Skiplinks

  • Tekst
  • Verantwoording en downloads
  • Doorverwijzing en noten
Logo DBNL Ga naar de homepage
Logo DBNL

Hoofdmenu

  • Literatuur & taal
    • Auteurs
    • Beschikbare titels
    • Literatuur
    • Taalkunde
    • Collectie Limburg
    • Collectie Friesland
    • Collectie Suriname
    • Collectie Zuid-Afrika
  • Selecties
    • Collectie jeugdliteratuur
    • Basisbibliotheek
    • Tijdschriften/jaarboeken
    • Naslagwerken
    • Collectie e-books
    • Collectie publiek domein
    • Calendarium
    • Atlas
  • Periode
    • Middeleeuwen
    • Periode 1550-1700
    • Achttiende eeuw
    • Negentiende eeuw
    • Twintigste eeuw
    • Eenentwintigste eeuw
Oeuvres complètes. Tome XVI. Percussion (1929)

Informatie terzijde

Titelpagina van Oeuvres complètes. Tome XVI. Percussion
Afbeelding van Oeuvres complètes. Tome XVI. PercussionToon afbeelding van titelpagina van Oeuvres complètes. Tome XVI. Percussion

  • Verantwoording
  • Inhoudsopgave

Downloads

PDF van tekst (7.31 MB)

XML (1.58 MB)

tekstbestand






Editeur

J.A. Volgraff



Genre

non-fictie

Subgenre

verzameld werk
non-fictie/natuurwetenschappen/natuurkunde


In samenwerking met:

(opent in nieuw venster)

© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Oeuvres complètes. Tome XVI. Percussion

(1929)–Christiaan Huygens–rechtenstatus Auteursrecht onbekend

Vorige Volgende
[pagina 169]
[p. 169]

Extrait d'une lettre de M. Hugens
À l'auteur du Journal sur les regles du mouvement dans la rencontre des corps.
1669.
Journal des sçavans du lundy 18 mars, MDCLXIX.

[pagina 171]
[p. 171]

Avertissement.

Nous avons vuGa naar voetnoot1) qu'en 1656 Huygens était en possession de toutes les Propositions qu'on trouve dans son Traité posthume: ‘De Motu Corporum ex Percussione’ et nous avons reconnu la cause qui a retardé la publication de ces résultatsGa naar voetnoot2). Toutefois il n'en garda pas le secret. Outre les communications qu'il avait faites déjà auparavant à van SchootenGa naar voetnoot3), Kinner à LöwenthurnGa naar voetnoot4) et MylonGa naar voetnoot5), il fit connaître dans sa correspondance avec de Sluse les fondements sur lesquels il avait basé sa théorie. Dans le cours de cette correspondanceGa naar voetnoot6) il s'était montré que de Sluse croyait posséder une méthode, différente de celle de Huygens, pour calculer les vitesses après le choc. À ce propos Huygens lui écrivit

[pagina 172]
[p. 172]

le 3 janvier 1658: ‘J'ai de la peine à me contenir de vous exposer ici mes raisonnements et hypothèses concernant les lois du mouvement, parce que je sais que ce serait la seule manière de lever ce scrupule que vous avez émis avec subtilité mais non sans que je m'y fusse attendu. Mais la matière est de grande étendue et peu propre pour une lettre; je l'ai expliquée dans tout un livre que je soumettrai un jour au jugement des lecteurs bienveillants. Quoique van Schooten et tous les autres plus adonnés que de juste à Descartes, me l'aient déconseillé. Mais ce que j'apporte, ils l'ignorent entièrement, sachant seulement que je leur ai dit que c'est contraire aux conceptions de celui-ci. Ne pensez pas que je m'appuie uniquement sur des expériencesGa naar voetnoot1), car je sais qu'elles sont trompeuses’; après quoi Huygens fait connaître les deux hypothèses principales sur lesquelles il se fondeGa naar voetnoot2). Si de Sluse les accepte, il admettra sans doute les autres postulats qui sont encore plus évidentsGa naar voetnoot3).

