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Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome I 1552-1565 (1841)

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Titelpagina van Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome I 1552-1565
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non-fictie

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non-fictie/brieven
non-fictie/geschiedenis/Opstand


© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome I 1552-1565

(1841)–G. Groen van Prinsterer–rechtenstatus Auteursrechtvrij

Vorige Volgende

† Lettre LXXVII.
Le Duc de Wurtemberg au Landgrave Philippe Conduite à tenir par le Prince d'Orangedans sa Principauté.

*** Le Duc avoit été consulté par la Lettre du Landgrave du 28
[pagina 218]
[p. 218]
Ga naar margenoot+févr., écrite également à l'Electeur Palatin: ‘..Und wiewol solches ein groszer wichtiger handell, so wollen E. L bedencken wie die sachen zuthun; dan, wirdt der Pabst mit dem Printzen zue Uranien das spiell anfangen und ermeltter Printz nicht hilff und trost befinden sollte, hetten wir sorge, wan es dem Pabst mit dem Prinzen gerithe, es möchte dan weiter lauffen.... E.L. wollen dieses also in guttem vertrawen und geheim bei Iro pleiben lassenn; dan E L. können bedencken, so es offenbar wurde, was dem Printzen zu Uranien daruf stehen möchte....’ († MS. C.).
Le Landgrave envoya cet avis au Prince d'Orange par une Lettre de Cassel, le 19 mars.

...Wie E.L. unsers raths, wasz sichermelter Prinz vonn Uranien hierinnen verhalten möcht, freundtlich begeren, köndten wir aber desz orts s.L. nit woll etwasz [sichers] rathenn, diweil wir nit wiszenn ob Uranien inn des Pabsts gebit, so man nent terra de Avignon, oder inn der Cronn Franckreich liegt. Woll ist unsz bewust, das dasz Herzogthumb Uranje vonn Franckreich zu lehen gehetGa naar voetnoot(1), aber esz hat der enden inn dem Delphinat unnd der Graveschafft Provinz, darzwischenn dan Uranien und Avignon gelegenn, andere gebreuch, Statuten und ordnung, dann sonnst andere örten in Franckreich. Wo nun solch Urannje under Franckreich gelegenn, so habenn sich sein, desz Printzen, der ende underthänen, der CapitulationGa naar voetnoot(2), so vergangenn jars mit dem vonn Condé und seinen adheranten ufgericht, auch zu behelffenn. Dasz aber der endenn dem pfaffen werck ir hantirung ufgehabenn und dargegenn prediger ufgestelt, auch den geistlichenn ir rendt unnd zinsz entzogenn und inn

[pagina 219]
[p. 219]

Ga naar margenoot+anderweg verwendt werdenn sollen, wie esz dann der Pabst selbst anziehenn thuet, da heltenn wir inn unser einfalt darfür dasz gedachter Printz, zuwidder der Capitulation und auch zu verhütung mehreren und gröszernn unrath, den pfaffen ir gauckelwerck zu treibenn nit verhinden, sondernn gestattenn und zulaszenn; auch ob inenn wasz vonn irem einkömmen eingezogenn und gesperret, widerumb vervolgenn laszenn solte, doch dasz darnebenn s.L. dasz wort Gottes auch rhein und lauter (wie dann derenn die angeregte Capitulation sollchs zugibt) predigenn liesze, welchs er, unsers ringennGa naar voetnoot1 verstandts, jegenn Gott, beidenn Köningen, Franckreich und Hispanien, auch sonst mit gutem geweiszenn könte verantworten; dartzu auch der Bapst s.L. mit seinen teuffelschen practicken, nit weiters wörde können zukommenn: dann dasz s.L. bestimpter örten mit der Gots huelff geleistet solte werden, dasz köndenn wir bey unsz nit rathsam befindenn... Datum WirtingGa naar voetnoot2, den 9 Martij.

Christoff, Herzog zu Würtenberg.

Ann Hernn Philipszenn, Landtgraven zu Hessen.

