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Oeuvres complètes. Tome XIX. Mécanique théorique et physique 1666-1695 (1937)

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Titelpagina van Oeuvres complètes. Tome XIX. Mécanique théorique et physique 1666-1695
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Editeur

J.A. Volgraff



Genre

non-fictie

Subgenre

verzameld werk
non-fictie/natuurwetenschappen/natuurkunde


In samenwerking met:

(opent in nieuw venster)

© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Oeuvres complètes. Tome XIX. Mécanique théorique et physique 1666-1695

(1937)–Christiaan Huygens–rechtenstatus Auteursrecht onbekend

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Additions et corrections.

Page Au lieu de lisez
29 note 1 le note   la note  
31 ligne 3 d'en bas centifimam centesimam  
36 ligne 9 d'en bas pdrpendiculaire perpendiculaire  
44 ligne 14 d'en bas faisent   faisant  
46 ligne 1 doivents   doivent  
57 ligne 3 d'en bas bisariam   bifariam  
70 ligne 5 [Fig. 47].   [Fig. 46]  
76 ligne 1 d'en bas tonnéau   tonneau  
82 ligne 4 d'en bas Outre Neper et Cavalieri nous aurions pu mentionner Borelli qui se sert également de l'expression ‘fluxus’ dans son ouvrage de 1667 ‘De vi percussionis’ que Huygens connaissait (p. 95).
103 note 3 ligne 3 ou   où  
103 note 4 ligne 1 représentées représentés  
113 ligne 1 autam   autem  
144 Nous aurions mieux fait de donner à la petite figure [Fig. 79] le numéro 78 bis. En effet, on trouve une deuxième Fig. 79 à la p. 147.
152 ligne 1 [Fig. 81]   [Fig. 80]  
161 notes 2 ligne 3 aussi que   ainsi que  
163 notes ligne 6 Bachet   Brachet  
177 Nous avons déjà publié la Fig. 93 en juin 1937, donc environ quatre mois avant l'apparition du présent Tome, dans notre article ‘Het zeehorologie van Christiaan Huygens’ (dans le Jaarverslag der Vereeniging ‘Nederlandsch Historisch Scheepvaartmuseum 1935-1936’) mentionné aussi à la p. 677 qui précède.
178 Horloge à pendule conique d'octobre 1659 (T. XVII, p. 88-91). M. Muller von Czernicki nous a fait remarquer que la Fig. 17 de la p. 90 fait voir que Huygens savait déjà fort bien le 5 octobre 1659 (date de la p. 88) que la condition d'isochronisme dans le cas considéré est que le poids du pendule (supposé mathématique) doit rester à la même hauteur. C'est ce qui résulte aussi de l'Appendice IV au traité de la force centrifuge (T. XVI, p. 319), où nous avons dit (note 5, où il faut lire Prop. X au lieu de Prop. IX) qu'il est possible

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Page Au lieu de lisez
  que déja quelque temps avant la rédaction du traité Huygens ait pu trouver cela par le calcul. Néanmoins nous avons dit dans la note 4 de la p. 91 du T. XVII que le 5 octobre 1659 Huygens a probablement trouvé la longueur requise par l'observation. En esset, même lorsqu'on suppose qu'il eùt pu faire à cette date le calcul pour un pendule mathématique, il ne le pouvait évidemment pas pour un pendule physique. La longueur du pendule est suivant Huygens environ (‘circiter’) de 6 pouces rhénans; le calcul pour un pendule mathématique donne, disions-nous, 4, 6 ou 4, 8 pouces, selon qu'on prend la valeur de l'accélération de la pesanteur admise par Huygens à cette date ou bien la valeur réelle; toutes ces longueurs se rapportant à une inclinaison de 45o. Or, une erreur s'était glissée dans notre calcul. Au lieu de 4, 6 et 4, 8 nous aurions dû ecrire 6, 6 et 6, 9 pouces. Comme le pendule physique doit être plus long, et non pas plus court, que le pendule mathématique isochrone, il semble bien en effet qu'on puisse parler, comme nous l'avons fait dans cette note, d'une ‘observation grossière’.
Mais ce qui mérite d'être remarqué et pourrait faire croire que Huygens était déjà en possession de la théorie, c'est que la chaîne, ou le plongeur, devant servir à tenir la période constante, est en effet capable de maintenir le poids du pendule, supposé mathématique, à la même hauteur lorsque le pendule se met à décrire un cône plus ample ou plus étroit. En effet, ce régulateur (chaîne ou plongeur) agit en sorte que la tension du fil du pendule est toujours proportionnelle à sa longueur ce qui est la condition requise (Prop. XV du traité de la force centrifuge; p. 294 et 295 du T. XVI).
Une horloge à pendule conique de cette espèce à plongeur a récemment été construite d'après un projet du Dr. C.A. Crommelin par Mons. L.W. Muller et ses élèves et a été placée dans le ‘Nederlandsch Historisch Natuurwetenschappelijk Museum’ de Leiden. On peut consulter sur cette horloge l'article ‘Het uurwerk met den balansslinger van Christiaan Huygens’ par C.A. Crommelin (‘Nederlandsch tijdschrift voor natuurkunde’, la Haye, Nijhoff, IV, 6, 1937).
Nous ne parlons pas ici des nouvelles constructions de MM. Muller von Czernicki et Yzerdraat pour le même musée.
180 ligne 7 les note   la note  
180 ligne la notes   les notes  
194 ligne 4 et   en  
204 ligne 3 au ne   a une  