Dans sa répliqueGa naar voetnoot4) de Sluse n'insiste plus sur sa propre théorie, mais il exhorte Huygens à publier bientôt la sienne.

 

En octobre 1660 Huygens se rendit à Paris et ensuite à Londres. À Paris il s'entretint avec Auzout le 16 décembre ‘des reigles du mouvement des corps qui se rencontrent, dont il [savoir Auzout] en auoit des fausses’Ga naar voetnoot5). Dans le salon de Madame de Bonneveau, où se tenaient des conférences scientifiques et littérairesGa naar voetnoot6), on le pria fort, le 22 janvier 1661, qu'il expliquât ses principes concernant la rencontre des corps.

 

À Londres le 23 avril (V. St.) 1661Ga naar voetnoot7) s'assemblèrent l'après-diner dans la chambre de Huygens ‘M. Morre [Moray], mil. Brouncker, S.r P. Neal [Neile], D.r Wallis. M. Roock [Rooke], M. Wren. de Godart [Goddard]. parlames de la maniere de former les verres, et je leur dis ma methode. Resolus les cas qu'ils me proposerent touchant les rencontres de deux spheres’.

[pagina 173]
[p. 173]

On trouve encore d'autres renseignements sur cette conférence mémorable dans une lettre d'Oldenburg à SpinozaGa naar voetnoot8). Il y est rapporté qu'un poids d'un livre fut suspendu à la manière d'un pendule simple; ce poids élevé à un angle de 48o et lâché, en frappa un autre d'un demi-livre. À ce propos Huygens, après un petit calcul algébrique, prédit l'effet du choc, qui répondit exactement à cette prédictionGa naar voetnoot9). Puis d'autres expériences semblables auraient été proposées par Brouncker, qui furent calculées avec succès par HuygensGa naar voetnoot10).

 

En octobre 1666 on commença en Angleterre à s'occuper de nouvean du choc des corpsGa naar voetnoot11). Le 16 janvier 1667 (V. St.) ce sujet revint un instant à l'ordre du jour dans la ‘Royal Society’Ga naar voetnoot12). Puis dans la séance du 22 octobre 1668Ga naar voetnoot13), lorsque Hooke proposa de continuer les expériences sur la nature et les

[pagina 174]
[p. 174]

lois du mouvement, le président Brouncker remarqua qu'il n'était peut-être pas nécessaire de faire cette sorte d'expériences, puisque Huygens et Wren s'étaient déjà donné beaucoup de peine pour examiner cette matière et qu'on croyait qu'ils avaient trouvé aussi une théorie pour expliquer tous les phénomènes du mouvement. Sur l'avis du président il fut donc convenu que le secrétaire, mr. Oldenburg, s'adresserait à ces deux personnes pour leur demander, dans le cas où ils ne voudraient pas encore publier leurs considérations et expériences sur ce sujet, de les communiquer à la ‘Royal Society’, qui les ferait enregistrerGa naar voetnoot1).

Or, la lettre à HuygensGa naar voetnoot2) fut envoyée le 26 octobre 1668, celle à Wren le 29 (V. St). Dans sa réponse du 13 novembreGa naar voetnoot3) Huygens demanda des éclaircissements pour savoir ‘de quelle partieGa naar voetnoot4) du mouvement’ ils voulaient qu'il traiterait en premier lieuGa naar voetnoot5); il se déclara prêt à communiquer les règles et théorèmes qu'il avait trouvés et ajouta qu'il serait fort aise de voir ce qu'ils avaient trouvé de leur côté et s'ils s'étaient parfois rencontrés avec lui dans le même cheminGa naar voetnoot6).

Cette réponse fut lue dans la séance du 12 novembre 1668 (V. St.)Ga naar voetnoot7). Dans la même séance on expérimentaGa naar voetnoot8) et discuta sur le choc des corps et l'on

[pagina 175]
[p. 175]

résolut de charger le secrétaire Oldenburg de faire à Wallis la même demande qu'à Huygens et à Wren.

