau de rayons parallèles à l'axe tombant sur la surface convexe d'une lentille planconvexe 419
  § 4. Aberration sphérique longitudinale d'un faisceau divergent tombant sur la surface plane d'une lentille planconvexe 420
  § 5. Calcul des dimensions d'une lentille convexo-concave qui, placée devant une lentille planconvexe, compense l'aberration sphérique causée par cette dernière 422
  § 6. Aberration sphérique d'un faisceau divergent tombant sur une lentille biconvexe symétrique, au cas que la distance du sommet du faisceau à la lentille est égale à deux fois le rayon de courbure des surfaces 424
  § 7. Calcul des dimensions d'une lentille convexo-concave qui placée devant une lentille biconvexe symétrique compense l'aberration sphérique causée par cette dernière 427
Appendice VIII. [1669]  
  Examiner le degré de l'approximation avec laquelle on obtient la compensation désirée dans le cas du § 5 de l'Appendice VII 428
  § 1. Calcul, pour un exemple numérique, de la différence entre la valeur exacte de l'aberration sphérique longitudinale dans le cas du § 4 de l'Appendice VII et la valeur approximative d'après ce § 4 428
  § 2. Même calcul pour la lentille auxiliaire compensatrice 429
  § 3. Manière de calculer la valeur exacte de l'aberration sphérique longitudinale d'un faisceau divergent tombant sur une lentille biconvexe symétrique 432
Appendice IX. [1689]  
  Démonstration de la proposition d'après laquelle il y a un rapport constant entre les angles après et avant la réfraction de deux rayons qui s'écartent peu de la normale à la surface réfringente et qui passent par le même point de cette surface 433
1685-1692. Troisième Partie de la Dioptrique. Des Télescopes et des Microscopes 434-585
Des Télescopes 434-511
  Préface 434
  Propos. I. Le télescope composé d'une lentille convexe et d'une lentille concave  

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  fait apercevoir les objets éloignés distinctement et debout; il les grossit dans un rapport égal à celui de la distance focale de la lentille convexe à la distance du point de dispersion de la lentille concave 442
  Propos. II. Champ de vision du télescope composé d'une lentille convexe et d'une lentille concave 450
  Propos. III. Le télescope composé de deux lentilles convexes fait voir les objets éloignés distinctement mais renversés; il les grossit dans un rapport égal à celui de la distance focale de l'objectif à la distance focale de l'oculaire intérieure 454
  Propos. IV. Faire voir comment on peut, en prenant trois lentilles convexes au lieu de deux, agrandir le champ du télescope 460
  Propos. V. Expliquer la construction d'un télescope composé de quatre verres convexes à l'aide duquel on voit les objets droits et dont le champ est vaste 468
  Lemme. Les angles qui ne surpassent pas 30o peuvent être considérés comme proportionnels à leurs sinus 474
  Propos. VI. Soit donné une pièce de verre limitée par deux surfaces planes faisant un angle inférieur à 19o. Si dans un plan perpendiculaire à l'arête deux rayons tombent sur le verre en un même point, de manière qu'ils sont situés de l'autre côté de la normale que l'arête et qu'ils font avec cette normale des angles inférieurs à 29o, la différence entre les inclinaisons des rayons incidents sera égale à la différence des inclinaisons des rayons à la sortie du verre 474
  Considérations sur l'aberration chromatique dans les prismes et dans les lentilles 480
  Propos. VII. Les diamètres des ouvertures des télescopes doivent être pris dans un rapport égal à la racine carrée du rapport des distances focales des objectifs et de même aussi les distances focales des lentilles oculaires 486
  Tableau des ouvertures, des distances focales des oculaires, et des grossissements pour des distances focales données de l'objectif 496
  Propos. VIII. Si dans deux télescopes possédant des objectifs dont les distançes focales sont égales mais dont les ouvertures sont différentes, les diamètres de ces ouvertures et les distances focales des lentilles oculaires sont entre eux dans un même rapport, on apercevra les objets avec une netteté égale, et les diamètres apparents des objets seront entre eux dans le rapport inverse des ouvertures, tandis que les clartés seront dans un rapport égal à la quatrième puissance du rapport direct 500
  Propos. IX. Application des données du tableau de la p. 496 aux télescopes destinés aux différentes observations diurnes ou nocturnes 502
Des Microscopes 512-585
  Préface 512
  Propos. X. Exposer la construction et l'emploi des microscopes simples 514
  Propos. XI. Expliquer comment on fabrique les petites sphères et lentilles et de quelle façon on s'en sert 520

