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Oeuvres complètes. Tome XX. Musique et mathématique (1940)

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Editeur

J.A. Volgraff



Genre

non-fictie

Subgenre

non-fictie/natuurwetenschappen/wiskunde


In samenwerking met:

(opent in nieuw venster)

© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Oeuvres complètes. Tome XX. Musique et mathématique

(1940)–Christiaan Huygens–rechtenstatus Auteursrecht onbekend

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[pagina 15]
[p. 15]

Musique.

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[p. 17]

Avertissement général.

Non audio qui allegant authoritatemGa naar voetnoot1).

Dans ses considérations théoriques sur la musique, aussibien que dans celles sur d'autres branches du savoir humain, Huygens, tout en lisant beaucoup et en conversant volontiers avec les gens compétents - nous songeons à sa conversation de 1662 avec un des frères HemonyGa naar voetnoot2) - n'entend pourtant nullement, l'adage ci-dessus l'exprime clairement, se soumettre à l'autorité d'autrui: c'est, somme toute, à son propre jugement qu'il se fie. Quoi de plus conforme à la dernière sentence des ‘Principia Philosophiae’ de Descartes - également intéressé, soit dit en passant, à la théorie de la musiqueGa naar voetnoot3) - où le philosophe, après avoir vanté son système, dit en terminant: ‘At nihilominus .... nihil .... ab ullo credi velim, nisi quod ipsi evidens & invicta ratio persuadebit’.

Nous n'entendons pas entrer ici dans une discussion sur la question de savoir jusqu'à quel point la ‘ratio’ doit s'appuyer sur l'‘experientia’Ga naar voetnoot4). N'étant pas partisan d'un

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[p. 18]

rationalisme à outrance tel qu'on le rencontre parfois chez PlatonGa naar voetnoot5), Huygens reconnaît volontiers que les règles de la musique ont été primitivement découvertes par l'expérienceGa naar voetnoot6). Ailleurs il dit même que l'on ne ‘trouve des inventions nouvelles... que par hazard’Ga naar voetnoot7). On peut ajouter que de pareils hasards ne se présentent guère qu'aux chercheursGa naar voetnoot8); et aussi que c'est souvent en grande partie des idées d'autrui que ces hasards proviennentGa naar voetnoot9): comparez ce que Huygens dit à la page citéeGa naar voetnoot10) sur l'utilité des expositionsGa naar voetnoot11).

 

Musicien depuis son enfanceGa naar voetnoot12), Huygens fait preuve dans plusieurs de ses lettres, p.e. dans celles qu'il écrivit à Paris pendant son séjour de 1655Ga naar voetnoot13), de son intérêt pour cet art. Depuis 1661, date de la ‘Divisio Monochordi’ (p. 49 qui suit), un mois après qu'il eut jeté les yeux sur un écrit de Hemony, nous le voyons s'occuper activement de la théorieGa naar voetnoot14). D'autre part quelques-unes de ses notes théoriques ne peuvent être antérieures à 1691: en cette année parut le livre de Werckmeister qu'il discuteGa naar voetnoot15). C'est aussi en 1691 que fut imprimée son étude sur le Cycle HarmoniqueGa naar voetnoot16), entreprise beaucoup plus tôt. Nous rappelons qu'elle est généralement connue sous le nom

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[p. 19]

‘Novus Cyclus Harmonicus’ d'après la traduction latine dans l'édition de 's Gravesande de 1724. Après 1691 Huygens ne voulut plus rien publier quoiqu'il y ait songé un moment et qu'il eût eu l'occasion de le faire e.a. dans les ‘Acta Eruditorum’Ga naar voetnoot17).

Pour d'autres particularités, en partie chronologiques, nous renvoyons le lecteur aux Avertissements des diverses Pièces empruntées en majeure partie au portefeuille ‘Musica’ et faisant enfin connaître avec quelque précision, près de 250 ans après sa mort, la figure de Huygens musicologue.

voetnoot1)
Portefeuille ‘Musica’, f. 18 v, citée aussi à la p. 162 qui suit (note 26).
voetnoot2)
P. 28 qui suit.
voetnoot3)
Voyez ce que nous disons à la p. 33 qui suit sur quelques endroits de sa correspondance avec Mersenne et Constantijn Huygens père, où il traite e.a. brièvement de Simon Stevin, inventeur ou réinventeur (par hasard, peut-on dire; voyez la suite du texte; consultez aussi la p. 27 et la note 9 de la p. 32 qui suit) de ce qu'on appelle aujourd' hui la gamme tempérée.
voetnoot4)
Comparez la l. 10 de la p. 31 du T. XVIII.
voetnoot5)
Voyez la note 5 de la p. 355 du T. XIX.
voetnoot6)
Voyez le premier alinéa de la p. 116, ainsi que les l. 14-16 de la p. 154, la l. 4 d'en bas de la p. 155 et la l. 12 de la p. 168 qui suit: Trouvè par experience, puis la raison. En ce dernier endroit il s'agit de l'invention d'un certain tempérament que, dit Huygens, Zarlino et Salinas se disputent. Consultez sur cette ‘dispute’ le deuxième alinéa de la p. 115. Voyez aussi sur l'‘experience’ et ‘la raison’ le dernier alinéa de la p. 170.
voetnoot7)
T. XIX, p. 265, l. 9.
voetnoot8)
Comparez la note 2 de la p. 365 du T. XIX (expérience de Galilée sur les ratissements dont l'invention fut ‘del caso’).
voetnoot9)
‘& ... regardant par hazard ces iours passez en la Statique de Steuin...’ (lettre de Descartes à Mersenne du 13 juillet 1638; ‘Oeuvres’, éd. Adam et Tannery, II, p. 247).
voetnoot10)
T. XIX, p. 265, l. 18-20.
voetnoot11)
Il s'agit en cet endroit d'expositions de modèles de machines, non pas de cloches (voyez la note 2 de la page précédente et la note 1 de la p. 26 qui suit), d'archicymbales (p. 113 et 157 qui suivent), de claviers à touches fendues (p. 154 note 2 et 160 note 21) ou d'autres instruments de musique.
voetnoot12)
T. I, p. 541 et 543 (lettres de l'instituteur Bruno). Voyez aussi la note 5 de la p. 356 du T. XIX.
voetnoot13)
T. I, p. 361, 372 etc.
voetnoot14)
Comparez le passage de la lettre à Moray du 1 août 1661, qui constitue notre Pièce II à la p. 12 qui précède.
voetnoot15)
Portef. ‘Musica’, f. 20; § 9 de la p. 133 qui suit.
voetnoot16)
Pièce VI F à la p. 164 qui suit, où nous renvoyons le lecteur au T. X.
voetnoot17)
T. X, p. 225, 229, 230, 285, 298. Toutes ces pages datent de 1692.

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