 

Des trois savants invités à faire connaître leurs résultats concernant le choc des corps, ce fut Wallis qui fut prêt le premier. Son manuscrit, portant la date du 15 novembre 1668 (V. St.), fut mentionné comme reçu dans la séance du 26 novembreGa naar voetnoot9); celui de Wren fut lu le 17 décembreGa naar voetnoot10); celui de Huygens le 7 janvier 1669Ga naar voetnoot11). Après la lecture de ce dernier il fut ordonné que des copies en seraient faites et distribuées aux membres qui s'étaient occupés de cette matièreGa naar voetnoot12).

Le manuscrit de HuygensGa naar voetnoot13) est beaucoup plus complet que les autres. Il ne donne pas seulement la solution du cas le plus général du choc centralGa naar voetnoot14), comme les autres le font aussi, mais de plus les hypothèses et les démonstrations qui y appartiennent et sur lesquelles Huygens désirait fort connaître l'opinion de la ‘Royal Society’Ga naar voetnoot15).

L'envoi de WallisGa naar voetnoot16) contient la théorie moderne du choc des corps mousGa naar voetnoot17). Ses résultats ne ressemblent donc guère à ceux de Huygens.

[pagina 176]
[p. 176]

Quant à l'envoi de WrenGa naar voetnoot1), ses règles pour le choc sont identiques à celles de HuygensGa naar voetnoot2). Aucune démonstration ne les accompagneGa naar voetnoot3). Wren affirmaGa naar voetnoot4) dans la séance de la ‘Royal Society’ du 17 décembre 1668 (V. St.) qu'il était déjà en possession de ces règles lorsqu'on commença à former la ‘Royal Society’Ga naar voetnoot5) et cette assertion fut confirmée par Neile, Ball et Hill.

 

Le même jour (le 7 janvier 1669 V. St.) où l'envoi de Huygens fut reçu et lu par la ‘Royal Society’Ga naar voetnoot6), on décida, sur la proposition de Neile, que le manuscrit de Wren serait imprimé dans les ‘Philosophical Transactions’ du mois. En attendant, avant l'ouverture de l'envoi de Huygens, Oldenburg avait déjà envoyé à celui-ci le 4 janvier (V. St.) une copie de ce manuscritGa naar voetnoot7). Huygens l'en remercia dans sa lettre du 6 févrierGa naar voetnoot8) en faisant remarquer que les règles de Wren étaient tout à fait conformes aux siennes et ‘assurement les veritables’; mais quel ne fut pas l'étonnement de Huygens lorsqu'il reçut les ‘Transactions’ du mois de janvier qui contenaient les envois de Wallis et de WrenGa naar voetnoot9) sans qu'il y fût fait la moindre mention du sien. La seule explication qu'il en trouvât dans la lettre d'Oldenburg du 4 févrierGa naar voetnoot10) qui accompagnait ce numéro des ‘Transactions’, était que lui, Huygens, n'avait pas donné la permission d'imprimer et n'avait pas envoyé un sommaire de ce qu'il avait médité. Si cela eût été le cas, lui, Oldenburg, en aurait ‘enrichi les mesmes Transactions de grand coeur’. Mais, comme Huygens le remarqua dans sa réponseGa naar voetnoot11),

[pagina 177]
[p. 177]

Oldenburg aurait pu dire dans les mêmes Transactions, sans attendre sa permission, que les règles communiquées par Huygens à la ‘Royal Society’ étaient en substance les mêmes que celles de Wren.

Ce fut sous l'influence du tort qui lui avait été fait et afin de prévenir l'impression qu'il aurait formé sa Théorie sur celle de Wren, que Huygens écrivit l'article qui suitGa naar voetnoot12). Lorsqu'il sut que cet article avait paru dans le Journal des Sçavans du 18 mars et qu'il crut qu'on en aurait pris connaissance en Angleterre, il écrivit, le 30 mars, trois lettres. Dans l'une, adressée à OldenburgGa naar voetnoot13), il se plaint en des termes très modérés de la manière d'agir de celui-ci, dans celle à MorayGa naar voetnoot14) il s'exprime un peu plus fortement, enfin dans celle à DuhamelGa naar voetnoot15) qui résidait alors en AngleterreGa naar voetnoot16), il prie celui-ci de vouloir être son patron en ce pays-là, puisqu'il en avait grand besoin.

