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Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2 (1976)

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Editeurs

P. Geyl

Geerten Gossaert



Genre

non-fictie

Subgenre

non-fictie/brieven


In samenwerking met:

(opent in nieuw venster)

© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Briefwisseling en aantekeningen. Deel 2

(1976)–Willem Bentinck–rechtenstatus Auteursrechtelijk beschermd

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521
Charles Bentinck aan Willem Bentinck

[B.M., Eg. 1728]

Nijenhuis, 18 januari 1749

Pour vous seul; l'autre est pour être montré au Prince.

 

Ayant été pendant huit jours à CampenGa naar voetnoot1), d'où je revins mercre-

[pagina 277]
[p. 277]

di passéGa naar voetnoot2), je n'ai pu répondre plutôt à votre lettre du 11Ga naar voetnoot3). Je reçus avant-hier celle du 14, à laquelle je répons en même tems.

Pour mon amitié, vous savez, qu'elle vous est si acquise, que j'espère, que vous n'avez plus besoin d'aucune preuve pour vous persuader de la part, que je prendrai toujours à tout ce qui vous regarde. Si vous suivez le plan, que nous avons tracé ensemble à Doorwerth, je vous prie, suivez-le tout entier; car sans cela il ne vaudra rien.

Lorsque je vous ai conseillé de travailler à gagner l'esprit de la Princesse par des complaisances et de bonnes manières, je vous ai prié très instamment et par dessus toutes choses, d'être toujours sur vos gardes et de ne pas céder un seul point important et qui touche votre honneur. Je ne cesserai point de vous répéter la même chose et soyez sûr, que le pensionaire est ce qui est le plus important pour le païs, pour le Prince et pour vous. Vous avez entrepris de le faire renvoyer, il y a déjà longtems; mais votre absence vous a mis dans l'impossibilité de poursuivre ce dessein. Etant de retour à La Haye il faut reprendre les choses où vous les aviez laissées, comment s'il n'y avoit pas eu d'intervalle. Une affaire d'honneur ne sauroit souffrir de longueurs ni de retardement. Celle-ci est affaire d'honneur pour vous, si jamais il en fût et comptez, que chaque jour que cela traîne est une nouvelle playe à votre réputation. J'ai eu des lettres de ma mère et de Cr.Ga naar voetnoot4) sur ce sujet, qui me font une peine terrible; car je vois, qu'on vous représente là-basGa naar voetnoot5) comme un homme, qui s'accommode aux tems et aux gens, plutôt que de prendre une résolution ferme et vigoureuse et on me dit, qu'on vous écrit aussi les discours qui se tiennent. Si la Princesse a peur de vous à présent à cause de ce qui s'est passé auparavant, sa peur passera bien vite et se changera en mépris ouvert ou caché et c'est où il ne faut jamais tomber, car on ne s'en relève plus.

Il ne faut, qu'elle ait peur de vous, mais qu'elle respecte vos sentimens; c'est la règle, selon laquelle toutes vos actions doivent être conduites. Vous me dites dans votre lettre du 14 de ne me pas impatienter, mais jugez vous-même par tout ce que je viens de

[pagina 278]
[p. 278]

dire, s'il est possible, que je ne sois pas continuellement sur les épines. Les circonstances ne sauroient changer l'état, où vous êtes, d'autant plus qu'il y a beaucoup de votre faute si vous vous trouvez dans ces circonstances, car il y a longtems, qu'il falloit rompre la glace et ne la pas laisser reprendre. Je vous ai dit, qu'il falloit d'abord trouver un successeur au pensionnaire et cela est vrai. Ce n'est pas la chose impossible. Il est au monde ce successeur, il ne s'agit que de le chercher et étant trouvé, il faut sans barguigner, qu'il entre ou que vous sortiez. C'est selon moi la loi et les prophètes.

J'ai vu une pièce de Raap avec une lettre du charpentier prisonier à Middelburg depuis le 29 juin 1747Ga naar voetnoot6). J'ai écrit là-dessus à la Princesse une lettre aujourd'hui, dont elle ne sera peut-être pas fort contente. N'importe, je ne veux rien avoir à me reprocher. Je doute qu'elle vous la fasse voir, je vous la montrerai avec d'autres à la première occasion, n'ayant pas le tems de vous en envoyer copie et je n'ai pas de secrétaire.

Je souhaiterois très fort que vous n'allassiez pas à Anvers. Catwijk et Borselen peuvent faire cette affaire aussi bien que vousGa naar voetnoot7).

Ma femme m'a dit, que vous songiez à prendre la maison de Rechteren, dont j'ai été surpris, par ce que j'ai cru, que vous aviez résolu d'en louer une petite et de diminuer par là vos dépenses. Je vous prie pour l'amour de vous-même et de vos enfans de réformer tout ce que vous pourrez et de tenir le plus petit train possible, afin d'épargner de quoi fournir à l'éducation de vos fils et à la diminuation de vos dettes. Pallardy vous prie de vouloir voir Ellink huijsenGa naar voetnoot8) et de lui recommander de ne pas laisser traîner son affaire.

voetnoot1)
Ter Statenvergadering. Zie Bentinck II, nr. 520.
voetnoot2)
15 januari.
voetnoot3)
Deze brieven zijn niet aanwezig.
voetnoot4)
Creuningen? Zie Bentinck II, nr. 498.
voetnoot5)
In Engeland. Chesterfield schreef omstreeks deze zelfde tijd (9 maart o.s.) aan S. Dayrolles, dat hij niet geloven kan aan Willem Bentincks invloed, omdat hij anders de positie van de raadpensionaris niet zou dulden. Zie Mahon III, p. 348.
voetnoot6)
Hij had zich in april 1747 schuldig gemaakt aan plundering van het huis van burgemeester Joannes Cocquelle. Vergelijk Geyl, De agent Wolters, p. 54.
voetnoot7)
In verband met de moeilijkheden welke Frankrijk inzake de ontruiming der Zuidelijke Nederlanden veroorzaakte. Vergelijk Archives IV, I, 539 en 544.
voetnoot8)
Onbekend.

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  • Briefwisseling en aantekeningen


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Over dit hoofdstuk/artikel

datums

  • 18 januari 1749