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De Revue du Nord werd honderd
Ludo Vandamme
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In 2010 vierde de Revue du Nord zijn honderdjarig bestaan. Een jubileum nodigt uit tot reflectie, tot terug zien, uiteraard ook eventjes tot het aftasten van de toekomst. De Revue du Nord deed dit zoals het een tijdschrift past, door een themanummer uit te geven, Un siècle de Revue du Nord: essai de synthèse historiographique. Philippe Guignet, de huidige directeur, nodigde twaalf andere auteurs uit om samen de honderdjarige te portretteren.
Tegenwoordig omvat een jaargang van de Revue vier afleveringen geschiedenis en een afzonderlijke aflevering archeologie, samen meer dan duizend pagina's. Deze jaargangen worden om de haverklap aangevuld met afzonderlijke afleveringen geschiedenis en archeologie; de recentste, een bundel over processies en volksdevotie vanaf het jaar 1000 (2011, Collection histoire, no25), is net uit. De ondertitel is meteen ook de omschrijving van het werkgebied: Nord de la France. Belgique. Pays Bas. De Revue functioneert daarmee als een platform waarop historici en archeologen van wat ooit ‘de Nederlanden’ waren, elkaar treffen. Dit maakt de Revue du Nord paradoxaal tot het meest gezaghebbende regionaal-historisch tijdschrift in Vlaanderen. Want het moet gezegd, de Revue geniet in de historische wereld een ijzersterke reputatie. Deze faam hangt uiteraard samen met de wetenschappelijke uitgever. De Revue is steeds het uithangbord geweest van het geschiedenisdepartement van de Universiteit Rijsel, vandaag uitgebreid
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La Revue du Nord fête ses cent ans
Ludo Vandamme
La Revue du Nord célébra ses cent ans en 2010. Tout jubilé invite à la réflexion, à un retour en arrière et, bien sûr, à une analyse de l'avenir, ce que fit la Revue du Nord, comme il sied à une revue, en publiant un numéro à thème, Un siècle de Revue du Nord: essai de synthèse historiographique. Son directeur actuel, Philippe Guignet, réunit autour de lui douze autres auteurs pour brosser le portrait de la centenaire.
À l'heure actuelle, une année de la Revue comprend quatre livraisons sur l'histoire et une livraison séparée sur l'archéologie, en tout plus de mille pages. Elles sont complétées régulièrement de publications hors série sur l'histoire et l'archéologie. La plus récente en date vient de sortir et aborde le thème des processions et de la dévotion populaire depuis l'an 1000 (2011, Collection histoire, no25). Le sous-titre décrit d'emblée le terrain de travail: Nord de la France. Belgique. Pays-Bas. La Revue fonctionne, dès lors, comme une plate-forme où se retrouvent les historiens et archéologues de ce qui était autrefois ‘les Pays-Bas’. Paradoxalement, c'est ce qui fait de la Revue du Nord le magazine historico-régional le plus autorisé en Flandre. Car il faut le reconnaître, la Revue jouit d'une réputation en béton dans les milieux historiques. Cette réputation est, évidemment, étroitement liée à son éditeur scientifique, la Revue ayant toujours été l'enseigne du département d'histoire de l'université de Lille, qui s'étend aujourd'hui au vaste
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tot het brede netwerk van Noord-Franse universiteiten, van de ‘Littoral’ tot ‘Valenciennes-Hainaut-Cambrésis’.
Honderd jaar geleden was de tijd rijp voor het opstarten van een groot academisch tijdschrift voor regionale geschiedenis. Nationale tijdschriften zoals het Franse Revue historique (o 1876) of in de Lage Landen het Tijdschrift voor Geschiedenis (o 1886) hadden zich in de negentiende eeuw een vaste plaats veroverd. Historische genootschappen zoals in Noord-Frankrijk de Commission Historique du Nord (o 1839) en het Comite flamand de France (o 1853) eigenden zich toen de regionale geschiedenis toe. Op het einde van de negentiende eeuw leidde de groeiende belangstelling voor regionale geschiedenis en de verdere uitbouw van het professionele historische bedrijf tot academische tijdschriften op dit terrein, zoals de Annales de Bretagne (Rennes, 1886) en de Annales de Midi (Toulouse, 1889). In 1909 was het Franse Noorden aan de beurt.