Oldenburg se défendit dans sa réponse du 29 mars (V. St.)Ga naar voetnoot17) contre l'accusation d'‘injustice’. Ayant achevé sa lettre, mais avant de la cacheter, il reçut l'article de Huygens du Journal des Sçavans. Il y remarqua quelques omissionsGa naar voetnoot18) auxquelles il jugea devoir nécessairement suppléer dans les ‘Transactions’ prochaines d'avril, et, en effet, ces ‘Transactions’Ga naar voetnoot19) contiennent, avec la traduction de l'article de HuygensGa naar voetnoot20), un récit détaillé, du point de vue d'Oldenburg,

[pagina 178]
[p. 178]

de ce qui c'était passé. Duhamel, dans ses lettres du 8 avril et du 15 avrilGa naar voetnoot1), rend compte de ses entretiens avec Oldenburg. Moray répondit par une lettre très obligeanteGa naar voetnoot2), où il dit que ceux qui avaient été ‘temoins de ce que vous decouuristes des reigles que vous auiez toutes prestes lors que sur le champ dans vostre chambre au Comun Jardin vous declarastes la resulte de quelques experiencesGa naar voetnoot3) qu'on vous representa auec une exactitude bien surprennante’ ne manquèrent en toutes occasions de lui en attribuer l'honneur qui lui était dû; mais - ajouta Moray - ‘des personnes diferentes se rencontrent quelques fois dans une mesme inuention et produisent les mesmes choses par des methodes et moyens differents. Et en tel cas il me semble que lhonneur de linuention se peut attribuer a tous les deux sans faire tort a l'un ou à lautre’.

Après avoir lu ces lettres et l'article des ‘Transactions’ Huygens se déclara satisfait’Ga naar voetnoot4).

 

Ainsi se termina un incident qui menaça un instant troubler la bonne entente entre Huygens et les savants anglais, mais dont l'heureux effet a été de forcer Huygens à publier ses lois du choc, qui, sans cela, n'auraient paru peut-être que parmi ses oeuvres posthumes, comme il en a été du traité ‘De Motu Corporum ex Percussione’ qui précèdeGa naar voetnoot5).

