Skiplinks

  • Tekst
  • Verantwoording en downloads
  • Doorverwijzing en noten
Logo DBNL Ga naar de homepage
Logo DBNL

Hoofdmenu

  • Literatuur & taal
    • Auteurs
    • Beschikbare titels
    • Literatuur
    • Taalkunde
    • Collectie Limburg
    • Collectie Friesland
    • Collectie Suriname
    • Collectie Zuid-Afrika
  • Selecties
    • Collectie jeugdliteratuur
    • Basisbibliotheek
    • Tijdschriften/jaarboeken
    • Naslagwerken
    • Collectie e-books
    • Collectie publiek domein
    • Calendarium
    • Atlas
  • Periode
    • Middeleeuwen
    • Periode 1550-1700
    • Achttiende eeuw
    • Negentiende eeuw
    • Twintigste eeuw
    • Eenentwintigste eeuw
Vlaanderen. Kunsttijdschrift. Jaargang 20 (1971)

Informatie terzijde

Titelpagina van Vlaanderen. Kunsttijdschrift. Jaargang 20
Afbeelding van Vlaanderen. Kunsttijdschrift. Jaargang 20Toon afbeelding van titelpagina van Vlaanderen. Kunsttijdschrift. Jaargang 20

  • Verantwoording
  • Inhoudsopgave

Downloads

PDF van tekst (21.17 MB)

Scans (285.75 MB)

XML (2.30 MB)

tekstbestand






Genre

non-fictie
sec - letterkunde

Subgenre

tijdschrift / jaarboek
non-fictie/kunstgeschiedenis
non-fictie/muziek-ballet-toneel-film-tv


In samenwerking met:

(opent in nieuw venster)

© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Vlaanderen. Kunsttijdschrift. Jaargang 20

(1971)– [tijdschrift] Vlaanderen. Kunsttijdschrift–rechtenstatus Auteursrechtelijk beschermd

Vorige Volgende

Beantwoorden de ‘moderne kerken’ aan wat men van een kerk verwacht?

Geef mij een kerkgebouw om er God te vinden...

Ik voel ze ‘unheimisch’ aan de hedendaagse moderne geometrische kerken! Niet uit heimwee naar de neogotiek met haar - zoals Hendrik de Man eens zei ‘de kleffe praalzucht, die vreselijke 19e eeuwse erfenis die maar niet wijken wil...’ - maar omwille van haar eenzijdigheid die aan de grondslag ligt van haar ruimteschepping. Ik voel me immers in veel van die kerkelijke interieurs bijna steeds verplicht me het democratisch lid van het fictief godsvolk te voelen. En daartoe ga ik niet naar de kerk! Ik wil er heengaan om, zoals de dwaze pastoor van Ars het zei, de ervaring mee te maken van de enige godsbelevenis die uitgedrukt staat in zijn eenvoudig credo: ‘Je l'avise; Il m'avise.’ Ik ben geen liberaal individualist, maar nu kijk ik noodzakelijk, verkracht, op de elders al genoeg aanschouwde tronie van mijn medemens en van dit stukje T.V.-vedette die de man daar bij de offertafel nu tegen wil en dank spelen moet. IK KOM NAAR DE KERK NIET OM MENSEN TE ZIEN MAAR OM MET GOD TE SPREKEN!

En ook nog dit: de moderne kerk is té veel het werk van één man: de architect. Waar blijft de inbreng van de beeldhouwer, de schilder, de glazenier en de talloze anderen die hun creativiteit niet meer op het religieuze toespitsen kunnen? Is dit niet een verarming? Ik voel me in ieder geval, dáár, verarmd! Naakt! Schouwspelvee! En ik hoor geen echte goede godsdienstige muziek meer! En ik heb de indruk in een kabaretzaal te zijn beland. Hoe moet ik daar met God spreken? Of met zijn heiligen? Ik weet het niet. Ik ben ge-expatrieerd op religieus gebied. Ik ben ontredderd. Artisten, pastoors, bisschoppen en officiële commissies van Vlaanderen wees mij godzoekend mens indachtig. Amen.

