Skiplinks

  • Tekst
  • Verantwoording en downloads
  • Doorverwijzing en noten
Logo DBNL Ga naar de homepage
Logo DBNL

Hoofdmenu

  • Literatuur & taal
    • Auteurs
    • Beschikbare titels
    • Literatuur
    • Taalkunde
    • Collectie Limburg
    • Collectie Friesland
    • Collectie Suriname
    • Collectie Zuid-Afrika
  • Selecties
    • Collectie jeugdliteratuur
    • Basisbibliotheek
    • Tijdschriften/jaarboeken
    • Naslagwerken
    • Collectie e-books
    • Collectie publiek domein
    • Calendarium
    • Atlas
  • Periode
    • Middeleeuwen
    • Periode 1550-1700
    • Achttiende eeuw
    • Negentiende eeuw
    • Twintigste eeuw
    • Eenentwintigste eeuw
Wapenboeck ou armorial de 1334 à 1372. Deel 1. Poésies héraldiques (1881)

Informatie terzijde

Titelpagina van Wapenboeck ou armorial de 1334 à 1372. Deel 1. Poésies héraldiques
Afbeelding van Wapenboeck ou armorial de 1334 à 1372. Deel 1. Poésies héraldiquesToon afbeelding van titelpagina van Wapenboeck ou armorial de 1334 à 1372. Deel 1. Poésies héraldiques

  • Verantwoording
  • Inhoudsopgave

Downloads

PDF van tekst (4.08 MB)

Scans (125.99 MB)

ebook (3.54 MB)

XML (0.41 MB)

tekstbestand






Editeur

Victor Bouton



Genre

poëzie
non-fictie

Subgenre

gedichten / dichtbundel
non-fictie/naslagwerken (alg.)
non-fictie/geschiedenis-archeologie
vertaling: Nederlands / Frans


© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Wapenboeck ou armorial de 1334 à 1372. Deel 1. Poésies héraldiques

(1881)– Gelre (heraut)–rechtenstatus Auteursrechtvrij

Vorige Volgende
[pagina 175]
[p. 175]

Heinriic van Nueft

A présent, o Dieu, seigneur du monde entier, aide-moi! j'aimerais tant faire un poème à ta louange et sérieusement; aide-moi done à narrer. Mon esprit faible a trop besoin de ta grace.

Or çà! je commencerai, si je peux. Que Dieu m'accorde le bonheur que je m'exprime comme j'ai toujours entendu réciter des exploits de chevalerie! Je dois déplórer un chevalier qui a toujours aspiré vaillamment et de toutes ses forces aux actions chevaleresques, comme moi je loue ceux qui ont combattu courageusement et se sont distingués par leurs faits d'armes. écoutez done ses débuts.

Devant Hatergans il eut à coeur de prendre part à un grand et rude assaut; il y fut atteint par un projectile, si violemment qu'on l'emporta de là pour mort, le fier, l'intrépide, le valeureux. Il combattit ensuite à Vollenhove, où maint Frison fut triste. Son mâle courage le guida partout où il alia. Il était doué de toutes les vertus. Puis dans sa jeunesse, il se rendit à Gaernaten. Il combattit vaillamment à Allesier; les ennemis devaient reconnaître que de tous ceux de son âge qui y étaient il fut le plus brave. Il retourna ensuite dans son pays. Depuis, on le revit devant Stenvoirt dans un sangiant combat, où il

[pagina 176]
[p. 176]

n'épargna pas sa personne; beaucoup le savent encore. II y fut grièvement blessé. II prit volontairement part à l'assaut d'Honcourt en France. II fit de même devant Tournai, où le roi d'Angleterre était campé, en France, avec la couronne [1340]. Ensuite on le vit récompensé.