voetnoot1)
Voir les p. 10-11 de ce Tome.
voetnoot2)
Voir les p. 8-9.
voetnoot3)
Voir sa lettre du 29 octobre 1652, p. 186 du T. I, et comparez la p. 6.
voetnoot4)
Voir ses lettres du 16 décembre 1653 et du 26 novembre 1654, pp. 260 et 307 du T. I, et comparez encore la p. 6.
voetnoot5)
Voir sa lettre du 6 juillet 1656, p. 448 du T. I, et comparez la note 1 de la p. 80.
voetnoot6)
Dans la lettre du 2 novembre 1657 (p. 79 du T. II) Huygens avait communiqué la solution d'un cas spécial. Dans sa réponse (p. 87 du T. II) de Sluse lui demanda des explications, mais l'exemple qu'il donna à son tour montra que les règles qui les guidaient étaient différentes. En effet, dans sa réplique (p. 94 du T. II) Huygens énonça un résultat tout différent, obtenu évidemment en appliquant sa solution générale (voir les p. 65-67 ci-dessus) du cas où l'un des corps est en repos. La réplique de de Sluse (p. 103 du T. II) fit voir que celui-ci n'était pas entièrement convaincu de la justesse de la solution de Huygens. C'est alors que Huygens lui écrivit la lettre du 3 janvier 1658 (p. 115 du T. II) dont nous allons traduire un passage dans le texte.
voetnoot1)
‘Experientias me sectari ne existimes’.
voetnoot2)
Savoir les Hypothèses IV et V du Traité; voir les pp. 39 et 41 de ce Tome.
voetnoot3)
Allusion e.a. à l'emploi du Principe de la relativité à propos duquel il avait écrit à Mylon: ‘Vous verrez une facon de demonstrer fort estrange mais qui pourtant est evidente’; voir la lettre du 6 juillet 1656, p. 448 du T. I.
voetnoot4)
Voir la lettre du 8 janvier 1659, p. 123 du T. II.
voetnoot5)
Nous empruntons les particularités qui suivent pour la plupart au Journal de voyage tenu par Huygens; comparez la note 18 de la p. 69 de notre T. XV.
voetnoot6)
Le 5 février 1661 M. de Guederville y ‘lût des tourbillons de M. des Cartes et nous [Huygens] expliquames la sphere de Copernic’; le 19 février on y ‘refuta la doctrine de des Cartes pour la lumiere’; le 12 mars on y lut ou discuta l' ‘Heuritiade poeme latin de Quiliet’.
voetnoot7)
Il est dommage que le journal de voyage n'ait pas été consulté lors de la rédaction des notes 1 de la p. 547 du T. V et de la p. 277 du T. VI.
voetnoot8)
Voir la p. 547 du T. V. On peut encore consulter le témoignage de Moray sur la même conférence aux pp. 371 et 423-424 du T. VI.
voetnoot9)
On trouve 65o40′ et 15o35′ pour les angles maximum auxquels, d'après la théorie de Huygens, doivent s'être élevés, après le choc, respectivement le plus léger et le plus lourd des pendules, c'est-à-dire en les supposant d'égale longueur.
voetnoot10)
Huygens lui-même écrivit le 13 novembre 1668 à Oldenburg: ‘je me souviens que Messieurs Wren et Rooke me firent veoir leur experiences quand j'estois en Angleterre, et qu'elles s'accordoient tres bien avec ce que j'en avois determinè sur le champ suivant mes hypotheses’. Voir la p. 277 du T. VI.
voetnoot11)
Voir les p. 116-117 du ‘Vol. II’ (1756), de l'‘History of the Royal Society of London’ de Birch, où l'on lit à propos de la séance du 17 octobre 1666 (V. St.): ‘An experiment was tried of the propagation of motion by a contrivance, whereby two balls of the same wood, and of equal bigness, were so suspended, that one of them being let fall from a certain hight against the other, the other was impelled upwards to near the same hight, from which the first was let fall, the first becoming then almost quiescent, and the other returning, impelled the first upwards again to almost the same hight it had fallen from before, itself becoming then in a manner motionless, till after some returns they both vibrated together. It was ordered that this experiment be prosecuted, and others of that kind thought upon’, et à propos de la séance du 24 octobre suivant (p. 117): ‘The experiment about propagating of motion was prosecuted with three balls, of which the middle remained almost quiescent, though struck by either of the lateral ones, which impelled each other upwards’.
