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Oeuvres complètes. Tome XVII. L'horloge à pendule 1656-1666 (1932)

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Titelpagina van Oeuvres complètes. Tome XVII. L'horloge à pendule 1656-1666
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Editeur

J.A. Volgraff



Genre

non-fictie

Subgenre

verzameld werk
non-fictie/natuurwetenschappen/natuurkunde


In samenwerking met:

(opent in nieuw venster)

© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Oeuvres complètes. Tome XVII. L'horloge à pendule 1656-1666

(1932)–Christiaan Huygens–rechtenstatus Auteursrecht onbekend

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[p. 155]

Horloges marines (et sympathie des horloges).

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[p. 157]

Avertissement.

Des six Pièces qui suivent plusieurs ne consistent guère qu'en quelques figures: dans les manuscrits celles-ci ne sont accompagnées d'aucune description. Les horloges représentées dans les Pièces II et IV (horloge à ressort moteur avec pendule à ‘acroche’Ga naar voetnoot1) doublé par Alexandre Bruce et suspension du mêmeGa naar voetnoot2), et remontoirGa naar voetnoot3) de Huygens à poids moteurs) ont été sommairement décrites par Huygens dans son ‘Horologium oscillatorium’ de 1673Ga naar voetnoot4). Quant au ‘drykantigh slingerwerck’ (Pièce III) ou ‘horloge (à pendule) triangulaire’Ga naar voetnoot5), antérieure au remontoir nommé, Huygens n'en fait nulle part expressément mention dans ses oeuvres. Après l'invention

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[p. 158]

de son remontoir, il semble l'avoir rejetée définitivementGa naar voetnoot1). Dans l'époque qui nous occupe et qui se termine en 1666 au moment où Huygens s'établit à Paris, l'horloge marine qui seule fut mise à l'épreuve est celle, nommée plus haut, qui avait été adaptée à l'usage sur mer par A. Bruce; comparez la p. 193 de l'Avertissement qui suit. Il est vrai qu'en 1660 Lodewijk Huygens avait déjà constaté, en se rendant en Espagne avec une ou plusieurs horloges, que ‘le mouvement du navire’ est, du moins en cas de tempête, ‘peu compatible avec celuy [des] pendules’Ga naar voetnoot2); mais il semble que les horloges qu'il emportait étaient des horloges de chambre ordinaires.

En 1660 et dans les années suivantes les horloges à pendule se répandirent de plus en plusGa naar voetnoot3) et Huygens lui-même transmit souvent, comme il l'avait déjà fait du vivant de CosterGa naar voetnoot4), les ordres de ceux qui désiraient des horloges fabriquées à la HayeGa naar voetnoot5).

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[p. 159]

Ailleurs aussi les horlogers continuèrent à s'appliquer à cette fabricationGa naar voetnoot6) et l'idée d'adapter les horloges à la recherche des longitudes resta sans doute présente à la pensée de tout constructeur doué d'un esprit plus ou moins inventifGa naar voetnoot7).

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[p. 160]

Le 24 février 1662 Huygens écrit à MorayGa naar voetnoot1) qu'il fait construire une petite horloge pour voir si ‘estant suspendue et agitée’ elle continuera à bien marcher. Le 22 marsGa naar voetnoot2) cette horloge était presqu' achevée; c'est d'elle que Huygens parle dans sa lettre du 9 juin à MorayGa naar voetnoot3), disant que dans sa chambre, ‘où elle est suspendue par des cordes de 5 pieds de long’ elle supporte fort bien le mouvement oscillatoire qu'il lui donne. Nous pouvons admettre que l'horloge considérée avait une verge à palettes horizontale et était pourvue d'arcs cycloïdauxGa naar voetnoot4) ou ‘boxhoorns’ (cornes de bouc)Ga naar voetnoot5). Cette même horloge avait peut-être en outre quelque dispositif spécial que nous ne connaissons pas ‘pour le guarantir du choc de haut en bas’Ga naar voetnoot6). Quant à la longueur du pendule, il est possible qu'elle en avait un de trois pieds, puisque Huygens ditGa naar voetnoot7) qu'avant d'avoir vu le pendule de Bruce il espérait ‘pouvoir réussir avec les pendules

