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Oeuvres complètes. Tome XIX. Mécanique théorique et physique 1666-1695 (1937)

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Titelpagina van Oeuvres complètes. Tome XIX. Mécanique théorique et physique 1666-1695
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Editeur

J.A. Volgraff



Genre

non-fictie

Subgenre

verzameld werk
non-fictie/natuurwetenschappen/natuurkunde


In samenwerking met:

(opent in nieuw venster)

© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Oeuvres complètes. Tome XIX. Mécanique théorique et physique 1666-1695

(1937)–Christiaan Huygens–rechtenstatus Auteursrecht onbekend

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[pagina 353]
[p. 353]

Le son.

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[p. 355]

Avertissement.

La théorie de la musique, nous l'avons rappelé à la p. 486 du T. XVIII, commence avec Pythagore. C'est du moins ce qu'une tradition ancienne et respectable nous assure et ce que Huygens ‘veut bien croire’Ga naar voetnoot1).

C'est donc aussi avec Pythagore, peut-on dire, que naquit la physique mathématique. La question de savoir si dans la science du musicien c'est la perceptionGa naar voetnoot2) ou bien la raisonGa naar voetnoot3) qui importe en premier lieu - Platon dans la RépubliqueGa naar voetnoot4) s'était montré rationaliste à outrance, se moquant des empiristes qui tourmentent les cordesGa naar voetnoot5) - est discutée par Ptolemée dans le premier chapitre de ses ‘Harmonika’Ga naar voetnoot6), ouvrage que Huygens connaissaitGa naar voetnoot7). C'est la raison, dit Ptolemée, qui trouve l'exactGa naar voetnoot8).

 

La théorie de la musique est évidemment en premier lieu une théorie des tons musicaux. Nous ne parlons pas ici des instruments, ni de la connexion que Ptolemée croit

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[p. 356]

pouvoir établirGa naar voetnoot1) entre les rapports musicaux - d'où provint la théorie mathématique des rapports - et les mouvements des astres. Observons seulement qu'il est bien naturel que l'application de la théorie des nombres aux phénomènes observables - il s'agit en premier lieu des longueurs respectives des dìfférentes cordes - ait bientôt pris plus d'ampleur, qu'après les mouvements vibratoires d'autres mouvements périodiques aient fait l'objet de l'étude des Pythagoriciens et de leurs successeurs. Kepler (‘Harmonice mundi’, 1619) s'inspira des idées pythagoriciennes de Ptolemée. Ce que Huygens avance à la p. 215 du T. XV à propos du nombre 12 peut être considéré comme une faible réminiscence pythagoricienneGa naar voetnoot2); pythagoricienne, bien entendu, dans le sens étroit du motGa naar voetnoot3); car dans un sens plus large, la physique mathématique restera évidemment toujours liée à Pythagore et Platon. Nous avons dit au T. XVIII qu'il était réservé à Huygens d'établir la théorie mathématique du mécanisme des vibrations harmoniquesGa naar voetnoot4).

 

Comme son père, Huygens était grand amateur de musique. Il jouait et chantait fort bienGa naar voetnoot5).

 

Nous nous bornons à publier ici ses remarques sur Pythagore et les rapports harmoniques, ainsi que quelques Pièces (sur la vibration des cordes, sur la vitesse du son, l'écho, etc.) ayant un caractère physique, en réservant pour le Tome suivant ce qui est de nature plus exclusivement musicale. Il est vrai que là aussi c'est surtout du côté technique de l'art qu'il s'agit.

On ne trouvera donc pas encore dans les Pièces qui suivent les noms d'Aristoxène, de Vincent Galilée (père), de Salinas etc. On y rencontrera seulement ceux de Galilée

[pagina 357]
[p. 357]

et de Mersenne. Ici comme ailleurs ce dernier, grand connaisseur d'instruments et s'intéressant à la théorie des vibrations ainsi qu'à celle du pendule et à la mécanique et physique en général, a exercé sur Huygens une profonde influence. La vitesse du son mesurée par Huygens en 1669 (Pièce VII) avait été également déterminée (après Gassendi) par Mersenne qui toutefois avait été moins heureux que d'autres expérimentateurs.

Dans la Pièce IX Huygens détermine assez exactement le nombre des vibrations correspondant à un ton déterminé.

voetnoot1)
P. 362 qui suit.
voetnoot2)
Αἰσ ϑήσεις (les sens).
voetnoot3)
Λόγος.
voetnoot4)
Voyez sur la Πολιτεία de Platon la p. 31 (note 11) du T. XVIII.
voetnoot5)
Livre VII, Chap. XII: τοὺς χρηστοὺς ... τοὺς ταῖς χορδαῖς πράγματα παρέχοντας ϰαὶ βασανίζοντας, ἐπὶ τῶν ϰολλόπων στρεβλοῦντας.
voetnoot6)
Les ‘Harmonika’ parurent pour la première fois en latin à Venise en 1562 (‘Aristoxenus, Harmonicorum elementorum ll. III, Cl. Ptolemaei Harmonicorum seu de Musica ll. III, Aristotelis de objectu auditus fragmentum ex Porphyrii commentario’. Edition de A. Gogavinus).
voetnoot7)
Portefeuille ‘Musica’, f. 22 r: ‘Putat Wallisius, in Appendice ad Ptolemaei Harmonica ...’ etc. Le texte grec et la traduction latine de J. Wallis avec l'Introduction et l'Appendice parurent en 1682. Mais Huygens connaissait aussi l'édition de Gogavinus (même portefeuille).
voetnoot8)
λόγος εὑρίσϰει τὸ ἀϰριβές.
voetnoot1)
Livre III, Chap. VIII-XVI.
voetnoot2)
Nous ayons déjà cité cet endroit à la p. 85 qui précède.
voetnoot3)
Comparez ce que Fr. Bacon dit (p. 250 qui précède) sur l'‘advolatio ad generalissima’ des anciens.
voetnoot4)
Voyez la Pièce III qui suit.
voetnoot5)
Le Père Constantyn nous apprend que déjà en 1638 ‘Christiaen ... met een ongelooffelicke vasticheit, reden ende distinctie alle difficilste dingen, oock in Alto, ende Tenor sleutelen indifferentelyck, ende sonder bekommeringhe wiste te singen’ (‘De Jeugd van Chr. Huygens, volgens een handschrift van zijn vader’ door Dr. J.A. Worp, revue ‘Oud-Holland’, Vol. XXXI, Binger, Amsterdam, 1913).

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