voetnoot12)
‘It was mentioned by Mr. Oldenburg, that the council had thought fit, that the experiments for making out a theory of the laws of motion formerly begun by Dr. Wren, Dr. Croune and Mr. Hooke.... should be prosecuted. The society thereupon desired Dr. Wren to give in those experiments of motion devised by himself; but he alledging, that the account of them was at Oxford, Dr. Croune and Mr. Hooke where desired to bring in theirs’ (Birch, Vol. II, p. 140).
voetnoot13)
En attendant Huygens avait exposé verbalement ses règles du choc à l'Académie des Sciences de Paris dans les séances du 4, 11 et 18 janvier 1668. On trouvera les annotations dont il s'est servi à cette occasion aux p. 182-186, comme Appendice à l'ouvrage annoucé (p. 177) dans l'Avertissement présent.
voetnoot1)
Birch, Vol. II, p. 315.
voetnoot2)
On la trouve aux p. 271-272 de notre T. VI.
voetnoot3)
Voir les p. 276-278 du T. VI.
voetnoot4)
Huygens énumère comme les ‘parties’ dont il s'était occupé: la chute des corps pesants tant sans la résistance qu'avec la résistance de l'air, le mouvement des pendules, les centres d'agitation, le mouvement circulaire et conique, la force de s'éloigner du centre et ensin la communication du mouvement par la rencontre des corps.
voetnoot5)
À ce propos il fut renseigné par Oldenburg dans sa lettre du 18 nov. (V. St.), p. 295-296 de notre T. VI.
voetnoot6)
Wren de son côté avait demandé du répit pour pouvoir reprendre quelques-unes de ses expériences (Birch, Vol. 2, p. 318).
voetnoot7)
Birch, Vol. II, p. 320.
voetnoot8)
On répéta l'expérience des trois boules mentionnée dans la note 11 de la p. 173 et le président Brouncker chercha la cause du repos de la boule intermédiaire en ce qu'elle éprouvait la résistance de la boule extrême tandis que celle-ci ne rencontrait d'autre résistance que celle de l'air.
voetnoot9)
Birch, Vol. II, p. 328.
voetnoot10)
Ibidem, p. 335.
voetnoot11)
Ibidem, p. 337. Dans une lettre de décembre 1668 (p. 312 de notre T. VI) Huygens s'excusa auprès de Moray de ne pas encore être prêt. En effet, nous possédons plusieurs avant-projets, qui évidemment ne le satisfirent pas entièrement, de la Pièce qu'il finit par envoyer à Oldenburg; comparez le dernier alinéa de la note 3 de la p. 12. Voir encore la lettre du 5 janvier 1669 (p. 334-335 du T. VI) qui accompagna l'envoi de son manuscrit.
voetnoot12)
Consultez sur ce point la note 6 de la p. 352 du T. VI.
voetnoot13)
Voir pour le contenu les p. 336-343 du T. VI.
voetnoot14)
Après avoir donné les deux propositions sur le choc des corps égaux et leurs démonstrations (comparez les deux premières Propositions du Traité ‘De Motu’, p. 33-39 du Tome présent), Huygens s'efforce d'arriver aussi vite que possible à la démonstration de la règle générale, ce qui ne lui réussit pas entièrement puisqu'il devait laisser une lacune dans cette démonstration (voir la note 2 de la p. 343 du T. VI) qu'il ne pouvait combler sans la prolonger de beaucoup. Il laisse donc de côté tous les autres théorèmes élégants qui se trouvent dans le Traité. Toutesois il composa des anagrammes qui les contiennent et qui étaient déstinées évidemment à être envoyées à la ‘Royal Society’; ce qui ne paraît pas avoir eu lieu. Il ne semble pas nécessaire de les reproduire à l'exception de la première dont on ne retrouve pas le théorème correspondant dans le Traité. La voici: ‘Centrum gravitatis ante et post occursum | duorum corporum aequabili motu | pergit in eandem semper partem illustratieillustratie’; comparez la p. 25. Les autres anagrammes concernent les Prop. IV (p. 43), VII (p. 51), VI (p. 49), VIII (p. 53), XI (p. 73), XII et XIII (p. 81 et 87) et V (p. 47).
voetnoot15)
Voir la p. 335 du T. VI. Oldenburg lui sit connaître l'opinion favorable de l'Assemblée et du président Brouncker en particulier, dans sa lettre du 10 juin 1669, p. 444 du même Tome.