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Propos. XII. Expliquer la construction des microscopes composés 526
Propos. XIII. De la clarté des images formées par les microscopes et des ouvertures de ces microscopes 530
Propos. XIV. Lorsqu'un microscope quelconque composé de deux lentilles de la manière décrite dans la Prop. XII est donné, on peut, en conservant la lentille oculaire, trouver un autre microscope plus court, pour lequel la grandeur apparente de l'objet et la clarté sont les mêmes, tandis que la vision est plus nette, ou bien la netteté la même et la clarté plus grande 534
Propos. XV. Comment on peut rendre les microscopes plus courts et plus grossissants, en conservant la même clarté et la même netteté, ainsi que la même largeur du faisceau entrant dans la pupille, et aussi le même rapport de la distance de l'objet à la lentille objective à la distance de cette lentille à l'image de l'objet, formée par elle 542
Lemme 1. L'angle de dispersion d'un rayon parallèle à l'axe tombant sur le contour d'une lentille (c'est-à-dire l'angle entre le rayon rouge et le rayon violet qui proviennent du rayon blanc) peut étre considéré comme égal à l'angle de dispersion d'un rayon émanant d'un point N situé sur l'axe et tombant aussi sur le contour de la lentille; la différence sera d'antant plus faible que les surfaces de la lentille se couperont sous un angle plus petit et que l'image du point N se trouvera moins éloignée du foyer de la lentille 550
Propos. XVI. Calculer dans notre microscope étalon l'angle de l'aberration provenant de la dispersion et examiner quelle peut être sa grandeur dans les télescopes et dans les microscopes sans que cette aberration soit nuisible 552
Lemme 2. L'aberration sphérique longitudinale des rayons parallèles à l'axe sera à l'aberration sphérique longitudinale des rayons émanant d'un point N situé sur l'axe à peu près comme le carré de la distance focale au carré de la distance de l'image du point N à la lentille, et cela d'autant plus exactement que le point N se trouve plus éloigné 558
Lemme 3. Soit D un point du contour d'une lentille, O son foyer, H le point où le rayon parallèle à l'axe et passant par D coupe l'axe après sa réfraction par la lentille; soit de plus N un point de l'axe, B le point où se forme son image, F le point où le rayon émanant du point N et passant par D coupe l'axe après sa réfraction par la lentille, alors les angles HDO et FDB seront à peu près égaux. 560
Propos. XVII. Calculer l'angle d'aberration sphérique dans notre microscope étalon 560
Lemme 4. Si sur une lentille convexe tombent des rayons qui sont parallèles à l'axe ou qui émanent d'un point situé sur l'axe et éloigné de la lentille à une distance plus grande que la distance focale, ils formeront après la réfraction des angles d'aberration sphérique à peu près proportionnels à la troisième puissance des distances des points d'incidence à l'axe 564
Propos. XVIII. Comment on peut construire des microscopes plus courts et plus  

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  grossissants, dans lesquels on conserve la même clarté et la même netteté, et qui cependant ne sont pas sujets à l'inconvénient d'une plus grande aberration sphérique comme cela arrive avec les microscopes plus courts construits d'après la règle obtenue dans la Prop. XV 568
  Propos. XIX. Calculer la distance focale, la position et l'ouverture de la petite lentille inférieure dans un microscope composé de deux lentilles convexes, dont la distance focale de la lentille oculaire et le grossissement sont donnés et pour lequel l'angle de l'aberration chromatique, ou bien celui de l'aberration sphérique, ainsi que la clarté, soient les mêmes que dans un autre microscope donné. 576
Appendice I. [1685]  
  Des lunettes d'approche. Avant-projet de la préface à cette troisième Partie de la Dioptrique pour autant qu'elle traite les télescopes 586
Appendice II. [1685]  
  Rédaction antérieure de cette préface 588
Appendice III. 1682  
  Copie d'une copie qui fut produite en 1682 par Van der Wal. D'où il s'ensuit que ce n'est pas Jacques Metius qui fut le premier inventeur du télescope, mais plutôt Lippersheim de Middelburg 591
Appendice IV. [1667]  
  Rédaction antérieure du début de la Prop. I de cette troisième Partie de la Dioptrique 594
Appendice V. [1667?]  
  Rédaction antérieure de cette même Proposition 596
Appendice VI. [1654-1662]  
  Varia sur les lunettes 598
  § 1. [1654]. Sur les télescopes de Wiessel d'Augsburg 598
  § 2. [1655]. Instruction pour l'usage des lunettes à miroir 600
  § 3. [1666]. Sur les télescopes à quatre lentilles traités dans la Prop. V de la Troifième Partie de la Dioptrique 600
  § 4. [1668]. Description d'un télescope de Guiseppo Campani 601
  § 5. [1673]. Grandeur des objets visibles dans la lune avec une lunette de 60 pieds. 602
  § 6. [1683]. Sur les diaphragmes qui doivent empêcher la lumière qui tombe sur les parois du tube d'un télescope d'atteindre l'oeil de l'observateur 603
  § 7. [1683]. Oculaire d'une lunette de Huygens qui se trouve à l'Observatoire de Leiden 607
  § 8. [1683.]. Sur une lunette de Coveri 608
  § 9. [1684]. Manière d'observer les satellites de Saturne et d'autres petites étoiles. 609
  § 10. [1686]. Considérations sur la grandeur du champ de vision; la pupille de l'oel étant supposée réduite à un seul point 611
  § 11. [1692]. Dimensions de deux télescopes de la façon décrite dans la Prop. IV  