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[p. 161]

longs de 3 pieds’Ga naar voetnoot8). Toutefois il paraît bien plus probable - comparez la Fig. 63 qui suit et la note 2 de la p. 164 - que le pendule était courtGa naar voetnoot9). Rien ne nous empêche de supposer, puisque Huygens a dû connaître Bruce depuis le moment où celui-ci avait épousé une des demoiselles van Aerssen ou déjà plus tôtGa naar voetnoot10), qu'il avait déjà causé avec lui de ses horloges avant la construction de la petite horloge nommée; cette conversation, ou quelqu'autre raison, peut l'avoir amené, quoiqu'il eût plus de confiance dans les longs pendulesGa naar voetnoot11), à faire aussi quelques expériences avec une horloge à pendule court. En décembre 1662Ga naar voetnoot12) Huygens commanda une horloge avec pendule de 10 pouces (± 26 c.M.) - comparez le cinquième alinéa de la note 2 de la p. 168 - tandis que celle de Bruce, construite auparavant dans le cours de la même année, en avait un de 7 pouces (± 18 c.M.).

 

La Pièce I fait voir diverses suspensions, dont nous ignorons si elles ont toutes été réalisées. La Pièce II donne des détails sur l'horloge ou plutôt sur le pendule de Bruce. La Pièce III traite, comme nous l'avons dit, du ‘drykantigh slingerwerck’ et la Pièce IV de l'horloge à remontoir patentée en décembre 1664 en Hollande, ainsi que des privilèges accordés en 1665 en Angleterre et en France. Quoique Huygens (au commencement de 1665) désigne les remontoirs par le mot ‘kettingwercken’ (horloges à chaîne ou à chaînes; voir la p. 235 qui suit), ce qui s'accorde avec les Fig. 71, 72 et 73, la comparaison des textes et de quelques autres figures (p. 171, Fig. 68-70) montre qu'avant septembre 1664 les remontoirs - ou peut-être le remontoir unique qui fut prêt en août 1664; voir la note 1 de la p. 172 - étaient pourvus de cordes qui dans les derniers mois de 1664 furent remplacées par des chaînes. Voir à ce sujet

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[p. 162]

les Nos. 7 et 2 de la liste des corrections à apporter aux remontoirs (p. 173)Ga naar voetnoot1). Le No. 12 de la même liste nous fait voir que la suspension qui d'abord avait été celle de Bruce fut changée en une suspension à deux sphères métalliques. Vu les dates, cette dernière suspension n'est probablement pas celle que l'horloger Oosterwijck lui-même avait proposée; voir le dernier alinéa de la note 7 de la p. 159.

La Pièce V traite de la sympathie des horloges observée par hasard dans le cas de deux remontoirs et de la comparaison des deux remontoirs après l'élimination de cette source d'erreurs. Remarquons qu'en mars 1665 (T. V, p. 256), donc bientôt après avoir découvert le phénomène de la sympathie, Huygens écrit avoir ‘trouuè par experience qu'il faut.... attacher [les remontoirs] a quelque poutre ou autre chose inebranslable, par ce qu'a moins de cela le mouuement du pendule non obstant la grande pesanteur de la boete, donne un petit mouuement a toute l'horologe, qui en altere la justesse et la fait aller plus viste selon qu'il y en a d'avantage’. Or, si dans les vaisseaux aussi l'horloge devait être fermement attachée ‘a quelque poutre’ (T. V, p. 282, 321), à quoi pouvait encore servir la lourde boîte?

On trouve de plus dans un Appendice deux figures où la fusée qui plus tard fut réintroduite par Huygens dans les horloges à pendule, savoir dans des horloges marines d'un nouveau typeGa naar voetnoot2), est mentionnée et représentée, sans que l'on puisse dire que ces deux figures se rapportent spécialement aux horloges marines.

Dans l'époque qui nous occupe Huygens se montre tantôt quelque peu pessimiste, tantôt décidément optimiste: en novembre 1663 p.e.Ga naar voetnoot3) il écrit à Moray que ‘les horologes ne nous donneroient jamais les Longitudes dans la derniere perfection, mais que neantmoins elles ne laisseroient pas d'y servir beaucoup, et que peu a peu l'on en perfectionneroit l'usage’Ga naar voetnoot4); le 1 février 1664 dans une lettre à Johan de WittGa naar voetnoot5), après avoir conçu le remontoir à poids moteurs, il dit au contraire que le changement

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[p. 163]

projeté dans le mécanisme des horloges lui donne de grandes espérances (‘hebbende noch onlanghs seeckere nieuwe veranderingh aen de voorszeide horologiën gepractiseert, waerdoor deselve grootelijx werden verbetert, soodat ick aen een goede uytkomst voor dit werck weynigh meer twijffele’) et en février 1665Ga naar voetnoot6), après la construction du remontoir à chaînes, il affirme avoir ‘suject de croire que l'invention des longitudesGa naar voetnoot7) sera dans sa perfection derniere’.