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[p. 684]

Page Au lieu de lisez
212 ligne 16 ce de   de ce  
216 note 2 deuxième   troisième  
217 ligne 10 d'en bas conbien   combien  
218 note 2 ligne 1 tonchant   touchant  
218 note 2 sçavans   sçavans’  
219 ligne 12 maehine   machine  
225 ligne 15 sont   font  
231 ligne 15 reffort   ressort  
232 ligne 16 vaiffeaux   vaisseaux  
232 ligne 2 d'en bas fi   si  
234 note 1 Nous aurions dû remarquer que ‘la recepte pour faire la glace sans glace ni neige’ fut en effet communiquée à Huygens de la part de Boyle en avril 1690 (T. IX, p. 407).
237 ligne 9 d'en bas occupait   occupoit  
243 ligne 7 T. VI).   T. VI.  
244 ligne 1 1673   1663  
244 ligne 4 1675   1665  
  C.à.d. la Micrographia de Hooke parut en 1665 et l'expérience de Huygens lui avait réussi avec du mercure en 1663.
262 ligne 13 sin   fin  
267 ligne 8 S,   S.  
269 ligne 7 se sait   se fait  
275 ligne 5 d'en bas embraffe   embrasse  
286 ligne 7 d'en bas màis   mais  
292 ligne 3 sumee   fumee  
297 note 1 dernière ligne avons déjà   où nous avons déjà  
304 ligne 7 d'en bas qu   que  
304 note 3 pui   qui  
305 ligne 4 surpaffent   surpassent  
311 ligne 2 senfi   sensi  
316 ligne 6 d'en bas On pourrait cependant observer, au sujet des champs électriques, magnétiques etc., que Gilbert dans son ‘Tractatus’ de 1600 parle déjà (Lib. II, Cap. XXXIII) d'un ‘orbis virtutis’ ou ‘orbis magneticae attractionis’.
347 note 13 Ajoutez: D'ailleurs Mariotte disait la même chose en 1679 dans son ‘Discours pour faire voir que le froid n'est qu'une privation ou une diminution de chaleur etc.’ (réimprimé dans les ‘Oeuvres’, éd. de Leiden, vander Aa, 1717).
348 note 3 ligne 3 clivace   clivage  
364 note 1 ligne 3 correspondent   correspondant  

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Page Au lieu de lisez
386 lignes 14-16 C'est surtout dans l'Addition au Discours de la Pesanteur publiée en 1690 que Huygens dit clairement que les particules de l'éther doivent être telles qu'elles peuvent remplir tout l'espace sans qu'il en résulte une grande densité de la matière: ‘les particules [de l'éther] s'y [c.à.d. dans les espaces célestes] peuvent toucher, comme je les ay supposées au dit Traité [de la Lumière]; et toutefois, à caufe de la legereté de leur tissu, resister fort peu au mouvement des Planetes’.
392 note 4 Le no 11432 du fonds latin de la salle des manuscrits de la Bibliothèque nationale à Paris contient 9 lettres de Huet à I. Vossius, dont la deuxième, la troisiéme et la quatrième se rapportent pour la plus grande partie à la note de Vossius sur Pomponius Mela. La deuxième est de mars 1659, la troisiéme de février 1660. Cette dernière fair voir que Vossius a répondu à la deuxième. La Bibliothèque de l'Université de Leiden ne possède toutefois que la réponse de mai 1660 de Vossius à la troisième lettre (1810. B.P.L. 885 I. Vossius ad P.D. Huet). La quatrième lettre de Huet est de septembre 1660.
Puisque Huygens approuve la censure de Huet en août 1659, ses paroles ne se rapportent qu'à la lettre de mars 1659 que Vossius lui a sans doute montrée.
Il nous est impossible de nous étendre longuement sur la note de Vossius ou de publier ici la lettre en question.
L'approbation de Huygens se rapporte probablement surtout à ce que Huet dit à propos de la négation par Vossius de la proposition: refractio non fit nisi in linea recta ad superficiem refracta. Huet appelle cette proposition ‘certissima ... ex constante eorum omnium sententia, qui optices peritissimi habiti sunt’. Il a en effet parfaitement raison en faisant voir qu'une certaine expérience de Vossius avec des siphons ne démontre nullement la courbure des rayons. Il n'en résulte pas - est-il besoin de le dire? - que tout rayon de lumière est nécessairement droit, comme le veut apparemment Huet. Dans la lettre de février 1660 Huet parle de la ‘refractio... quae ab aethere in aërem committitur’. Il accepte donc l'ancienne idée d'une surface séparant assez nettement l'éther - l'éther d'Aristote, peuton dire - de l'air atmosphérique.
Dans sa lettre de mai 1660 Vossius répond - sans rien préciser cependant sur la cause ou la grandeur de la courbure -: ‘Omnes... radios ex sole... progredientes per atmosphaeram... sive illam stringant, sive penetrent, rectos esse putas, atqui hoc secus se habet’.
En septembre 1660 Huet écrit: ‘Novâ illâ opticâ quam polliceris