L'Electeur Palatin répondit, de Lerbach, le 9 mars: ‘......Uns ist des Bapsts fürnemen gegen denjenigen so seiner abgötterey zuwider sich am Christum ergeben, und Seinem Wort raum und platz vergönnen wollen, nicht seltzam zu hören.’ Il ne sait pas la situation de la place; croit qu'on feroit bien d'en écrire ‘zeitungsweisz, durch ein privat person,’ à Zurich et Berne, ‘als anrurende und dem feuer gesessene.’ Il se plaint des divisions entre les ‘Evangelische Stennde’ (* MS. C.).
Le 13 mars Granvelle partit. Le 11 il écrit de Bruxelles à
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[p. 220]
Ga naar margenoot+l'Empereur que, profitant d'un congé, il se rend avec son frère, M. de Chantonay, en Bourgogne, pour voir sa mère; peut-être pendant son absence les Seigneurs rentreront au Conseil d'Etat († MS. B. Gr. x. p. 146).
Généralement on suppose et même l'on affirme que cette déterminatien fut le résultat d'un ordre secret du Roi, porté par Armenteros (p. 214).
Hopper rapporte que le choix du Cardinal se trouva d'accord avec le désir du Roi: ‘doubtant plus grand scandal publicq, et semblablement le péril de sa personne, ayant plusieurs fois été menacé d'aucuns particuliers, fust enfin d'advis, avecq le bon plaisir et volunté secrète de sa M., de se retirer.’ Strada dit simplement: ‘inter multa Principis jussa quae Armenterius attulit, prima fuit evocatio Cardinalis e Belgio, in quam Rex consensit ad extremum:’ I. 161. Et J.B. de Tassis: ‘tandem Rex eo spe quietis ac necessitate adductus est ut Granvellanum mandaverit Belgio excedere: paruit ille.’ I. p. 134. - De même dans le Procès des Comtes d'Egmont et de Hornes: ‘sa M., advertie des grands dangiers que luy cstoient préparez et des practiques et conspirations faictes contre sa personne, ainsy pour ne perdre le fruict du bon et fidèle service du dict personnaige, elle le feit retirer en Bourgoigne.’ I 28.
Et toutefois la résolution du Cardinal fut spontanée. En butte aux préventions, à la haine, aux menaces, il crut devoir s'éloigner durant quelque temps, dans l'intérêt du Roi et pour sa propre sureté.
Mais comment expliquer un concours de témoignages contraires qui semblent dignes de foi?
D'abord par la coïncidence du départ de Granvelle avec l'arrivée récente d'Armentéros.
Ensuite parcequ'on croit bientôt ce qu'on désire. Le désir ici étoit presque universel. La Gouvernante même trouvoit la présence du Cardinal embarrassante et dangereuse. Depuis longtemps on espéroit que le Roi, voyant que son ministre étoit une occasion de mécontentement et de désordre, lui enjoindroit de partir. Le voyant céder, l'on ne douta point que ce ne fût en vertu d'un ordre positif. Ses antagonistes accneillirent avec empressement cette idée;
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[p. 221]
Ga naar margenoot+leur triomphe en fut doublé. Bientôt circulèrent des anecdotes tendant à faire paroitre Granvelle digne de mépris. C'est ainsi que Lorich raconte sa colère à la réception des ordres du Roi (p. 228). On ajoutoit foi aux bruits même les plus absurdes. Van Reid écrit: ‘vóór syn vertreck demoedichde hy sich seer teghen den Prins van Oranien en den Grave van Egmond om met hun te versoenen, aenbiedende dat hy hun in alles wilde te ghemoet komen, ja voor hun op die knyen vallen en om vergiffenis bidden, indien hy yet teghens haer misdaen hadde:’ p. 2. Nous disons volontiers avec Schiller: ‘Es ist klein und verächtlich das Gedächtnisz eïnes auszerordentlichen Mannes mit einer solchen Nachrede zu besudeln.’ Van Reid convient lui-même: ‘hierin hadden de Nederlandsche Heeren ongelyck dat sy meest met wellusten bancketteerdenGa naar voetnoot1, en onordentlyck leven haren tydt verslytende, eenen vreemdelingh plaets en gelegentheydt gaven die beleydinghe van alle ghewichtighe saecken aen sich te trecken, als wesende kloeck arbeydtsaem en van groote ervarentheydt: l.l.
La chose n'est plus problématique; la Correspondance du Cardinal ne laisse aucun doute.
Le Roi n'étoit pas disposé à céder. Le Duc d'Albe avoit fortement déconseillé le rappel (p 176, in f.). Encore le 23 déc. Philippe II, écrivant à la Duchesse de Parme, parle en bonne part du Cardinal et engage à mettre en oeuvre tous les moyens possibles pour le réconcilier avec les Seigneurs (MS. B. Gr. ix. p. 222).
Il ne céda point.
Granvelle partit sans ordre du Roi: p. 246.
Les réprésentations de M. de Chantonay le décidèrent (voyez la Lettre de celui-ci, du 19 août 1565).
Il demanda un congé à la Duchesse: p. 254.
Le Roi apprit avec peine sa détermination. Il comptoit sur son retour prochain: l.l.
Le Cardinal avoit la ferme intention de revenir sous peu; au commencement de juin (p 236). Le 14 juillet 1565 il écrit à M. d'Ostrewich: ‘reverá opinabar me paulo post rediturum’ († MS. B. Gr. xix. p. 47).
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[p. 222]
Ga naar margenoot+La joie des Seigneurs fut extrême: ‘ejus inimici qui in Senatu erant, non aliter exultavere quam pueri abeunte ludimagistro:’ Vita Viglii, p. 38. La Gouvernante aussi sembloit satisfaite: ‘servitutem excussisse sibi visa est, cum antea nihil magnum nisi ex ejus consilio resolvere solita esset:’ l.l.

