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Studiën en schetsen over vaderlandsche geschiedenis en letteren. Deel 1 (1863)

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Titelpagina van Studiën en schetsen over vaderlandsche geschiedenis en letteren. Deel 1
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Genre

non-fictie
sec - letterkunde

Subgenre

non-fictie/essays-opstellen
non-fictie/geschiedenis-archeologie


© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Studiën en schetsen over vaderlandsche geschiedenis en letteren. Deel 1

(1863)–R.C. Bakhuizen van den Brink–rechtenstatus Auteursrechtvrij

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[pagina 484]
[p. 484]

Bijlagen.

A.
Twee brieven van den hertog van Alva aan den koning, betrekkelijk de bewilliging van den tienden penning en de quoten.

I. De hertog van Alva aan den koning (29 Junij 1569.)

Sire. Pour continuer à donner compte à Vostre Majesté du succez de la demande, que j'avois fait aux Estats de pardeça, la pluspart s'y sont accomodez, mesmes les quattre membres de Flandres, qui (comme j'entens) se sont résoluz à l'accord simple et absolut, n'y mectant que une condition, que le mesme se face par les aultres Estatz, que ne me samble rejectable pour aultant que, oires qu'ilz ne la missent, il ne seroit raisonnable de le prendre sur les ungs et laisser les aultres libres. Ils adjoustent, à ce que j'entens, que cest accord se faict soubz la confiance qu'ilz ont à la bonté et clémence de Vostre Majesté et qu'elle aura regard aux difficultez qu'ilz ont trouvé, dont ilz présenteront une remonstrance particulière après ledict accord faict (craindant sur le tout la perte de la négociation et manufacture), et font de mesme tous aultres qui ont consenty, et selon que j'ay escript par mes précédentes à Vostre Majesté, j'espère, après avoir le tout entendu, modérer ou commuer les choses de sorte, que Vostre Majesté sera servye et la marchandise et manufacture demeurera en pied.

Les Estatz de Brabant aviont aussy accordé, et comme

[pagina 485]
[p. 485]

c'estoit à condition que en vertu de leur accord l'on ne deuist faire compréhension des villes, s'estant le dernier membre de ceste ville et les deux derniers de Louvain opiniastrés à n'y vouloir accorder, il a faillu assambler derechief les aultres pour les faire changer leur opinion: en quoy l'on est à ceste heure entendant, et puisqu'ilz sont jà venu si avant et ont l'exemple des quattre membres de Flandres, à qui il importe aultant et plus que à eulx, j'espère que de bien brief cela sera aussy vidé.

Il y reste encoires les Estatz d'Utrecht, qui estiont venu avecq un offre assez grand et plus que ne sont accoustumez au lieu de l'accord; mais comme la chose ne fut esté uniforme à ce que a esté négocié avecq les aultres m'a bien semblé de les renvoyer, espérant qu'ilz suyvront les aultres.

Ceulx d'Arthois où les villes aviont fait la plus grande difficulté se sont aussy tous accommodez, excepté la ville d'Arras, où j'entens que le Magistrat a fait tout le debvoir qu'il a peu, mais pour la multitude du peuple vivant du manufacture n'a esté sécondé: si est ce que j'ay eu advertissement qu'ilz estiont apxès pour se conformer aux aultres, de sorte que je tiens l'accord général comme asseuré.

Postdate. Depuis ceste escripte les prélatz et nobles de Brabant ont changé leur opinion, selon que j'avois demandé.

II. Dezelfde aan denzelfden (31 October 1569.)

Sire. Suyvant ce que j'ay dict à Vostre Majesté, que j'esperois que de l'accord fait par les Estatz de pardeça Vostre Majesté seroit servye et la marchandise et manufacture demeureroit en pied pour la modération que je ferois à la proposition, et à quoy elle m'encharge aussi d'avoir le regard par ses lettres du VIIme d'aòust, s'estant faict effectuer l'accord du Cme denier selon la forme que j'envoye à Vostre Majesté imprimée, j'ay changé la demande du Xme et XXme sur les marchandises pour six ans, pour faire en-

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[p. 486]

cabeciamento et suis à ceste heure traictant avecq eulx et advertiray Vostre Majesté du progrès et du chemin, que l'on y a tenu avecq toutes les circonstances et considérations, de sorte que j'espère Vostre Majesté se tiendra bien servye et congnoistra les bons vassaulx qu'elle a par deça.