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  de la troisième Partie de la Dioptrique 613
  § 12. [1692]. Calcul dans deux télescopes construits d'après le Tableau de la p. 496 de la largeur auprès de la pupille du faisceau émanant d'un point de l'objet 614
  § 13. [1692]. Sur les conditions différentes de l'emploi des lunettes dans une maison et en plein air, pendant le jour et pendant la nuit 614
  § 14. [1692]. Pourquoi les images des objets ne sont pas plus déformées avec l'emploi des oculaires à trois lentilles des télescopes décrits dans la Prop. V de la troisième Partie de la Dioptrique qu'avec l'emploi d'une seule lentille oculaire. Cause de cette déformation 615
Appendice VII. [1690?]  
  Comparaison de l'aberration sphérique (ou bien de la déformation de l'image) causée par l'oculaire composé de deux lentilles, décrit dans la Prop. IV de la troisième Partie de la Dioptrique, avec l'aberration causée par une seule lentille oculaire 618
Appendice VIII. [1684]  
  Premières recherches sur le rôle de l'aberration chromatique dans les télescopes et dans les microscopes 621
  § 1. Démonstration antérieure de la Prop. VII de la troisième Partie de la Dioptrique 621
  § 2. Sur les deux aberrations (chromatique et sphérique) dans le microscope simple. 624
  § 3. Grandeur de l'aberration chromatique dans un microscope composé de deux lentilles. Comparaison avec le cas d'une seule lentille 626
Appendice IX. [1692]  
  Recherches de 1692 sur les deux aberrations (chromatique et sphérique) dans les télescopes et les microscopes 629
  § 1. Remarque sur la distribution de la clarté dans les petits cercles qui doivent leur origine aux deux aberrations 629
  § 2. Comparaison des deux aberrations causées par des lentilles ayant des distances focales et des largeurs différentes. Rapport qui doit exister entre ces dimensions dans deux suppositions différentes sur la grandeur de l'aberration chromatique, afin que les diamètres des cercles d'aberration deviennent égaux pour les deux aberrations. Cas du microscope composé 629
  § 3. Sur l'emploi des lentilles de proportion sextuple, c'est-à-dire d'aberration sphérique minimum, dans les télescopes et les microscopes 631
  § 4. Calcul de l'angle d'aberration sphérique dans un télescope de 30 pieds 633
  § 5. Calcul de l'ouverture qui serait admissible dans un microscope en ne tenant compte que de l'aberration chromatique 634
  § 6. Calcul des deux angles d'aberration dans mon microscope étalon. Conclusions. 634
  § 7. Effet mauvais, à cause de l'augmentation de l'aberration, de l'intervertissement des lentilles oculaire et objective d'un microscope 637