(J. Geldhof)

Het nulpunt van de kerkbouw: malaise bij de architecten

In kringen die met kerkbouw bezig zijn heerst sinds jaren een ontgoocheling over de bereikte resultaten, meer zelfs, een soort afkeer tegen alles wat met kerkbouw te maken heeft, een afkeer die vaak vertaald wordt in een: stop ermee, laten we ons met ernstiger zaken bezighouden. Het is dezelfde afkeer die voor het ogenblik vele architecten ten aanzien van de architectuur vervult. De reden ervan is niet ver te zoeken: van de ene kant is men bezeten door het vak, men kan er niet van los, van de andere kant beseft men maar al te goed hoezeer men vastgekneld zit in een politiek-economische situatie waarop men geen vat heeft en, wat zwaarder weegt, hoe weinig men, afgezien van die extrinsieke belemmeringen, nog in staat is de specifieke rol van de architectuur in de hedendaagse sociale revolutie te onderkennen en in algemeen-begrijpelijke termen voor te stellen. Er is geen geldig principe van waaruit de complexiteit van het gegeven kan worden gestructureerd.

(Geert Bekaert)

[pagina 276]
[p. 276]

Reactie tegen de functionele en geometrische kerkbouw

La construction des églises modernes a connu en France son meilleur temps dans les années 55-65. Il avait fallu longuement batailler, simplement pour faire admettre l'église nouvelle. L'architecture religieuse, comme l'art d'église (on peut dire comme bien des institutions et habitudes religieuses), se situe volontiers dans la mouvance du passé. Ce n'est guère que dans les alentours de la guerre 39-45 que commença à s'affirmer un nouveau style d'église. La Suisse, l'Allemagne, avaient donné l'exemple. Les impératifs de la reconstruction nous l'imposèrent. C'est alors qu'on vit un peu partout, à travers les villes et les campagnes, apparaître ces édifices rectangulaires, aux lignes généralement pures, aux volumes simples, mais souvent harmonieux, clairs au-dedans comme au-dehors, couverts de toits plats, flanqués de hauts clochers en forme de cheminées, sommés d'une petite croix. Les gens, habitués aux constructions romanes ou gothiques disaient: ‘Ce ne sont pas des églises’.

C'en était bien quand même. Dans la ville ou le quartier reconstitué, elles demeuraient la haute maison dont, plus familière qu'autrefois, continuait toutefois de s'affirmer l'autorité. Le haut signal qui les désignait de loin à l'attention, et, quand on y pénétrait, l'accueil fraternel des bancs, la netteté et même la nudité des murs, la primauté donnée aux autels vers lesquels convergeaient les regards, tout se disposait pour la célébration de l'office et la participation, qu'on voulait plus étroite, de l'assistance. A côté des nefs encombrées et sombres du XIXe siècle - et le XIXe siècle par ses statues, ses lustres, ses lourds mobiliers, avait envahi et ramené à lui beaucoup d'édifices d'époque médiévale - ces nouvelles églises semblaient présager un affranchissement de certains apports paralysants et une meilleure adaptation à notre temps.

L'art contemporain commençait à s'y trouver à l'aise. Elles intéressaient les architectes. Les peintres, et jusqu'aux plus grands, étaient tentés de travailler pour elles. Bien des églises construites entre 1955 et 1965, témoignent de recherches architecturales et se révèlent prêtes à recueillir les peintures et sculptures des artistes contemporains.

A dire vrai, celles-ci furent peu nombreuses. Non pas qu'on n'aurait pu se les procurer, il n'y avait qu'à les demander. Mais justement on les demanda peu et déjà se manifestait dans cette négligence, dans cette indifférence au meilleur l'écart qui se creusait entre la vie profonde de notre temps et des disciplines religieuses, plus nourries en somme d'habitudes que de fidélités.