Et comme par ce boult il m'estoit despourveu du deport tout nécessaire pour une subite invasion, au lieu de leur demander davantaige pour ce coup, j'ay fait aussy demande d'ung aultre Cme à payer au boult dudict terme de six ans, avecq condition qu'en cas d'invasion hostile avecq armée formée ilz bailleront leurs obligations pour l'anticiper, comme Vostre majesté pourra veoir plus particulièrement par la copie de ladicte propositon, laquelle je n'ay fait sans bien et plusieurs fois communicquer auparavant avecq les principaulx ministres de pardeça, comme ceulx qui par expérience peuvent avoir meilleure congnoissance du povoir desdicts Estatz, lesquelz s'y sout monstrez tout et oultre volontaires. Mais pour pluisieures raisons, qu'ilz m'ont déduit, n'ont trouvé aucunement conseillable à Vostre Majesté de demander davantaige, n'estants encoires aulcuns sans doubte si l'on y scaura parvenir, semble à tous, comme aussy fait il bien à moy, qu'il est mieulx d'obtenir bonne somme avecq quelque contentement des subjectz, que de les presser à l'impossible, et pour quelque chose davantaige perdre le coeur des subjectz. Et certes à mon jugement povant parvenir à l'effect de ladicte proposition, Vostre Majesté aura grande matière de contentement et d'aimer et tenir ces pays en la mesme affection et degré, qu'elle a tenu, avant que par l'ambition et abuz d'aucuns chiefz les choses sont tombées en discorde, lesquelles, graçes à Dieu, prendent de jour en jour changement en mieulx.

Ceste proposition ne s'adresse que aux Estatz estans accoustumez de contribuer et à qui s'est fait la demande précédente, mais je fait compte de procurer aussy vers les aultres pays, comme Gheldres, Frize, etc, qu'ilz facent aussy leur

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[p. 487]

debvoir, et comme ilz ont le commun bénéfice de la deffence générale en temps de guerre, dont l'expérience se voit journellement, il est bien raisonnable, qu'ilz aydent aussy à supporter les fraiz, estant à ceste heure à mon advis le conjuncture bien à propos, pour les y faire venir, dont se sont jà envoyées quelques instructions à Monseigneur de Meghem: et, oires que la somme soit petit au regard de l'aultre, ce peu que sera, servira de beaucoup, estant ce pays en part ou, comme Vostre Majesté congnoist par sa grande prudence et expérience, il est besoing de grande provision de deniers, avant que le tout soit pourveu, comm'il convient.

B
Uittreksel uit de bedenkingen in antwoord op de vertoogen der staten van Henegouwen, door Hopperus gesteld op last van den koning en dezen voorgegelegd den 4den mei 1572.

- Quant à ce qui se dict, que le consentement sur le 10e denier ne seroit donné légitimement, sinon par menaces, promesses, et sans ordre accoustumée des Estatz,

Faict à scavoir:

Qu'en la proposition (qu'est la substance principale de tout) ne se trouve ny promesse ny menace, sinon une admonition de ne point contrevenir à leur propre bien, afin que Sa Majesté ne soit constraincte d'y pourveoir et user de l'autorité que Dieu luy a donné, ce que n'est chose nouvelle, mais souventes fois usitée en termes diverses, selon les occurences et disposition du temps. Et ce se faict non poinct pour intimider les Estatz, mais pour réfréner l'audace des mauvais et assister aux bons, afin que librement ilz disent leur opinion et ne soyent [constrainctz] par les aultres Estatz, ordinairement en plus grand nombre, comme souvent par expérience se voit. - Et quant à ce que les Seigneurs de

[pagina 488]
[p. 488]

Berlaymont et Noircarmes respectivement peuvent avoir dict, que le dixiesme denier ne s'y exécuteroit poinct, oultre ce que ne scavent précisement et par que forme ilz l'auront dictGa naar voetnoot(1), sy esse, que leur faict ne tourne poinct et ne peult préjudicyer à Sa Majesté, et que réellement ne s'exécute point ledict Xme denier en la forme et manière, comme au commenchement il a esté proposé, mais avec plusieurs modifications, ne se schachant aussy, comment les menaches de Monseigneur de Rassinghien et aultres seroyent faictes, lesquelles oultre ce qu'elles ne concernent Sa Majesté, ne sont poinct aussy celles que de povoir invalider le consentement. Car ung chascun d'entendement povoit bien scavoir que ce n'estoit point en la puissance du Dux d'Alve de sacager et assalir aulcunes villes, et quant à y mectre des soldatz, est chose notoire qu'on le faict où on veult, selon l'exigence du cas, mesmes affin que les bons ne soyent oppressez par les aultres mauvais, et puissent dire librement leur opinion, que n'est chose inusitée, ains veue souventesfois, sans que se peult dire que pour avoir les Seigneurs de Noircarmes et Rassinghien respectivement esté aux Estatz, l'ordre légitime d'iceulx ne seroit point gardé, et c'est une chose que se faict souvent pour authoriser les bons et réprimer les mauvaix, comme par plusieurs exemples se pourroit prouver. Ny se doibt dire, que par l'introduction des deux millions par an cesse ledict Xme denier; car iceulx ne sont point esté acceptez absolutement au lieu dudict Xme perpetuellement, ains par forme de preuve seullement pour l'espace de deux ans, combien que les Estatz proposent six ans, de manière que ceste objection n'est d'aulcune force ny vigueur.