voetnoot16)
Voir les ‘Philosophical Transactions’ du 11 janvier 1669, p. 864-866 du Vol. 3, ou les p. 359-362 de notre T. VI.
voetnoot17)
Il est vrai qu'il nomme les corps considérés par lui ‘absolute dura’, mais il leur donne les propriétés des corps absolument mous en ce sens qu'étant indésormables ils sont dépourvus de toute elasticité. Il ne dit que quelques mots du cas où, n'étant pas ‘absolute dura’, ils peuvent à cause d'une force élastique se repousser plus ou moins après le choc selon la grandeur de cette force restituante. Ajoutons que dans sa ‘Mechanica sive de Motu Tractatus Geometricus. Pars Tertia’, ouvrage de 1671 (voir la note 8, p. 356 du T. VI), il donne dans son ‘Cap. XI. De Percussione’ (p. 1002-1005 du ‘Volumen primum’ de ses ‘Opera mathematica’) pour le choc des corps ‘perfecte dura’ les mêmes règles que dans l'envoi à la ‘Royal Society’, mais dans le ‘Cap. XIII. De Elatere, & Resilitione seu Reflexione’ (p. 1023-1031 des ‘Opera’) il déduit à sa manière pour les corps ‘elastica’ les règles de Huygens.
Nous avons vu (Appendice III, XI, p. 168) que d'après Huygens (contrairement à l'opinion de Wallis) les corps absolument durs, c. à. d. absolument indéformables, ne seraient pas nécessairement dépourvus d'élasticité.
voetnoot1)
Voir les ‘Philosophical Transactions’ du 11 janvier 1669, p. 867-868 du Vol. 3, ou les p. 346-348 de notre T. VI.
voetnoot2)
Voir les p. 65-67 qui précèdent et les p. 341-343 du T. VI.
voetnoot3)
Voir p. 359 du T. VI ce que Wren répondit lorsqu'il fut interpellé à ce sujet.
voetnoot4)
Voir Birch, Vol. II, p. 335.
voetnoot5)
Vers 1660, mais consultez l'assertion de Huygens à la p. 181 qui suit, d'où l'on semble devoir conclure que la théorie de Wren n'avait pas encore été aussi complète alors, qu'il croyait se le rappeler huit ans plus tard. Remarquons d'ailleurs, que Huygens savait résoudre déjà en 1652 tous les cas du choc central des corps durs et qu'il formula ses règles en 1656; comparez les pp. 8, 10 et 11 de ce Tome.
voetnoot6)
Birch, Vol. 2, p. 337.
voetnoot7)
Voir les p. 345-348 du T. VI et consultez encore la lettre du 11 janvier (V. St.) (p. 351-353 du T. VI) où Oldenburg parle de la réception et de la lecture à la ‘Royal Society’ du Mémoire de Huygens.
voetnoot8)
Voir les p. 354-355 du T. VI.
voetnoot9)
Voir les notes 16 de la p. 175 et 1 de la p. 176.
voetnoot10)
Voir la p. 356 du T. VI.
voetnoot11)
Du 30 mars 1669. Voir la p. 390 du T. VI.
voetnoot12)
Voir les p. 179-181.
voetnoot13)
Voir la p. 390 du T. VI.
voetnoot14)
Voir les p. 396-397 du T. VI.
voetnoot15)
Voir la p. 392 du T. VI.
voetnoot16)
Voir la note 14 de la p. 391 du T. VI.
voetnoot17)
Voir les p. 414-416 du T. VI.
voetnoot18)
Consultez encore à ce propos la lettre d'Oldenburg du 26 avril 1669, p. 427 du T. VI.
voetnoot19)
Voir les ‘Philosophical Transactions’ du 12 avril 1669, p. 925-928 du Vol. 4, ou les p. 429-433 de notre T. VI.
voetnoot20)
Consultez à la p. 439 du T. VI l'indication par Huygens de deux ‘sautes d'impression’ dans cette traduction.
voetnoot1)
Voir les pp. 417 et 422 du T. VI.
voetnoot2)
Voir les p. 423-424 du même Tome.
voetnoot3)
Il s'agit des expériences faites le 23 avril 1661 auxquelles Wren avait assisté; voir le dernier alinéa de la p. 172 ci-dessus.
voetnoot4)
Voir sa lettre du 29 mai 1669, p. 439 du T. VI.
voetnoot5)
Voir les p. 29-91.

Vorige Volgende

Footer navigatie

Logo DBNL Logo DBNL

Over DBNL

  • Wat is DBNL?
  • Over ons
  • Selectie- en editieverantwoording

Voor gebruikers

  • Gebruiksvoorwaarden/Terms of Use
  • Informatie voor rechthebbenden
  • Disclaimer
  • Privacy
  • Toegankelijkheid

Contact

  • Contactformulier
  • Veelgestelde vragen
  • Vacatures
Logo DBNL

Partners

Ga naar kb.nl logo KB
Ga naar taalunie.org logo TaalUnie
Ga naar vlaamse-erfgoedbibliotheken.be logo Vlaamse Erfgoedbibliotheken