voetnoot1)
Expression de Moray (T. V, p. 104).
voetnoot2)
Voir la fin de la note 6 de la p. 160, et la fin de la note 1 de la p. 166. C'est à cette suspension que Moray (T. V, p. 104) fait allusion en parlant du ‘mouvement de la Boite’.
voetnoot3)
Nous nous servons indifféremment des expressions ‘remontoir’ et ‘horloge à remontoir’. Le mot ‘remontoir’ (ou ‘remontoire’), peut-être plus employé en anglais qu'en français pour désigner une horloge du genre dont il est ici question, se trouve chez F. Berthoud, ‘Histoire de la Mesure du Temps par les Horloges’ (ouvrage déjà nommé dans les notes 14 de la p. 31 et 1 de la p. 32).
voetnoot4)
P. 16-20 de l'édition originale.
voetnoot5)
Le mot ‘drijkant’ ou ‘driekant’ signifie: ‘triangle’, tout aussi bien que le mot ‘driehoeck’. ‘Slingerwerck’ = ‘horloge à pendule’ (voir le texte hollandais de la ‘Brève Instruction’ publiée dans le présent Tome et la p. 55 du T. IX).
voetnoot1)
Voir cependant le troisième alinéa de la note 2 de la p. 168, où nous donnons une autre interprétation possible, mais peu probable, de l'expression ‘drykantigh slingerwerck’.
voetnoot2)
T. III, p. 210.
voetnoot3)
En 1664 (T. V, p. 157) Moray parle des ‘pendules dont on se sert desia dans toute l'Europe sans restriction’.
voetnoot4)
Voir la note 3 de la p. 52 qui précède.
voetnoot5)
Voir à ce sujet le troisième alinéa de la note 3 de la p. 102. Une horloge à pendule de trois pieds fut envoyée de la Haye à Moray en mai ou juin 1661 (T. III, p. 284, 287); c'est sans doute de cette horloge que Moray parle dans sa lettre à Huygens de mars 1662, disant qu'étant ajustée elle va fort bien (T. IV, p. 87). Cette horloge avait été commandée par ‘Monsieur Brus’, c.à.d. par A. Bruce, comte de Kincardine. Il n'y a en effet aucune raison pour admettre (T. III, p. 284, note 1) qu'il s'agit ici de Robert Bruce; par ‘Monsieur Brus’ (voir sur lui la note 3 de la p. 256 du T. IV) Huygens désigne toujours Alexandre Bruce, qui habitait la Haye vers 1660. Comparez la p. 136 du T. V, où il est de nouveau question de cette horloge et en même temps du comte de Kincardine. Suivant la note 10 de cette page l'horloge en question aurait été probablement fabriquée par Paschal (Claude Pascal); il paraît toutefois plus probable que Bruce l'avait commandée chez Severijn Oosterwijck, vu que celui-ci travaillait pour lui (voir la note 1 de la p. 166 qui suit). S'il en est ainsi, l'‘horloger’ de la p. 284 du T. III est S. Oosterwijck et non pas Pascal (T. III, p. 559). W. Brouncker, président de la ‘Royal Society’ reçut dans l'automne de 1664 une horloge à pendule de trois pieds à poids moteur fabriquée par S. Oosterwijck et commandée par les frères Huygens en octobre 1663 (T. IV, p. 411, 424, 434, 460, 477; T. V, p. 42, 47, 75, 103). En janvier 1662 Huygens avait fait construire par Pascal, qu'il nomme ici par son nom pour la première fois, une horloge pour son ami, ou plutôt l'ami de toute la famille, S. Chieze (T. IV, p. 10, 12, 14, 65, 71). Il paraît possible qu'a près la mort de Coster Huygens ait fait généralement fabriquer ses horloges chez Pascal qui était lié avec Coster (voir le dernier alinéa de la note 2 de la p. 179) et que ce soit grâce à son collaborateur Bruce qu'il s'est adressé ensuite aussi à S. Oosterwijck. Comparez sur les relations de Huygens et de Bruce la note 10 de la p. 161 et la note 1 de la p. 166. L'horloge que Huygens envoya à Boulliau peu après le 1 décembre 1662 était d'Oosterwijck (T. IV, p. 272, 411); en novembre 1563 Boulliau en possédait deux du même maître (T. IV, p. 424). Nous pouvons donner ici sur les horlogers nommés les détails biographiques suivants.