[pagina 489]
[p. 489]

C.
Uittreksel uit het tarief der regten en belastingen, die in de voornaamste steden van Brabant, betaald werden, vóór de invoering van den tienden penning.

(Aanhangsel van de vertoogen der afgevaardigden van Brabant, aan Filips II in 1572 aangeboden.)

namen der voorwerpen. Leuven. Brussel. Antwerpen.
WIJN.      
Vreemde, bij het aam. ƒ 6..18 ƒ 6..15..52 ƒ 5..16 Fransche wijn.
VLEESCH.     ƒ 8.. 2 Rijnwijn.
Een os ......... ƒ ..12 ƒ .. ..54 ƒ .. 6
Een koe ........ ƒ .. 8 - ƒ .. 4
Een schaap ...... ƒ .. 1..36 ƒ .. .. 7½ -
Een kalf ........ ƒ .. 1..36 - ƒ .. 1
Een varken....... de twaalfde penning. ƒ .. ..27 ƒ .. 2
Een lam of geit.... .. ..63 ƒ .. .. 7½ ƒ .. ..36
VISCH. de twaalfde penning. de twaalfde penning. de negentiende penning.
Een last haring.... ƒ ..18 ƒ .. 9 ƒ .. 4
GRANEN.      
Tarwe, bij het mud . ƒ .. ..63 ƒ .. 1.. 9 ƒ .. 1.. 5
Gerst .......... ƒ .. ..36 - ƒ . ..59
ZOUT.      
Het mud ........ ƒ .. 2.10 - ƒ .. 1..36
BIER.      
Vreemd ......... ƒ 1.. 8 - ƒ 1..16 tot ƒ 2..18
Van 52 stuivers het aam ƒ ..16 Op elk brouwsel 6 gulden belasting. ƒ 1..17 tot ƒ 2..18
Gemeen ......... ƒ ..10 - ƒ .. 5 tot ƒ 2..18
LAKENS.      
Vreemde, bij de el .. ƒ .. 2 de vierentwintigste penning. Alle lakens zonder onderscheid waren met een'halven stuiver de el, tot op 50 el, belast, en boven de 50 el, met een stuiver.
Inlandsche, bij het stuk ƒ .. 4..36 ƒ .. 1..36  
GRONDBELASTING. de twintigste penning. de zestigste penning. -

N.B. Wij hebben bij dit uittreksel de oude verdeeling van guldens en stuivers in Braband gevolgd, De stuivers zijn weder gesplist in mijten; 72 mijten maken een stuiver.

[pagina 490]
[p. 490]

D.
Brief van den hertog van Alva aan den commies Van Loo (12 Febr. 1570).

Très chier et bien amé. Ceste servira pour vous advertir particulièrement de ce qu'aurez à communicquer au conte de Boussu, commis au gouvernement du pays et conté de Hollande et aucuns des Estatz d'icelluy pays sur le fait de l'ayde demandée ausdictz Estatz de Hollande ou lieu du Xme et XXme denier sur les ventes des biens meubles et immeubles: Et en premier lieu, attendu que lesdicts de Hollande ne se sont voulu eslargir jusques à la somme à eulx demandée pour leur quote et contingent ou lieu dudictz Xme et XXme denier, ne vous povons céler, que d'ung costel nous n'en sauryons passer de moins que leur avons faict demander et d'aultre costel nous ne vouldryons légièrement résouldre à mectre en exécution icelluy Xme et XXme denier pour les difficultez, que nous en sont esté représentées, et sur ce que lesdictz Estatz alleguent l'impossibilité de trouver moyens, particulièrement audict de pays de Hollande, pour quote si grande et excessive, veu que autres Estatz, s'estans trouvé en semblable perplexité, ont advisé de prendre ung autre piet, d'accorder une somme généralement pour tous les pays patrimoniaux de Sa Majesté, à trouver par moyens généraulx sans destination de quotes, ayans calculé que, selon lesdictes quotes demandées, la somme totalle debvroit monter à deux millions de florins par an et signamment ceulx de Brabant, estans notoirement les plus interressez esdictz moyens généraulx, et qui au regard de la marchandise, continuelle résidence de la court et de l'Université ont plus de fréquentation et par conséquent plus de consumption de ce que sera chargé, prengnent ledict piet: dont les deux premiers Estatz, qui sont