Il y eut aussi les chapelles des années 50, celles d'Assy, de Vence, d'Audincourt, que les apports des grands peintres ont rendu célèbres. Il est bien certain que cet accord renouvelé du passé, et même s'il fut en partie factice, des artistes les plus fameux d'alors avec la vieille liturgie chrétienne, était un événement qui pouvait comporter des promesses d'avenir. D'illustres architectes qui ne sortaient pas, eux non plus, des milieux chrétiens, se reconnaissaient séduits par les programmes de l'église. Vingt-cinq ans après Auguste Perret, on vit Le Corbusier donner le meilleur de lui-même à l'un d'eux. La chapelle de Ronchamp a fortement compté à la fois dans l'oeuvre de son auteur et dans l'histoire de l'architecture religieuse moderne. Elle marquait à la fois le retour à des formes expressives d'un architecte connu pour la rigueur de son fonctionnalisme et, dans l'église même, la primauté rendue au sentiment religieux et au mystère sur le même fonctionnalisme.

Ronchamp connut beaucoup d'imitateurs. Dans les années qui suivirent sa construction, de nombreux architectes, et peut-être plus encore à l'étranger qu'en France, virent dans les programmes d'églises une occasion d'échapper un moment aux contraintes strictement fonctionnelles qui leur sont habituellement imposées et de s'abandonner, avec une certaine liberté, à des recherches d'expression architecturale.

Parmi les églises françaises bâties après Ronchamp et qui témoignent de cette préoccupation, nous mentionnerons celles de Maizières-lès-Metz et de Rézé-lès-Nantes (architecte Rouquet), celles de Bouts (architecte Pingusson), et de Freyming (architecte Sommer-Matter), la chapelle du Carmel de Valenciennes (par Guillain et Székély), Sainte-Bernadette de Nevers (par Parent et Virilio), sans omettre le couvent de l'Arbresle, près de Lyon, autre oeuvre de Le Corbusier qui répondait à un programme tout différent et quand même plus fonctionnel que celui de la chapelle de Ronchamp.

(Joseph Pichard)

Er is geen echt renouveau van de kerkbouw gebeurd

Si les premières recherches ont pu prendre, comme point de départ, la volonté, le désir, le désir simple de rendre beau ce qui était chrétien, d'introduire la beauté - rigoureuse - là où l'événement spirituel avait besoin de laisser une trace, une empreinte, un souvenir, de faire en sorte que l'acte, la réalité chrétienne reçoive une forme digne de son temps, comme nous disions, égale aux plus grandes oeuvres, nous sommes conduits aujourd'hui à renoncer purement et simplement à ce vocabulaire: l'art nous en a dépouillés. C'est-à-dire à renoncer - radicalement - à trouver ou à susciter un art chrétien et, plus largement, tout ce qui pourrait être dit art sacré. Car nous sommes amenés à nous rendre compte que, suivre une telle voie, reviendrait à continuer de nous voir comme appartenant à une chrétienté de type médiéval, comme nous en sommes encore tentés, même après le Concile, même si nous proclamons le contraire. Nous avons un trop beau passé. Et cette tentation nous imprègne.

L'art chrétien, la possibilité qu'existe un art de ‘chrétienté’, c'est un temps, une civilisation de la foi. Ne vivant plus ce temps, cette civilisation de la foi, comment pourrions-nous - que l'on pardonne ce jeu de mots - en avoir l'art? Pendant plus d'un siècle,

[pagina 277]
[p. 277]

depuis Viollet-le-Duc et la restauration du grégorien par Solesmes, nous avons vécu ce rêve médiéval: ce que l'on appelle l'art religieux nous l'indique. Pastiche d'abord, gothique puis roman, entreprise de modernisation - aujourd'hui intempestive - ensuite: le ‘renouveau de l'art sacré’ après la guerre n'a finalement été, hors quelques exceptions qui lui ont en quelque sorte échappé, que l'effort d'apporter une solution contemporaine à un rêve d'un autre âge. Sa médiocrité à peu près générale et a fortiori les outrances actuelles, dans l'architecture comme dans l'image, en témoignent. Il ne s'agit de condamner, ni même de critiquer personne. Car il semble bien que personne, à l'époque, ne pouvait percevoir ce qui nous apparaît aujourd'hui. L'appel du père Couturier aux génies garde son importance historique, mais il ne pouvait résoudre un problème dont les données échappaient. Et l'église du Plateau-d'Assy reste un symbole de cet échec, même si tel ou tel chef-d'oeuvre s'y trouve intégré. II ne s'agit plus aujourd'hui de moderniser le rêve. Il faut y renoncer. Et c'est là précisément ce qui n'est pas simple.