Par de belles actions, par sa défense [v. 48, 47], il se fit remarquer devant Waerle, auprès de son droiturier seigneur. L'ennemi dut retourner; il y combattit avec acharnement. Puis il alia avec son seigneur devant Scutdorp, au pont, [v. 55]. On y vit brandir les épées. Le héros brave et sans peur s'y battit vaillamment et d'une manière distinguée, prés du comte Adolphe de la Marck, beaucoup trop fortement pour l'ennemi, et ce même jour il se couvrit de gloire par sa vaillance. II vint ensuite devant Aldenzeel, où il avait appris qu'un combat avait lieu; on l'y vit s'y rendre. Il y fit endurer à l'ennemi maint coup d'épée; grand nombre d'entre eux jonchèrent le champ de bataille, furent tués, faits prisonniers. II est juste qu'on déplore un homme qui a fait tant de prouesses.

Peu de temps après, il y eut un combat devant Coblence; il s'y présenta de nouveau intrépidement à l'ennemi. Où irons nous encore? Cela commençait à lui être pénible. Il combattit ensuite courageusement et de toutes ses forces devant Montaboer. Après, il chercha des exploits devant la ville de Rechlinchausen, où il se présenta bravement à l'ennemi et combattit comme un héros, de vrai.

Cette même année il combattit devant le Boetselaer, où il y eut des chagrins et des peines de ce qu'il fut fait prisonnier. Il partit ensuite pour une grande expédition avec l'évêque Engelbert devant Liége (il était encore écuyer alors), où était réuni l'ennemi en nombre considérable et où il fut créé chevalier. étant chevalier, il combattit ensuite vigoureusement sur le champ de bataille de Toorbach. Je relate ses prouesses.

[pagina 177]
[p. 177]

Il combattit après à Thorniis (Tournai?) avec impétuosité; plus de dix mille hommes y trouvèrent la mort. Il fut trés peiné de la défaite de l'ennemi. Il combattit ensuite vaillamment et avec succès devant Ozenbrucke. Le Chevalier sans reproche était renommé au loin, dans beaucoup de pays.

Le Chevalier [v. 105-106]..................

Le Chevalier, au bon naturel, se rendit ensuite à Lampaerde, au secours de la Sainte église. On sait encore bien avec quelle bravoure il se défendit; [v. 112-113].....

A Monteg, dans un combat de l'église avec ceux de Milan, on vit le bon Chevalier, combattant au service de dame Honneur, faire des actions chevaleresques, au premier rang, où on le vit faire de grands exploits. Après cela il combattit devant Apycras prés Milan; non loin de là se trouvait le Capitaine de la Sainte église; on y vit drapeaux et bannières s'entrecroiser, avec des trompes, des fifres et des timbales. Ensuite il combattit devant Montesclaer avec beaucoup d'impétuosité.

L'intrépide Chevalier se rendit de là dans son pays, d'où il partit pour la Prusse, pour Staden, la Lithuanie, la Russie. II entra dans ces pays payens avec une vigueur chrétienne. On Ie vit prendre part à l'assaut de Vielun; mais il y fut blessé d'un projectile. De cette manière il prenait soin de son honneur par des actions d'éclat.

Il se rendit ensuite outre-mer avec son droiturier seigneur, le comte Engelbert de Ia Marck, au Saint Sépulcre, où était enterré le Christ, et où le coeur de tous deux se remplit d'émotions. Ils s'y rendirent par la Bulgarie. Dieu accorda ce bonheur au digne et intrépide chevalier qui, après avoir risqué sa vie à des actes de bravoure, désirait ce pèlerinage. II parvint au mont Sinaï; la sainte, digne et pure Vierge Sainte Catherine lui manifesta sa grâce. Le Chevalier et son seigneur y virent beaucoun de miracles. Après, son seigneur revint au pays.