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[p. 491]

les prelatz et nobles ont désia faict ouverture, ayant donné leur consentement desdictz deux millions pour six ans et exhibé quelques moyens pour les lever générallement, en quoy on espère ceulx des villes les ensuyvront: veullant nous accommoder avec les Estatz tant que possible sera, nous nous pourryons peult- estre, après avoir ouy l'intention desdictz Estatz, incliner d'accepter lesdictz deux millons de florins pour les treize pays ou Estatz, ausquelz la demande susdicte a esté faite, mesmes si icelle somme seroit trouvable avec moindre difficulté par moyens généraulx et égaulx à tous les pays susdicts, que de trouver respectivement les quotes demandées à chascun pays à part par moyens particuliers, pour les respectz qu'on prend en mettant charges particulières en quelque pays, qui cessent quant lesdictes charges sont communes à tous; moyennant toutefois que ledict piet soit ensuyvy générallement de tous lesdictz Estatz; combien que aucuns d'iceulx ayent désia consenti les sommes à eux demandées à trouver par moyens particuliers, lesquels n'avons encoires voulu advouer ny desadvouer, ayans différé et remis de prendre résolution absolute sur lesdictz moyens tant particuliers que généraulx, mesmes de généraulx proposez par lesdictz Estatz de Brabant, jusques à ce que aurons entendu tous les moyens, qui se mettront en avant par les Estatz en général et particulier: dont et de ce que dessus vouldryons bien, que ceulx des Estatz de Hollande fussent dextrément embouchez, pour veoir si leur accord se pourroit par ce tant plus faciliter; par ou ferez bien informer ledict conte de Boussu, en luy communicquant la copie de l'opinion desdictz prélatz et nobles de Brabant, contenant les moyens généraulx par eulx advisez pour trouver lesdictz deux millions de florins par an, laquelle s'envoye jointement avec cestes: encoires que n'ayons opinion ou intention qu'on se doibve arrêter du tout sur lesdictz moyens, pour estre aucuns

[pagina 492]
[p. 492]

d'iceulx trouvez impertinens, ains seullement pour démonstrer, que, estant ce piet ainsi arresté, la somme réquise et nécessaire, laquelle ne semble trouvable en particulier, se pourra trouver plus ayséement par la généralité; estant nostre intention en tel cas, après la somme accordée et le piet général arresté, d'y adviser par examination de tous les moyens, que par lesdictz Estatz seront proposez, pour en choisir les espèces, qu'on pourra charger au moindre grief du pays, dont ilz se doibvent fyer en nous qu'en choysirons les moins griefs ou dommageaibles au pays en général, et pour, en faire aucune ouverture en termes généraulx, se pourra bien déclairer que lesdictes charges et impositions tumberont sur le boire, menger et l'accoucher et autres choses mentionnées en la proposition faicte pour lesdict Xme et XXme denier, au moindre dommage du pays, que faire se pourra, par lesquelles charges et moyens ne sera touché ou interressé aucunement la négociation et marchandise, ny à ce que pourra empescher ou divertir la manufacture, ne aussi la navigation, à quoy pour les remonstrances à nous faictes, nous avons bien voulu prendre singulier regard, mesmes attendu que par ce moyen les corps des villes ne seront chargez de quotes ou portions, ny aussi le plat pays de levées ordinaires, qu'on est accoustumé à faire par les schiltales, dont lesdicts Estatz de Hollande se pourront, en tant que besoing soit, ayder pour payer les rentes et charges procédans des aydes passées; en quoy les ferons accommoder, comme selon icelles charges sera trouvé requiz et convenable, et pourroyt aussi en tel cas iceulx Estatz par le mesme moyen oster ou du moins modérer les impostz ayant présentement cours audict pays, à cause des charges procédans des aydes passées, afin que les impostz généraulx, qui se mectront sus pour l'ayde présente soyent tant plus souffrables, de laquelle nostre intention susdicte vous avons bien

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[p. 493]

voulu adviser si particulièrement par ceste, pour par ledict conte de Boussu et vous en pouvoir emboucher ceulx des Estatz dudict Hollande, que trouverez convenir et en savoir leur intention avec la meilleure dextérité que faire se pourra: dont nous advertirez de temps à aultre pour selon ce s'y povoir régler et conduyre. A tant, etc.

 

Vertaald naar den Franschen tekst opgenomen in de Messager des sciences historiques, etc. Gand, 1848. 1849.

voetnoot(1)
Bij de voorstellingen der staten was een verslag van het verhandelde in hunne vergadering gevoegd, opgesteld uit het geheugen der leden die aanwezig waren geweest. Hunne verklaringen, ofschoon daaromtrent overeenkomende, dat de stadhouders er eenige minder voegzame woorden gebezigd hadden, verschilden evenwel in de bijzonderheden.


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Over het gehele werk

titels

  • Studiën en schetsen over vaderlandsche geschiedenis en letteren (5 delen)


Over dit hoofdstuk/artikel

datums

  • 29 juni 1569

  • 31 oktober 1569

  • 12 februari 1570