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§ 8. Calcul de l'angle d'aberration sphérique dans un télescope, grossissant dix fois, construit d'après le Tableau de la p. 496 638
§ 9. Calcul de l'angle d'aberration sphérique dans un télescope d'un pied à deux verres convexes et dans un autre de 8 pouces 640
§ 10. Même calcul pour notre petit télescope de trois pouces, muni d'une lentille oculaire concave 642
§ 11. Calculs sur les deux aberrations dans le microscope composé. Avant-projets qui ont servi à la rédaction des Prop. XIV, XV et XVIII de la troisième Partie de la Dioptrique 644
§ 12. Calcul de l'angle d'aberration chromatique dans mon microscope composé étalon 651
§ 13. Calcul de l'angle d'aberration sphérique dans le même microscope 652
§ 14. Calcul de l'angle d'aberration sphérique dans un microscope plus petit, déduit du microscope étalon d'après les considérations exposées dans la première partie du § 11, c'est-à-dire de manière à posséder la même aberration chromatique que le microscope étalon 653
§ 15. Dans deux lentilles planconvexes de même courbure, mais d'ouvertures différentes, non seulement les aberrations longitudinales aux foyers mais aussi celles appartenant aux faisceaux émanant de points qui se trouvent à égales distances de ces lentilles, seront proportionnelles aux carrés des diamètres des ouvertures 654
§ 16. Effet de la diminution dans la même proportion de toutes les dimensions d'un microscope 656
§ 17. Si dans un microscope à deux lentilles convexes, où la distance focale de la lentille oculaire est plus grande que celle de la lentille objective, on intervertit les deux lentilles, on peut arranger l'oeil et l'objet de manière à voir l'objet distinctement et à obtenir le même grossissement et la même clarté, mais le nouvel arrangement sera plus mauvais que le premier à cause de l'augmentation des deux aberrations 656
§ 18. Démonstration d'une des inégalités employées dans le paragraphe précédent 658
§ 19. Démonstration du Lemme 2 de la troisième Partie de la Dioptrique 661
§ 20. Étant donnée la lentille objective, déterminer les dimensions d'un microscope par lequel on obtient un grossissement voulu et la même clarté et le même angle d'aberration chromatique qui existe dans un microscope étalon donné 663
§ 21. Étant donnée la lentille oculaire, déterminer la distance focale, la position et l'ouverture de la lentille objective asin qu'on obtienne un grossissement voulu et la même clarté et le même angle d'aberration chromatique qui existe dans un microscope étalon donné. On trouve que de cette manière on peut obtenir un grossissement aussi fort qu'on le veut 665
§ 22. Même question qu'au § 20. On trouve que de cette manière le grossissement  

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[p. 863]

Page.
  ne peut être augmenté que de très peu 668
  § 23. Étant donnée la lentille oculaire, déterminer la distance focale et la position de la lentille objective afin qu'on obtienne un grossissement voulu et la même clarté et la même aberration sphérique que celles qui existent dans un microscope étalon donné 670
  § 24. (inachevé). Étant donnée la lentille objective, déterminer les dimensions d'un microscope par lequel on obtient un grossissement voulu et la même clarté et le même angle d'aberration sphérique que ceux qui existent dans un microscope étalon donné 672
Appendice X. [1654-1692]  
  Varia sur les microscopes 674
  § 1. [1654]. Description d'un microscope; probablement un de ceux qui ont été construits vers 1654 ou 1655 par les frères Huygens 674
  § 2. [1654]. Description d'un microscope à trois lentilles convexes de Johann Wiessel d'Augsburg 676
  § 3. [1678]. Description d'un très bon microscope à trois lentilles à grande ouverture et dans lequel n'apparaît aucune tache due aux lentilles 677
  § 4. [1678]. Sur les microscopes à boulettes sphériques. Ouverture, grossissement, éclairage des objets 678
  § 5. [1678]. Machine pour les microscopes dans lesquels on n'emploie qu'une petite boule de verre 680
  § 6. [1678]. Détails sur ces machines 681
  § 7. [1678]. Manière d'enchâsser les boulettes de verre 683
  § 8. [1678]. Prescriptions pour l'usage des microscopes à boulettes sphériques 684
  § 9. [1684]. Sur la manière d'éclairer les objets dans les microscopes composés ou simples 686
  § 10. [1684]. Sur l'inconvénient resultant de la petite profondeur de la couche qui est vue distinctement sous le microscope avec les forts grossissements. Comparaison sous ce rapport de deux microscopes différents ayant le même grossissement. 687
  § 11. [1690]. Sur les microscopes à boulettes sphériques. Sur l'addition d'une troisième lentille dans les microscopes composés. Comparaison entre les microscopes simples à lentille et ceux à boulette sphérique entre autres au point de vue de la profondeur de la couche de vision distincte 690
  § 12. Avril 1692. Annotations sur l'éclairage des objets sous le microscope et sur l'effet de la diffraction sur la netteté de l'image 694
Appendice XI. [1678-1692]  
  Observations microscopiques 698
  Observations de 1678-1680 sur les bactéries et les insusoires, sur le lait, le sang, les spermatozoïdes et quelques autres objets 698
  Observation de 1692 de la circulation du sang dans la queue d'une anguille 720