[pagina 178]
[p. 178]

On le vit alors en Hongrie, auprês de l'illustre roi, où se trouvaient grand nombre de bons chevaliers équipés pour le combat. Le roi voulut se battre avec les Sarrasins payens, mais il renonça à l'expédition. Le bon Chevalier l'apprit, il désirait rentrer au pays et partit pour la Gueldre. On le vit se battre vaillamment devant Emmerich, du côté du duc Edouard qui était en guerre avec son frère. Maint homme éprouva des peines par suite de ces dissensions. Les Heeckers et les Bronchorst se combattaient les uns les autres avec acharnement. Après, comme le courageux Chevalier combattait devant Meurs, Dieu lui envoya une aventure.

Le Chevalier devint [v. 180].....

Il partit immédiatement pour la Prusse; c'était son désir. Un jour, devant Goudinghen, on vit les payens s'avancer impétueusement. Prés de Wyndaw, en Courlande, le Chevalier se fit bien connaitre. Tout comme un sanglier qui ne veut pas se laisser prendre, il frappa autour de lui impétueusement sur les ennemis. Il partit de là pour la Livonie. On ravagea et brûla en Lithuanie.

Après cela on le put remarquer prés du comte de Clèves. Ils désiraient se rendre outre-mer, et ils entreprirent ensemble l'expédition..... [v. 194 à 199].

 
Le roi Alexandre....
 
Que l'on nous comprenne bien.
 
Ainsi le chevalier sans peur,
 
Qui avait courageusement risqué sa vie maintes fois,
 
Fut fait prisonnier outre-mer
 
Avec son seigneur; cela lui fut dur.
 
Quatre de leurs compagnons moururent,
 
Eux-mêmes faillirent périr.
 
Mais le bon Dieu leur vint en aide,
 
Lui dont la puissance domine tout
[pagina 179]
[p. 179]
 
...................
 
Celui qui peut tout
 
Lui fit repasser la mer.
 
Après cela le chevalier tomba gravement malade
 
Et mourut, pour la cause de Dieu, par amour
 
De l'honneur, dans la sainte expédition.
 
Que Dieu ait pitié de son âme!
 
Je vous fais connaître..... è trois angles;
 
Distinguez bien forme et parole,
 
Comment sont ses armes:
 
Des perles fines nombreuses dans l'écusson poli,
 
Traversé par Ie milieu
 
D'une fasce couchée.
 
De même que le noble rubis
 
Surpasse en éclat toutes les pierres,
 
Un diamant est posé sur le rubis,
 
Sous la forme d'un lion.
 
Dans les combats et dans les assauts
 
Ces armes ont été beaucoup vues.
 
Sur le heaume je dois signaler
 
La couverture [Ia capeline] de fine hermine;
 
Au-dessus brille une couronne de rubis
 
De couleur lumineuse.
 
Entre la couronne, remarquez-le bien,
 
Se dressent deux ailes,
 
Qui auront la couleur marguerite.

Aide, Marie, mère, vierge pure, qui ne repousses jamais un pêclieur, afin que notre prière ne soit pas vaine; prie pour lui, ton enfant chéri; nous faisons ainsi de tout coeur: il se nommait messire van Nueft, Henri.

[pagina 180]
[p. 180]

Notes héraldiques

Henri de N'Ueft ou Oeuft porte: D'argent à la face de gueules, le chef chargé d'un lion de sable. Dans l'Armorial, Hēric vā Nueft porte les mêmes armes et le même cimier: Le heaume d'or de profil, la capeline découpée d'argent fourrée d'azur, la couronne de gueules, et pour cimier deux ailes affrontées et posées en aigrettes d'argent.

Gelre décrit ici les armes du Chevalier dans le langage symbolique dont se servaient les trouvères et les chanteurs. Il divise d'abord l'écu en trois parties, les trois angles, c'est-à-dire les deux angles du haut, le chef ainsi que l'angle du bas, la pointe, semés ici et là de perles fines qui représentent l'argent damasquiné, diapré, orné de perles, avec tout le luxe qui régnait au xive siècle, plus grandiosement qu'aujourd'hui. Au milieu de l'écu une fasce transversale faite de rubis, car le rubis représente le gueules. Un diamant se trouve au-dessus du rubis en forme de lion: cela veut dire que le lion est un diamant, le diamant est tiré du charbon noir ou de sable, posé au-dessus du rubis qui est la face. On voit par cet exemple, que si on ne connaît pas le sens symbolique des couleurs ou émaux en armoiries, il est absolument impossible de comprendre les poètes.