Le Prince d'Orange s'efforçoit d'obtenir trois choses.
1. La réunion des Etats-Généraux.
2 L'augmentation du pouvoir du Conseil d'Etat. L'influence bornée de ce Conseil avoit été un des principaux griefs contre le Carnal. ‘Impossible de remédier aux désordres, à cause des dissentions qui estoyent entre les trois principaux Consaux, d'Estat, Privé, et des Finances, tous trois en effet maniez et gouvernez par le Cardinal et ses créatures, tellement qu'entre'eux n'y pouvoit avoir de correspondence.... Les autres du Conseil d'Estat, qui n'estoyent des siens, estoient entièrement privez de l'accès et intelligence des Finances et de la justice, où toutes ordonnances politiques et autres se décretoyent:..... par où il retenoit et establissoit tant plus son autorité..... Luy et le Président Viglius avoyent la superintendence sur tous les troix Consaulx, comme si de droit loute authorité appartint à luy et aux siens, et que ce fût au contraire crime et délict exécrable aux autres de requérir qu'on transporta une partie de la ditte authorité, non en nous, qui offrions de nous départir du Conseil, mais en un entier et souverain Conseil:’ Justif. p. 183. - Granvelle parti, le Prince insista sur ce que ce Conseil ‘estoit ou du moins debvoit estre le chef de tous les aultres, et par conséquent avoir et tenir la surintendence de l'entier gouvernement.... Advint que peu à peu plusieurs des négoces qui devant souloient estre traictez au Conseil Privé ou en iceluy des Finances, en faisant relation des choses plus importantes et principales à la Duchesse par voie ordinaire, furent tirez au Conseil d'Estat et traictez par voie extraordinaire:’ Hopper, Recueil, p. 39. ‘Cum de majoribus causis in Secreto Consilio discussis, Praeses, secundum ordinationes ejusdem, Gubernatrici relationem facere soleret, ipsa Ducissa ad Consilium Status eam, juxta postulationem Principis Auriacensis.... rejecit; unde accidit ut causae Religionis, Inquisitionis, Edictorum, executionis
[pagina 223]
[p. 223]
Ga naar margenoot+Decretorum Concilii Tridentini, controversiaeque novorum Episcopatuum ac similes in Consilio Status proponerentur:’ Vita Viglii, p. 39.
3. La modération des Placards: ‘ne souffrant le temps d'user de telle rigueur, comme jusques ores l'on avoit faict, sans toutesfois aucun proffict:’ Hopper, Recueil, p 41.

Viglius écrivoit déjà le 20 mars au Cardinal: ‘Je ne sçay comment l'on le sçaura si bien faire que les trois Seigneurs ayent contentement. Et, pour ma part, vouldrois que je fusse.... aller en Bourgogne pour boire du bon vin de M. le Cardinal et leur laisser leur règne icy’ (MS. B. Gr. x. p. 200).

margenoot+
1563. Mars.
voetnoot(1)
gehet: voyez p. 212.
voetnoot(2)
Capitulation. Paix d'Amboise du 19 mars 1563.
margenoot+
1564. Mars.
voetnoot1
geringen.
voetnoot2
Würtingen (village dans le Würtemberg).
margenoot+
1564. Mars.
margenoot+
1564. Mars.
voetnoot1
bancketteeren (?).
margenoot+
1564. Mars.
margenoot+
1564. Mars.

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Over het gehele werk

titels

  • Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série)


auteurs

  • over Viglius van Aytta

  • over Willem van Oranje


landen

  • over Spanje

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  • over Frankrijk


Over dit hoofdstuk/artikel

datums

  • 9 maart 1564