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[p. 864]

Page.
  Observations de 1692 sur les infusoires 721
Appendice XII. [1678]  
  Résumé par Huygens d'une lettre de Leeuwenhoek sur les spermatozoïdes et sur leur rôle dans la reproduction 733
PREMIER COMPLÉMENT à LA ‘DIOPTRIQUE’. [1666-1692]  
  Projets divers pour l'arrangement des matières dans la ‘Dioptrique’ et brouillons de préface et d'autres parties 737-782
  § 1. Deux annotations de l'année 1666 737
  § 2. Projet de 1673 du contenu de la ‘Dioptrique’ 738
  § 3. [1682?] Annotations diverses 745
  § 4. [1684?] Aperçu d'un traité sur les telescopes 750
  § 5. [1684?] Annotations diverses à propos de cet aperçu 752
  § 6. [1687]. Titre d'une ‘Optique. Première Partie’ dont la seconde Partie contiendrait la présente ‘Dioptrique’ 754
  § 7. [1690]. Commencement du traité de ma Dioptrique en Français que j'avais dessein de joindre au Traité de la Lumière, ce qui est changé 754
  § 8. [1692]. De l'ordre à observer dans notre ‘Dioptrique’ 770
  § 9. [1692?]. Projet de préface. Répertoire de mots et de phrases pour servir dans une rédaction latine de la ‘Dioptrique’ 778
  § 10. [1692?]. Suite du répertoire 782
Appendice I. [1690.]  
  Vérification algébrique d'une inégalité employée (p. 51) dans la deuxième partie de la Prop. XII du premier Livre du ‘Traité de la réfraction et des télescopes’, qui constitue la première Partie de la Dioptrique 783
Appendice II. [1694.]  
  Dessin d'une lanterne magique 786
DEUXIÈME COMPLÉMENT à LA ‘DIOPTRIQUE’. [1667-1691]  
  Recherches sur la conformation de l'oeil et sur la théorie de la vision 787-802
  § 1. 1667. Résultats de la dissection de l'oeil d'une femme par Pecquet 787
  § 2. [1670-1690]. De l'oeil et de la vision 790
  § 3. [1691]. OEil artificiel, supposé plein d'eau, et dont la surface intérieure toute entière reçoit les images des objets très éloignés, puisque les rayons parallèles passant par la pupille se réunissent sur cette surface après la réfraction 800
  § 4. [1691]. OEil artificiel de verre satisfaisant à la même condition 802
TROISIÈME COMPLÉMENT à LA ‘DIOPTRIQUE’. [1672-1692]  
  Recherches sur les lunettes catoptriques 803-819
  § 1. [1672]. Avant-projet des ‘Réflexions sur la description d'une Lunette publiée sous le nom de M. Cassegrain’, publiées dans le Journal des Sçavants du 13 juin 1672 803
  § 2. 1691. Situation réciproque des deux images formées par la surface intérieure  

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[p. 865]

Page.
    et la surtace extérieure d'un miroir sphérique en verre. Conditions pour qu'elles se couvrent et pour qu'elles se trouvent à une distance donnée l'une de l'autre; remarques sur le télescope catoptrique de Newton 805
  § 3. [1692]. Aberration sphérique d'un miroir de télescope catoptrique; arrangement pour que les deux images, formées par les deux surfaces d'un miroir sphérique en verre, se trouvent à une distance suffisante pour que seulement une des images à la fois soit visible distinctement; remarques sur la fabrication des miroirs des télescopes catoptriques; aberration chromatique des rayons résléchis par la surface extérieure du miroir après qu'ils out parcourus pour la deuxième fois l'épaisseur du verre 814
QUATRIÈME COMPLÉMENT à LA ‘DIOPTRIQUE’ [1668-1692]  
  Remarques critiques sur des ouvrages ou des travaux de dioptrique 820-844
  § 1. [1668]. Critique d'un ‘Addendum’ ajouté par Eschinardo à son ouvrage ‘Centuria Problematum Opticorum’ dans lequel sont traités des télescopes très courts à grande ouverture, pouvant être utiles aux myopes 820
  § 2. Mai 1684. Annotations à propos d'un manuscrit, apporté de Rome, du père Gottignies 825
  § 3. Critique détaillée de la ‘Dioptrica Nova’ (de 1692) de William Molyneux. 826


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