Claude Pascal était maître horloger à la Haye au moins depuis septembre 1654 (archives notariales de la Haye No. 266, f. 297); il est mentionné la dernière fois dans les archives le 30 janvier 1670. En août 1674 (No. 201, f. 215) il est question de sa veuve. Il avait épousé le 10 octobre 1655 Marguerite Pagez ou Pagé (No. 173, f. 323); en cette occasion il est appelé français d'origine (‘jongman uyt Vranckrijck’; voir le Livre des Mariages). Il nous a été impossible de vérifier (voir la note 8 de la p. 12 du T. V) que Pascal demeurait, comme Oosterwijck, è la Spuistraat, ni qu'il provenait de Genève, comme Huygens le dit incidemment à la p. 66 du T.V. Il est vrai que dans les actes d'état civil et notariaux passés à Genève les horlogers du nom de Pascal ou Paschal ne font pas défaut, mais on n'y a pu trouver la trace d'aucun Claude Pascal. D'aprés un manuscrit appartenant à la Bibliothèque de la Société de l'Histoire du Protestantisme français (Catalogue des manuscrits de la Société No. 892, ‘Etats civils de Paris et de quelques provinces’) ‘Pascal (Claude) habitant La Haye’ séjourna à Paris en 1670. Voir encore sur lui la note 1 de la p. 72 qui précède et le dernier alinéa déjà nommé de la note 2 de la p. 179 qui suit.
Severijn Adamsen Oosterwijck(archives notariales de la Haye, No. 142, f. 133 v.) mentionné pour la première fois en juin 1658 (No. 244, f. 200 v.) loua le 1 février 1660 (No. 245, f. 14) une maison de la Spuistraat (‘aende Westsyde van 't Spuij, daer uithanckt de Keysershoet’); il n'y résidait donc pas encore au moment de la mort de Coster (note 2 de la p. 12 qui précède). Le 28 janvier 1661, il acheta une maison également située ‘aen de Westsijde Van 't Speuije’ et appelée depuis longtemps (‘van outs genaempt’) ‘de drie vergulde Mollen’ (No. 294, f. 360). D'apres le ‘Register van het familiegeld’ (arch. comm. de la Haye, f. 312), il y était encore établi avec sa famille vers 1677. Il était marié, au moins depuis 1665, avec Sara Jans van Dueren (No. 638, f. 256) - rien n'indique qui ce soit lui qui ait épousé ‘Annetie’ en 1667; voir la p. 126 du T. VI - et vivait en 1685 dans une maison de la Brouwersgracht, qu'il avait achetée en 1678 et que sa veuve habitait encore en 1696. On trouve le nom de Severijn Oosterwijck, premier signataire, avec celui d'Adam Oosterwijck, sans doute son fils - voir la p. 533 du T. VIII -, et celui de P. Visbach, parmi ceux des horlogers qui constituèrent la Corporation (Gilde) des Horlogers: à leur demande les magistrats de la Haye avaient établi cette Corporation en janvier 1688 (arch. comm. de la Haye).
Voir encore sur des horloges de chambre fabriquées à la Haye et envoyées ailleurs les p. 232, 430, 434 et 477 du T. IV et 12, 18, 19, 52, 57, 59, 364, 540, 545 du T.V. Sur les horloges marines fabriquées à la Haye, dont des exemplaires furent envoyés à Paris et à Londres, consultez le sixième alinéa de la note 2 de la p. 179 ainsi que la p. 193 qui suit.
voetnoot6)
En février 1662 Moray écrit (T. IV, p. 27): ‘Nous avons donné ordre a un excellent ouurier qui est icy [à Londres] pour nous faire quelques horloges auquels toutes choses seront curieusement faites’; cet horloger devait en premier lieu construire exactement les arcs cycloïdaux. Voir aussi la note 13 de la p. 297 du T. IV. Constantijn Huygens père en 1662, lors d'un séjour à Paris, loue fort les horloges à pendule de Thuret (T. IV, p. 110) désignées ailleurs (T. IV, p. 270) comme horloges ‘de son invention’ (comparez sur les horloges de Thuret le dernier alinéa de la note 2 de la p. 179); Const. H. va jusqu'à dire qu'à Paris ‘on... travaille mieux desia en ces sortes d'ouurages’ qu' à la Haye (opinion citée par Chr.H., T. IV, p. 209).
voetnoot7)
