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Volledige werken. Deel 12. Brieven en dokumenten uit de jaren 1867-1868 (1979)

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Titelpagina van Volledige werken. Deel 12. Brieven en dokumenten uit de jaren 1867-1868
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Editeur

Garmt Stuiveling



Genre

proza
non-fictie

Subgenre

non-fictie/brieven
verzameld werk


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© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Volledige werken. Deel 12. Brieven en dokumenten uit de jaren 1867-1868

(1979)– Multatuli–rechtenstatus Auteursrechtelijk beschermd

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[pagina 518]
[p. 518]

[23 november 1867
Feuilleton van H. de Pène]

23 november 1867

Feuilleton ‘Courrier de Paris’ van H. de Pène, gedateerd: Paris 22 novembre, in L'indépendance belge. Fragment. In de gedeelten hiervoor en hierna handelt het feuilleton uitsluitend over parijse wederwaardigheden. (K.B. 's-Gravenhage; fotokopie M.M.)

 

Veut-on me permettre d'ouvrir une parenthèse, pour un fait personnel?

Un jour, celui qui improvise ces lignes reçut une longue lettre timbrée d'Amsterdam, escortant deux volumes publiés à Amsterdam aussi, sous ce titre, que je copie sans le comprendre: max havelaar of de Koffij-Veilingen der Nederlandsche Handel-Maatschappij, door multatuli.

C'était en 1860.

Dans la lettre, heureusement pour notre ignorance écrite en français et que je retrouverais en opérant des fouilles dans mes papiers lointains, l'auteur de Max Havelaar voulait bien nous rendre toutes sortes d'actions de grâce, et nous appeler son bienfaiteur, sa providence, son sauveur. D'un désespéré auquel déjà la pensée du suicide apparaissait comme le seul port auquel il put aborder, il paraît que nous avions eu la chance de faire un homme heureux, un homme riche, un homme aimé, un mari, un père, un auteur applaudi, et tout cela - avec force détails romanesques que j'ai oubliés en partie et que je ne raconterais pas, fussent ils parfaitement présents à ma mémoire - grâce à une colonne de feuilleton, très-oubliée de nous comme de tous. Nous la retrouvons en tête de Max Havelaar, et je demande la permission de la reproduire.

On n'en écrit pas tous les jours d'aussi efficaces, d'aussi bienfaisantes; c'est une colonne digne, d'après ce qui précède, d'être signée par un terre-neuve.

‘J'ai souvent entendu plaindre les femmes de poète, - disais-je dans ce fragment auprès duquel la panacée est de la Saint-Jean, - et, sans doute, pour tenir dignement dans la vie ce difficile emploi, aucune qualité n'est de trop. Le plus rare ensemble de mérites n'est que le strict nécessaire et ne suffit même pas toujours au commun bonheur. Voir sans cesse la muse en tiers dans vos plus familiers entretiens; recueillir dans ses bras et soigner ce poëte qui est votre mari, quand il vous revient meurtri par les déceptions de sa tâche; - ou bien le voir

[pagina 519]
[p. 519]

s'envoler à la poursuite de sa chimère... voilà l'ordinaire de l'existence pour une femme de poëte. Oui, mais aussi il y a le chapitre des compensations, l'heure des lauriers qu'il a gagnés à la sueur de son génie et qu'il dépose pieusement aux pieds de la femme légitimement aimée, aux genoux de l'Antigone qui sert de guide, en ce monde, à cet ‘aveugle errant.’

‘Car, ne vous y trompez pas: presque tous les petits-fils d'Homère sont plus ou moins aveugles à leur façon; ils croient ce que nous ne voyons pas; leurs regards pénètrent plus haut et plus au fond que les nôtres; mais ils ne savent pas voir droit devant eux leur petit bonhomme de chemin, et ils seraient capables de trébucher et de se casser le nez sur le moindre caillou, s'il leur fallait cheminer sans soutien dans ces vallées de prose, où demeure la vie.’

Je suis loin de donner cette tirade pour de l'or pur; c'était adressé à un journal belge - autre que l'Indépendance - dans une moisson hebdomadaire de racontages parisiens. Je voudrais écrire beaucoup de lignes pareilles, puisqu'elles firent deux heureux.


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Over dit hoofdstuk/artikel

titels

  • over Max Havelaar of de koffiveilingen der Nederlandsche Handelmaatschappy


datums

  • 23 november 1867