Terugzien op honderd jaar Revue du Nord is ook terugzien op de geschiedenis van de letterenfaculteit aan de Universiteit Rijsel. Op het einde van de negentiende eeuw hadden de opleiding geschiedenis en het historisch onderzoek er zich stevig gepositioneerd. In 1892 werd daar een leerstoel voor regionale geschiedenis aan toegevoegd (1892: Jules Flammermont; 1901: Alexandre de Saint-Léger). Alexandre de Saint-Léger (1866-1944), afkomstig van Duinkerke en auteur van een stevig proefschrift over de eigen regio (La Flandre maritime et Dunkerque sous la domination Française (1659-1789), 1900), nam het initiatief. ‘Que de peine et de temps perdus!’, was zijn verzuchting bij het overzien van de versnippering van
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[Frans]
réseau des universités du nord de la France, du ‘Littoral’ à ‘Valenciennes-Hainaut-Cambrésis’.
Voici cent ans, les temps étaient mûrs pour le lancement d'une grande revue académique axée sur l'histoire régionale. Au dix-neuvième siècle, les revues nationales telles que la Revue historique (o 1876) en France ou la Tijdschrift voor Geschiedenis (o 1886) dans les Plats Pays s'étaient acquis une solide place. Des sociétés historiques comme la Commission historique du Nord (o 1839) et le Comité flamand de France (o 1853) s'approprièrent alors l'histoire régionale. Vers la fin du dixneuvième siècle, l'intérêt croissant pour l'histoire régionale et le développement des activités historiques professionnelles menèrent à la création de revues académiques en la matière, telles les Annales de Bretagne (Rennes, 1886) et les Annales de Midi (Toulouse, 1889). Le tour du nord de la France arriva en 1909.
Se pencher sur les cent années d'existence de la Revue du Nord équivaut à revivre l'histoire de la faculté des lettres de l'université de Lille. Vers la fin du dix-neuvième siècle, la section histoire et la recherche historique y occupaient une position solide. En 1892 vint s'y ajouter une chaire d'histoire régionale (1892: Jules Flammermont; 1901: Alexandre de Saint-Léger). C'est Alexandre de Saint-Léger (1866-1944), originaire de Dunkerque et auteur d'une thèse étoffée sur sa propre région (La Flandre maritime et Dunkerque sous la domination française (1659-1789), 1900), qui prit l'initiative. ‘Que de peine et de temps perdus!’, soupirait-il en contemplant le morcellement de l'activité historique dans le nord de la France. La nouvelle initiative démarra en collaboration avec l'université de Nancy, éditeur des Annales de l'Est, et fut baptisée en 1909 Revue de l'Est et du Nord. Ce fut
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het historische bedrijf in Noord-Frankrijk. Het nieuwe initiatief ging van start in samenwerking met de universiteit van Nancy, uitgever van de Annales de l'Est, en werd in 1909 als Revue de l'Est et du Nord boven de doopvont gehouden. Het bleek op alle vlakken een valse start. Over de financiering, de redactionele inbreng, de visie op een regionaal-historisch tijdschrift, kortom over alles waren Nancy en Rijsel het oneens. De samenwerking werd beëindigd en De Saint-Léger, omringd door enkele uitstekende collega's zoals archivaris Max Bruchet en de Belgische historicus Henri Pirenne, begon in 1910 met een eigen tijdschrift. De Revue du Nord was geboren.
