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Callewaert's groot Nederlandsch-Fransch en Fransch-Nederlandsch woordenboek inhoudende de woorden der gewone spreektaal (1909)

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woordenboek / lexicon


© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Callewaert's groot Nederlandsch-Fransch en Fransch-Nederlandsch woordenboek inhoudende de woorden der gewone spreektaal

(1909)–Jan van Droogenbroeck, Willem Duflou–rechtenstatus Auteursrecht onbekend

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[p. I]

[Deuxième partie: Français-Néerlandais]

Préface.

Le grand dictionnaire de Callewaert n'est pas un nouveau venu dans le monde des livres scolaires. Sa première édition remonte à près de quarante ans, et pendant cette longue période, la faveur publique lui est restée fidèle. Mais les langues évoluent, et le dictionnaire, appareil enregistreur autant qu'instrument d'enseignement, doit refléter cette évolution dans la mesure de ses moyens et de son volume.

Il y a dix ans que les éditeurs conçurent le projet de soumettre leur grand dictionnaire, après le petit, à une révision sérieuse. A cette époque vivait encore l'homme de talent et poète distingué qui était l'auteur de la première édition. Celle-ci comportait 1,250 pages, dont 590 pour la partie française. Il fut entendu que ce total serait porté à 1,400, et cet accroissement de volume, dans la pensée des éditeurs, devait constituer une sorte d'hommage rendu aux clients du dictionnaire, le prix de vente restant le même.

M. van Droogenbroeck, qui avançait en âge, ne se sentant plus la force d'entreprendre seul un travail aussi long et aussi fatigant, fit appel à la collaboration du soussigné, qui se chargea de préparer la copie, sans assumer la responsabilité de la forme définitive à lui donner. Environ un quart de l'ouvrage était imprimé et cliché, lorsque le décès imprévu - 27 mai 1902 - de notre ami nous obligea à mener seul l'entreprise à bonne fin.

Les soixante-quinze pages mises à notre disposition pour compléter la partie française-néerlandaise du dictionnaire, c'est-à-dire en moyenne trois pages par lettre alphabétique, ne nous ouvraient pas, si je puis ainsi dire, un crédit illimité. De prime abord, il était manifeste qu'il fallait procéder économiquement et tâcher de gagner de la place en contrôlant avec soin le texte de l'ancienne édition. C'est ce que nous fîmes d'une façon systématique, en tàchant, contrairement à l'usage des dictionnaires de même prix, de donner le plus de matière possible sous le volume prescrit. Aussi croyons-nous qu'une comparaison des deux éditions fera voir que peu d'articles ont passé de l'une dans l'autre sans avoir subi quelque modification.

* * *

 

L'enfant s'imagine de bonne foi que traduire c'est remplacer un mot d'une langue par un mot d'une autre, et son dictionnaire prend la valeur d'un évangile qui lui fournit la clef de toutes les difficultés. Le traducteur - faut-il répéter une vérité aussi banale? - est bien autre chose. Les langues ont leur vocabulaire, mais aussi leur génie propre, et passer d'une langue à une autre c'est, en quelque sorte, se dédoubler pour entrer dans la conception d'autrui. De là découle cette vérité expérimentale que le dictionnaire est, il est vrai, un aide indispensable, mais qu'il est loin de dispenser celui qui l'emploie, jeune ou non, de la réflexion. Il fut un temps où l'usage du dictionnaire se plaçait au début de l'étude de la seconde langue. Les méthodes actuelles d'enseignement ont reculé le moment où il est mis entre les mains des élèves; aussi, l'utilité de ce livre croît-elle avec l'avancement des connaissances de l'étudiant, parce que son usage, de machinal qu'il est sou-

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vent au début et chez des élèves trop jeunes, devient de plus en plus réfléchi. Sans vouloir insister plus longtemps sur de telles vérités, nous nous contenterons de mettre en garde contre un des principaux écueils que la pratique nous a signalés, et qui est facile à éviter. Si l'élève, après avoir cherché la traduction d'un mot, se voit placé devant une série de synonymes et hésite dans le choix à faire, il fera bien de ne se décider qu'après avoir vérifié, dans l'autre partie du dictionnaire, le sens exact des synonymes en question; ce contrôle est à la fois nécessaire et instructif.