Au-dessus du heaume, je dois faire mention, dit Gelre, de la Couverture d'hermine fine, c'est-à-dire du chaperon de fourrure blanche, qu'il dit d'hermine fine, mais qui n'a pas été

[pagina 181]
[p. 181]

mouchetée, parce que Henri van Oeuft ayant été au pays de l'hermine, en avait rapporté cette fourrure et s'en servait nature, blanche comme une étoffe d'argent. Au-dessus de ce chaperon ou capeline découpée, dont le bas ou volet est doublé d'une étoffe de soie bleue, est une couronne de rubis, c'est-à- dire de gueules, et nous ferons remarquer qu'au xive siècle, les couronnes n'avaient pas un caractère bien défini: il y en avait de rouges, de noires, de vertes, de blanches, de roses, c'est-à- dire de rubis, de diamants, de roses, de perles, d'émeraudes, puisque chaque couleur avait sa signification: la couronne de rubis est ici une couronne de vaillance. Ce n'est que plustard, que les couronnes ont été réglementées. Le luxe de pierreries est venu des croisades: Les Chevaliers avaient, avec les Sarrazins, des rapports plus nombreux qu'on se le figure généralement; la visite aux Saints Lieux, ne les empêchait pas de s'enquérir des rubis d'Orient et de Perse, et ils rapportaient sans doute des yeux de Brouddha avec les livres précieux qui nous ont servi de modèles.

L'Armorial de Lorraine que nous avons publié à Paris, en 1877, dans le t. II, du Héraut d'armes, p. 538, donne à ce nom diverses orthographes selon les manuscrits où nous l'avons trouvé: Oifft ou Oeuft, alliance de Custine,porte de gueules ά la face d'argent.

 

Henrick v̄ Oefte, en 1381, fut, avec son frère Evert, l'un des trente-six fondateurs de l'Ordre des Fous. On trouve l'acte de fondation et les trente-six armoiries dans le livre hollandais:‘Nederlandsche Heraut of Adelyk Tooneel, door Thomas de Rouck,’ p. 161. Voici les noms de ces Chevaliers, que nous retrouvons presque tous dans l'Armorial:

1. Adolf, greve v. Cleve. - 2. Greve v. Meurs. - 3. Dirk

[pagina 182]
[p. 182]

v. Eyl. - 4. Heer v. Megen. - 5. Arent Snoeck. - 6. Bellinchaven. - 7. Willem v. Vorst. - 8. Otto v. Hall. - 9. - Jan V. Bylant. - 10. Reynolt v. Reys. - 11. Evert V. Ulst. - 12. Greve v. Meurs. - 13. Willem v. Loel. - 14. Henrich v. Oefte. - 15. Rutger v. Doorninck. - 16. v. Ameyde. - 17. Holtmolen. - 18. Jan v. Hetterscheide. - 19. Willem v. Abcoude. - 20. Henrick v. Byland. - 21. Buederick. - 22. Seno v. Schulenborg. -23. Hein. v. Diepenbroek. - 24. Herbert v. Leeuwen. - 25. Willem v. Roede. - 26. Evert v. Oefte. - 27. Gerrit v. Ossenbrock. - 28. Jung Bernt v. Ingenhave. - 29. Aelf v. Wylaechen. - 3o. Ernst v. Stoemey. - 31. v. Grutterswyk. - 32. Otto v. Bylant. - 33. Jan v. Bylant. - 34. Jan v. Bronkhorst. - 35. Jan v. Kuekehem. - 36. Valrame v. Benthem.

 

M. Fahne, dans sa Noblesse de Cologne, t. I, p. 3io, a donné sur la maison d'Oeuft quelques détails que nous rappellerons plus tard dans l'Armorial.