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Page An lieu de lisez
  [le livre de 1662] plane me beaveris’.
Dans ce livre Vossius ne parle nulle part clairement d'une courbure des rayons; mais dans le Chap. XV (‘Refractionem non fieri in superficie’) il dit: ‘aqua... cum homogenea est [nous soulignons] aequaliter ubique lucem et radios transmittit’.
397 et 398, note 8 Vitesse de la lumière. Les expériences de A.A. Michelson, F.G. Pease et F. Pearson (‘Measurement of the velocity of light in a partial vacuum’, Astrophysical Journal, Univ. of Chicago Press, Vol. 82, 1935) ont donné une moyenne de 299.774 K.M. par sec. Récemment W.C. Anderson (‘Measurement of the velocity of light’, Physical review - publ. by the American Institute of Physics, Lancaster & New-York - vol. 51, 1937) a trouvé 299.764 K.M. par sec. (moyenne de 651 observations).
D'après M. Brouwer l'erreur probable de la mesure de la vitesse par des méthodes terrestres est aujourd'hui de l'ordre de grandeur de 1/100,000, celle qu'on pourrait faire par les satellites de Jupiter de l'ordre de 1/500, en se servant des meilleures observations (photographiques) des satellites, lesquelles sont celles de 1927 et 1928 de Johannesburg (‘Bulletin of the astronomical institutes of the Netherlands’, vol. 5, p. 55 et 121); ce dernier calcul, qui d'ailleurs n'a pas été exécuté, aurait donc peu d'intérèt.
402 note 2 Deux pages seulement, les dernières, de la ‘Dissertatio’ de Young sont consacrées aux sons représentés par les lettres de l'alfabet. Il distingue les ‘vocales purae’, et ‘nasales’, les ‘semivocales purae’ et ‘nasales’, la ‘semivocalis mixta’ (n), les ‘explosivae’, les ‘susurrantes’ et les ‘mutae’.
476 ligne 7 d'en bas Il ne nous semble pas permis de conclure du fait que Huygens dit que la propagation de la lumière a toujours lieu en ligne droite, même à travers les petites ouvertures, qu'il ne connaissait pas le livre de Grimaldi, comme le fait E. Lommel dans ‘Ostwald's Klassiker’. Voir à ce sujet la note 2 de la p. 389.
500 ligne 22 Huygens n'a pas remarqué que dans le cas du quartz aussi l'une des réfractions est irrégulière.
545 note 5 En ce siècle surtout la connaissance de la structure des cristaux a fait de grands progrès. Dans le ‘Palais de la Découverte’, inauguré à Paris quelques mois avant l'apparition du présent Tome, on peut voir un modèle du cristal, ou spath, d'Islande (calcite): c'est un réseau où des atomes de calcium alternent avec des atomes de carbone, chacun de ces derniers étant entouré de trois atomes d'oxygène.

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Page Au lieu de lisez
614 note 1 La ‘Brevis enarratio quarundam observationum factarum à Nobili Roberto Boyle de Adamante in tenebris lucente’, contenant les ‘Observationes XXVII Octobris MDCLXII factae de adamante Domini Clayton’, est un appendice aux ‘Experimenta et considerationes de coloribus etc’. (Amstelodami, G. Schagen, 1667). Le récit de ces observations est un ‘apographum epistolae a Domino R. Boylio ad Equitem Robertum Moretum scriptae’. L'auteur y parle plusieurs fois de Huygens; il dit e.a.: ‘summa capita brevis hujus narrationis Domino de Zulichem te significaturum spero’.
621 note 9 La f. 1 du Manuscrit F de Huygens porte la note suivante: ‘Dicté par Mr. Romer touchant la comete vue a Rome en 1680, qu'il croioit pouvoir estre la mesme avec celle que nous avons commencè de voir le 29 Dec. 1681 [nous soulignons]’. Etc. Voyez les p. 122-123 du T. XV.
En février 1681, lorsque Huygens parla de la comète, Römer était encore à Paris.
631 ligne 3 Roberval parle des comètes dans le dernier Chapitre de son ‘Aristarchus’.


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