Het tijdschrift had van meet af aan de wind in de zeilen en kende tijdens het interbellum een eerste bloeiperiode. Het was de tijd waarin de middeleeuwse geschiedenis alle aandacht opeiste. Henri Pirenne was al in de eerste jaargang aanwezig, later volgden nog meer historici van de Gentse school zoals François-Louis Ganshof en Hans Van Werveke. Ook na de Tweede Wereldoorlog bleven de middeleeuwen aanwezig met onder meer de Gentse hoogleraar Jan Dhondt (1915-1972), met een van de meest zoniet het meest geciteerde artikel uit de Revue (‘Développement urbain et initiative comtale en Flandre au XIe siècle’, 1948). Alain Derville, overleden in 2002, is met 21 artikelen evenwel de meest productieve mediëvist. In het algemeen heeft de historische belangstelling zich de voorbije halve eeuw vooral naar de hedendaagse periode gekeerd. Dit is in de Revue niet anders, al blijven de middeleeuwen er verder prominent aanwezig. Wel heeft het oorspronkelijke overwicht van de instellingengeschiedenis plaats gemaakt voor sociaal-economische geschiedschrijving. Deze omschakeling vol-
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un faux départ sur tous les plans. Nancy et Lille ne partageaient pas les mêmes points de vue, ni sur le financement ni sur l'apport rédactionnel ni sur la vision de ce que devait être une revue historico-régionale. La collaboration fut arrêtée et De Saint-Léger, entouré de quelques excellents collègues tels que l'archiviste Max Bruchet et l'historien belge Henri Pirenne, lança sa propre publication. La Revue du Nord était née.
Dès ses débuts, la revue eut le vent en poupe, connaissant une période florissante durant l'entre-deux-guerres. C'était à l'époque où l'histoire du Moyen Âge retenait toute l'attention. Henri Pirenne y participa dès les premières années. D'autres historiens de l'école gantoise s'y rajoutèrent par la suite, comme François-Louis Ganshof et Hans Van Werveke. Après la Seconde Guerre mondiale, le Moyen Âge continua à être présent notamment grâce aux contributions du professeur gantois Jan Dhondt (1915-1972), à qui nous devons l'article le plus cité de la Revue (‘Développement urbain et initiative comtale en Flandre au XIe siècle’, 1948). Avec ses 21 articles, Alain Derville, décédé en 2002, s'avéra le médiéviste le plus productif. Au cours de ce dernier demi-siècle, par contre, l'intérêt s'est totalement tourné vers la période contemporaine. La Revue n'échappe pas à la règle même si le Moyen Âge continue à y occuper une place importante. Néanmoins, la prépondérance qui allait à l'origine à l'histoire des institutions a dorénavant cédé le pas à l'histoire socio-économique. Cette réorientation se produisit durant la période 1960-1990. Pendant la période 1980-2010, la Revue du Nord devint, en outre, une revue archéologique de grande valeur. La publication
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trok zich in de periode 1960-1990. In de periode 1980-2010 werd de Revue du Nord bovendien een volwaardig archeologisch tijdschrift. De aflevering archeologie die vanaf 1956 het licht zag, werd in 1996 zelfstandig, varend onder de titel Revue du Nord: archéologie de la Picardie et du Nord de la France.
Het wel en wee van een tijdschrift wordt in hoge mate bepaald door wie het roer in handen houdt. Na Alexandre de Saint-Léger werd de Revue, na de crisis tijdens de Tweede Wereldoorlog, gedurende korte perioden geleid door Edouard Perroy (1945-1950) en Michel Mollat (1950-1958), telkens in samenwerking met Louis Jacob, een historicus van de Franse Revolutie. Perroy en Mollat waren korte tijd hoogleraar middeleeuwse geschiedenis in Rijsel, tot hun uitstekende reputatie hen naar Parijs bracht. Vooral Mollat lokte nieuwe onderzoekers naar zijn tijdschrift, uit Engeland (E.M. Carus-Wilson), Vlaanderen (de reeds genoemde Jan Dhondt en Hans Van Werveke) en Nederland (A.C.F. Koch). In 1953 vond Jan Dhondt, intussen pionier van de nieuwste geschiedenis in België, met zijn jaarlijkse Bulletin critique d'histoire de Belgique onderdak in de Revue du Nord. Ook jonge Franse historici als Jacque Le Goff en Jean Favier vonden in die tijd hun weg naar het tijdschrift; ze groeiden later uit tot internationale coryfeeën van de Franse historiografie.