Afin de rappeler sans cesse que les deux langues ont leur génie particulier, M. van Droogenbroeck avait imaginé, en revisant le dictionnaire de poche, de mettre au bas de chaque page une ou deux expressions idiomatiques, dont la traduction littérale est impossible. Il va sans dire que cette heureuse innovation, qui est la propriété de l'auteur, a été introduite également dans le présent ouvrage, et nos efforts ont porté tout autant sur l'augmentation du nombre des expressions intercalées dans le texte et destinées à éclaircir le sens et l'usage des mots, que sur l'extension du vocabulaire proprement dit.

Nous avons mis à profit, comme de juste, les travaux de nos devanciers. Bien qu'il commence à vieillir et que, surtout dans la partie néerlandaise, des mots, que nous avons accueillis, manquent, le dictionnaire de Kramers-Bonte reste un auxiliaire indispensable. Les rapports de parenté qu'il a avec le dictionnaire français-allemand et allemand-français de Sachs-Villate, nous ont déterminés à consulter aussi ce dernier. Et sans vouloir citer tous les ouvrages que nous avons ouverts occasionnellement, nous mentionnerons spécialement les vocabulaires techniques des corps de métiers, publiés par l'Académie royale flamande.

En ce qui concerne l'orthographe française, nous avons respecté celle qui est encore actuellement en usage. Ce n'est pas le rôle d'un ouvrage classique, destiné à être mis entre toutes les mains, de prendre les devants dans la question encore controversée de la réforme de l'orthographe. Pourtant cette question est à l'ordre du jour et le restera, tant qu'elle n'aura pas reçu de solution satisfaisante. En faisant quelques concessions, l'Académie française, gardienne des traditions plutôt qu'adversaire d'une réforme, a reconnu implicitement le bien-fondé de celle-ci. La grammaire, d'ailleurs, suit l'exemple de l'orthographe, ou plutôt elle la devance. L'usage des bons écrivains contemporains n'est plus toujours celui qu'enseigne la grammaire officielle, et celle-ci a également besoin d'être rajeunie. Il se fait donc que l'extérieur des mots, leur aspect physique, si je puis ainsi dire, paraît entouré d'un respect plus grand que la grammaire elle-même, qui touche intimement à la structure de la langue et en modifie, en se transformant, profondément le caractère. Dans cette lente évolution, le lexicographe comme le grammairien sont parfois perplexes. Semblables à ce dieu de l'antiquité, ils devraient avoir deux visages, l'un tourné vers le passé, l'autre vers l'avenir. Quant à nous, et pour la raison indiquée précédemment, nous ne nous sommes écartés de l'orthographe usuelle qu'en un détail, la substitution du trait d'union à l'apostrophe irrationnelle dans les composés avec grand, comme grand-mère, au lieu de grand'mère, etc. Le dictionnaire de Hatzfeld et Darmesteter nous a servi ici de guide.

* * *

Les principales abréviations sont énumérées à la suite de cette préface, mais il en est d'autres avec lesquelles il faut se familiariser et qui supposent une certaine connaissance de la grammaire. Ces abréviations ne présentent rien d'exceptionnel; elles ont trait

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notamment à la formation du féminin chez les noms et les adjectifs; pour le français, elles sont conformes à l'usage que le dictionnaire de Larousse a généralisé; il n'y a d'exceptions que pour les adjectifs en é, dont le féminin est indiqué par ée, et pour les adverbes dérivés d'adjectifs invariables: sinistre, adj. 2 g., -ment, adv., où, devant le suffixe -ment, l'adjectif doit être suppléé; pour le néerlandais, c'est le système du dictionnaire revu de Van Dale que nous avons suivi. Werker, m., -ster, f. ou werker, ster, m. et f., doivent être lus werker, masculin, werkster, féminin. Dans Bemiddelaar, m., -ster, f., au contraire, ainsi que dans les noms analogues, le suffixe -ster ne remplace pas le suffixe masculin -aar, mais s'y ajoute. Ces notions élémentaires de lexicologie sont censées connues du lecteur. Les trois abréviations suivantes: || -, m. et f.; || -, m.; || -, f. signifient que le masculin et le féminin d'un adjectif, ou le masculin seul, ou le féminin seul, sont employés substantivement.

 

Juin 1909.

G. DUFLOU.


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