Remarques

Nous avons dû nécessairement confier la révision de nos épreuves avec le texte original a d'infatigables professeurs des Universités beiges et hollandaises, et les difficultés que présente le texte peuvent être interprêtées de plusieurs manières. Nous présentons donc au lecteur des corrections à faire, et nous indiquons quelques licences poétiques de l'original; nous ne voulons pas corriger des fautes qui n'en sont pas, mais indiquer, à ceux qui étudient, les formes ordinaires que le texte pourrait avoir.

 

Vers 5, au lieu de: myns, lisez: myn.

[pagina 183]
[p. 183]

Aux vers 7 et 8, 72, 96, 131, 149, les mots kun, gun, daet, dact, onversaecht, haet, gewaecht, na et d'autres ailleurs, devraient être marques d'un accent.

Vers 14, au lieu de: helles, lisez: heelts.

Vers 19, au lieu de: aen begin, lisez: aenbegin.

Vers 40, au lieu de: Sins, lisez: Siins,

Vers 46, au lieu de: Yngelsche, lisez: Ynghelsche.

Vers 49, au lieu de: wender hant, lisej: werender hant.

Vers 58, au lieu de: uusser weelt, lisez: uuserweelt.

Vers 87, au lieu de: da, lisez: dat.

Vers 91, au lieu de: vilder, lisez: vil der.

Vers 97, au lieu de: Thorinis, lisez: Thorniis.

Vers 99, au lieu de: laghen, lisez: laghe.

Vers 132, au lieu de: Scaden, lisez: Staden.

Vers 135, au lieu de: Willaen, lisez: Willoen.

Vers 137, au lieu de: generende, lisez: gerende.

Vers 144, au lieu de: En, lisef: Eir.

Vers 159, au lieu de: kuninck, lisez: kunninck.

Vers 175, au lieu de: weden, lisez: weder.

Vers 186, au lieu de: becant, lisef: bicant.

Vers 187, au lieu de: tsan, il faudrait lire: tsam.

Vers 190, au lieu de: Tsoden, lisez: Tso den.

Vers 191, au lieu de: Yiflant, lisez: Liflant.

Vers 195, au lieu de: van biden, lisez: Uun biden.

Vers 197, au lieu de: Zwoeren, lisez: Zi voeren.

Vers 199, au lieu de: Hatte da zo, lisez: Hatte da tzo.

Vers 203, au lieu de: gewanghen, lisez: gevanden.

Vers 205, au lieu de: vum, lisez: uum.

Vers 214, au lieu de: eere von, lisej: eere uum.

Vers 217, au lieu de: ich vus, lisez: ich uus.

Vers 221, au lieu de: daem, lisez: dem.

Vers 226, au lieu de: obder, lisez: oder.

Vers 233, au lieu de: Vus, lisez: Uus.

Vers 235, au lieu de: vus, lisez: uus.

Vers 238, au lieu de: voirseit, lisez: versiet.

Vers 240, au lieu de: vuem, lisez: uuem.

[pagina 184]
[p. 184]

Page 37, vers 147-148, l'imprimeur a ajouté sous presse deux accolades que nous n'avions pas indiquées: Les deux vers manquaient, de la vient l'erreur.



illustratie


Vorige Volgende

Footer navigatie

Logo DBNL Logo DBNL

Over DBNL

  • Wat is DBNL?
  • Over ons
  • Selectie- en editieverantwoording

Voor gebruikers

  • Gebruiksvoorwaarden/Terms of Use
  • Informatie voor rechthebbenden
  • Disclaimer
  • Privacy
  • Toegankelijkheid

Contact

  • Contactformulier
  • Veelgestelde vragen
  • Vacatures
Logo DBNL

Partners

Ga naar kb.nl logo KB
Ga naar taalunie.org logo TaalUnie
Ga naar vlaamse-erfgoedbibliotheken.be logo Vlaamse Erfgoedbibliotheken