In de naoorlogse periode was Louis Trenard de directeur die het langst aan het roer stond, van 1959 tot 1994. Trenard, bij het grote publiek bekend met zijn Histoire des Pays-Bas français (1974), bracht het tijdschrift op een hoger plan. De oplage steeg (van 700 naar 2.000, zelfs naar 3.500 voor bijzondere afleveringen) en de wat stoffige Revue kreeg een nieuw gezicht, vanaf 1980 telkens met een
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sur l'archéologie, qui vit le jour en 1956, prit son indépendance en 1996 sous le nom de Revue du Nord: archéologie de la Picardie et du nord de la France.
Le destin d'une revue dépend en grande partie de celui qui en tient les rênes. Après Alexandre de Saint-Léger et la Seconde Guerre mondiale, la Revue fut brièvement dirigée par Édouard Perroy (1945-1950) et Michel Mollat (1950-1958), chaque fois en collaboration avec Louis Jacob, historien de la Révolution française. Perroy et Mollat furent professeurs d'histoire médiévale à Lille, et ce pendant une période très courte jusqu'à ce que leur excellente réputation les entraîne à Paris. Mollat, tout particulièrement, attira de nouveaux chercheurs pour travailler à sa revue, chercheurs venant d'Angleterre (E.M. Carus-Wilson), de Flandre (Jan Dhondt que nous avons déjà cité et Hans Van Werveke) et des Pays-Bas (A.C.F. Koch). En 1953, Jan Dhondt, qui était devenu le pionnier de la nouvelle histoire en Belgique, se réfugia auprès de la Revue du Nord avec sa publication annuelle, Bulletin critique d'histoire de Belgique. De même, de jeunes historiens français tels que Jacques Le Goff et Jean Favier furent amenés à collaborer à la revue; ils deviendraient, par la suite, des coryphées de l'historiographie française.
Après la guerre, Louis Trenard fut celui qui occupa le plus longtemps le poste de directeur, de 1959 à 1994. Connu du grand public pour son Histoire des Pays-Bas français (1974), Trenard rehaussa le niveau de la revue. Le tirage passa de 700 à 2.000 exemplaires, voire 3.500 pour certaines publications spéciales. La Revue quelque peu poussiéreuse prit un nouveau visage, dont une illustration en couleur en couverture à partir de 1980. Le succès de la revue reflétait, par ailleurs, la croissance de la faculté des lettres de Lille, qui passa de 1.714 étudiants en 1955,
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kleurenillustratie op de cover. Het succes van het tijdschrift was overigens een afspiegeling van de groei van de letterenfaculteit in Rijsel, met 1.714 studenten in 1955, 5.233 in 1965, en bijna 10.000 bij de oprichting van Lille 3 in 1969-1970. Na Trenard kwamen Yves-Marie Hilaire (1983-1996) en Bernard Delmaire (1996-2002) aan het hoofd. Vandaag wordt de Revue du Nord geleid door Philippe Guignet.
Uiteraard nodigt een jubileumjaar ook uit om het tijdschrift volledig te ontsluiten. Bernard Delmaire ging deze uitdaging aan en biedt nu een volledige bibliografie (1910-2009) van de Revue du Nord aan. In deze afzonderlijk uitgegeven Tables du centenaire de la Revue du Nord (1910-2009) worden, op de boekbesprekingen na, alle bijdragen geïndexeerd en door drie registers toegankelijk gemaakt. Bovendien reikt Delmaire in zes bijlagen aanvullende informatie aan, onder meer een lijst van alle historische bronnen die in de Revue werden geëditeerd, een echt huzarenstukje. Dit grote werk laat toe om de vijf gedeeltelijke ‘tables’ die eerder waren verschenen, opzij te schuiven.