(Jacques Blanc)

Kerken, die de mens niet helpen te bidden

La prière que l'on fait à l'église dans le silence ou, en commun, à haute voix, cette ‘respiration de l'âme’, au dire de saint Thomas, doit trouver un appui, une sorte de tremplin efficace dans les documents que le temple matériel met sous nos yeux. Un art religieux qui répond correctement à son office doit être un adjuvant assez humble pour ne pas imposer au rythme de notre adoration des formes trop délimitées, assez discret pour ne pas nous exaspérer, mais doué d'une attirance suffisante pour nous donner envie d'emprunter les chemins vers Dieu qu'il offre à notre imagination.

C'est un art religieux sensé, ni plus ni moins, que je recommande ici, mais il ne faut pas qu'il perde de vue la fin à laquelle il tend. Si l'art religieux ne tend pas à l'élévation de l'âme, il n'est qu'un bouche-trou esthétique assez négligeable et le chrétien n'a aucune raison de prendre à coeur sa défense.

Aujourd'hui, les artistes qui travaillent pour les églises ont-ils bien conscience de ce rôle d'adjuvant spirituel? Le fait que l'on n'estime plus si nécessaire que l'artiste ait la foi, ou croie l'avoir, car l'oeil de Dieu est seul à pénétrer dans ce mystère des âmes, complique étrangement la situation. Pourvu que l'artiste fasse bien son ‘boulot’, semble-ton dire, il est habilité à nous figurer, ou non-figurer, ou défigurer ce que l'on traite assez lamentablement, de nos jours, comme un folklore divin. Le relâchement de la fidélité à la doctrine chrétienne et à ses splendeurs, qui provient de la fascination qu'exercent sur l'esprit les insidieuses philosophies de l'histoire, ébauche vraisemblable de ces séductions pour les ‘élus eux-mêmes’ que prévoyait saint Paul, est à l'origine d'une telle minimisation des actes de la foi.

Dans les images dont on les recouvre, depuis un certain temps, on simule la naïveté, l'infantilisme, la gaucherie, l'ignorance, pour représenter les mirabilia Dei, quand on veut être figuratif ou, mieux encore, défiguratif. D'aucuns ne manqueront pas de se prévaloir de la parole du Christ qui nous exhorte à devenir comme les petits enfants. L'art que l'on risque de nous imposer à l'église... Comment peindre dans les églises du genre ‘garages d'automobiles’ autrement qu'en style d'affiches? - Publicité, propagande.

 

(Stanislas Fumet)


Vorige Volgende

Footer navigatie

Logo DBNL Logo DBNL

Over DBNL

  • Wat is DBNL?
  • Over ons
  • Selectie- en editieverantwoording

Voor gebruikers

  • Gebruiksvoorwaarden/Terms of Use
  • Informatie voor rechthebbenden
  • Disclaimer
  • Privacy
  • Toegankelijkheid

Contact

  • Contactformulier
  • Veelgestelde vragen
  • Vacatures
Logo DBNL

Partners

Ga naar kb.nl logo KB
Ga naar taalunie.org logo TaalUnie
Ga naar vlaamse-erfgoedbibliotheken.be logo Vlaamse Erfgoedbibliotheken

Over dit hoofdstuk/artikel

auteurs

  • J. Geldhof

  • Geert Bekaert

  • Jozef Pichard

  • Jaqcues Blanc

  • Stanislas Fumet