Voir p.e. ce qui est dit aux p. 94 et 264 du T. IV de l'horloger parisien Martinet, qui s'appliquait à cette adaptation (mais ici il ne s'agit pas d'une horloge à pendule) déjà en 1660. Il faut remarquer à ce propos qu'il n'est pas exact de dire, comme le fait la note 3 de la p. 389 du T. III, que ‘Martinet travaillait pour Chr. Huygens’. D'après son Journal de voyage Chr. Huygens fit connaissance avec Martinet le 11 novembre 1660 lors de son séjour à Paris. C'est là qu'il entendit parler pour la première fois de l'idée de régler le balancier de l'horloge de poche par un ressort, idée qu'il réalisa lui-même au commencement de 1675: comparez sa lettre à Moray du 18 septembre 1665 (T. V, p. 486), qui nous apprend que ‘le Duc de Roanais.... et Monsieur [Blaise] Pascal avoient communiquè cette invention’ à l'horloger nommé. Observons en même temps que la note 13 de la dernière page citée dit par erreur que l'horloger en question était ‘probablement Thuret’.
En décembre 1663 S. Oosterwijck, d'après Const. H. frère, crut ‘auoir trouvé quelque chose pour... suspendre’ les horloges à pendule ‘encore mieux’ que Bruce l'avait fait (T. IV, p. 456). En 1665 (T. V, p. 303) l'horloger de Nymègue J. van Kal (voir sur lui la p. 79 qui précède) était aussi en possession d'une invention à lui ‘om de pendules tegen de beweging der schepen te voorsien’ (d'après Chr.H.).
voetnoot1)
T. IV, p. 65.
voetnoot2)
T. IV, p. 96.
voetnoot3)
T. IV, p. 151.
voetnoot4)
Comparez les p. 95-96 qui précèdent.
voetnoot5)
Voir pour le mot ‘boxhoorns’ le No. 14 de la p. 173 qui suit. En français aussi on parlait parfois des ‘cornes’ du pendule, voir la p. 476 du T. IV.
voetnoot6)
Voir la p. 68 du T. IV. Rien ne prouve que le dispositif auquel Huygens fait allusion à l'endroit cité consistait dans une façon ‘de suspendre l'horloge à pendule de manière qu'elle puisse osciller sur son support’, comme le dit la note 11 de la p. 519 du T. VII.
Quant à l'horloge adaptée à l'usage sur mer par Bruce, elle était suspendue, ‘è chalybea pila, cylindro aeneo inclusa’ (p. 17 de l'édition originale de l'‘Hor. osc.’; c'est Bruce en effet qui y est désigné, à la p. 16, par l'expression ‘vir nobilis è Scotia’).
voetnoot7)
T. V, p. 8.
voetnoot8)
Comparez ce que Huygens en dit à la p. 40 du T. V (mars 1664): ‘J'estois alors pour ces grands pendules, mais je doute maintenant si l'on ne seroit pas mieux d'en demeurer dans la mediocritè de ceux qui sont aux montres de M. le comte de Kincardin’.
voetnoot9)
Il paraît probable en outre que l'horloge était à ressort moteur, comme celles de la Fig. 63.
voetnoot10)
D'après le Journal de voyage, Huygens visita Bruce et sa femme à Londres en avril 1661. C'est donc à tort que la note 8 de la p. 323 du T. VII dit que les premières relations de Huygens avec Bruce datent de 1662. Il nous semble même fort probable que Huygens connaissait Bruce personnellement déjà en 1658, puisqu'il lui envoya en septembre de cette année un exemplaire de son ‘Horologium’ (T. II, p. 209).
voetnoot11)
Voir encore ce qu'il écrit à ce sujet vers la fin de 1662 ou au commencement de 1663 (quatrième alinéa de l'Appendice qui occupe la p. 236 qui suit).
voetnoot12)
T. IV, p. 285.
voetnoot1)
Comparez la note 1 de la p. 173 d'après la quelle le No. 7 était primitivement antérieur au No. 2.
voetnoot2)
Il s'agit de l'horloge, mentionnée aussi dans la note 2 de la p. 168, dont le ‘pendulum trianguli formam habet’.
voetnoot3)
T. IV, p. 432.
voetnoot4)
Comparez sur cette phrase le cinquième alinéa de l'Appendice qui se trouve à la p. 236 qui suit.
voetnoot5)
Cette lettre qui manque dans la Correspondance a déjà été publiée dans le Recueil nommé dans la note 4 de la p. 51 qui précède (endroit cité dans cette note).
voetnoot6)
T. V, p. 223.
voetnoot7)
À laquelle il s'intéressait au moins depuis 1655; voir la note 4 de la p. 55 qui précède.

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