De honderdjarige Revue du Nord beschikt vandaag over een stevig draagvlak om als hét historisch tijdschrift over ‘l'Europe du Nord-Ouest’ de toekomst met vertrouwen tegemoet te zien. Troeven zijn het trouwe en internationale lezerspubliek (met onder meer eenennegentig abonnees in België en Nederland, en eenenzestig abonnees in Noord-Amerika), de inbedding in het Noord-Franse universitaire netwerk en een verankering in de regionale en lokale historische verenigingen. De toekomst, dat is voor de Revue du Nord nog steeds een ‘traditioneel’ historisch tijdschrift op papier, weliswaar ondersteund door een website, in een vorm en met een inhoud waaraan honderd jaar lang werd geboetseerd.
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à 5.233 en 1965 et à près de 10.000 à l'inauguration de Lille 3 en 1969-1970. À Trenard succédèrent Yves-Marie Hilaire (1983-1996) et Bernard Delmaire (1996-2002). De nos jours, la Revue du Nord est dirigée par Philippe Guignet.
Un jubilé ne peut qu'inviter à dévoiler totalement la revue. Bernard Delmaire a relevé ce défi en nous offrant une bibliographie complète (1910-2009) de la Revue du Nord. Publiées séparément, ces Tables du centenaire de la Revue du Nord (1910-2009) reprennent toutes les contributions, à l'exception des comptes-rendus, et les classent en trois registres. Bernard Delmaire propose encore des informations complémentaires dans six annexes, notamment une liste de toutes les sources historiques éditées dans la Revue, un véritable exploit. Ce gros travail permet de mettre de côté les cinq ‘tables’ partielles publiées par le passé.
À cent ans, la Revue du Nord possède une assise suffisamment solide pour envisager avec confiance son avenir de revue historique de ‘l'Europe du Nord-Ouest’. Parmi ses atouts, relevons son public de lecteurs fidèles et internationaux (avec, notamment, quatre-vingt-onze abonnés en Belgique et aux Pays-Bas, et soixante et un abonnés en Amérique du Nord), son ancrage dans le réseau universitaire du nord de la France et dans les associations historiques régionales et locales. L'avenir de la Revue du Nord se décline encore toujours sous la forme d'une revue historique ‘traditionnelle’ sur papier, avec un soutien digital, sous une forme et avec un contenu polis par cent années d'existence.
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Philippe Guignet (textes réunis par), ‘Un siècle de Revue du Nord: essai de synthèse historiographique’, in: Revue du Nord, 92 (2010) nr. 386, p. 495-672.
Met bijdragen van Jean-François Eck, Jean-Pierre Gerzaguet, Philippe Guignet, Jean-Marc Guislin, Yves-Marie Hilaire, Stéphane Lebecq, Marie-Laure Legay, Pierre Leman, Germaine Leman-Delerive, Hervé Leuwers en Philippe Marchand. Met Engelse, Franse en Nederlandse samenvattingen.
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Philippe Guignet (textes réunis par), ‘Un siècle de Revue du Nord: essai de synthèse historiographique’, in: Revue du Nord, 92 (2010) no 386, p. 495-672.
Avec la collaboration de Jean-François Eck, Jean-Pierre Gerzaguet, Philippe Guignet, Jean-Marc Guislin, Yves-Marie Hilaire, Stéphane Lebecq, Marie-Laure Legay, Pierre Leman, Germaine Leman-Delerive, Hervé Leuwers et Philippe Marchand.
Comprend des résumés en anglais, en français et en néerlandais.
(Traduit du néerlandais par Chantal Gerniers)
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