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Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome I 1552-1565 (1841)

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Titelpagina van Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome I 1552-1565
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Genre

non-fictie

Subgenre

non-fictie/brieven
non-fictie/geschiedenis/Opstand


© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome I 1552-1565

(1841)–G. Groen van Prinsterer–rechtenstatus Auteursrechtvrij

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[pagina 270]
[p. 270]

† Lettre LXXXVIe.
Ga naar margenoot+Le Cardinal de Granvelle à Viglius. Il lui déconseille de prendre sa démission (MS. B. GR. XIII. p. 2).

*** Cathérine de Médicis, que les exigences des Calvinistes avoient plus d'une fois effarouchée, se rapprochoit sensiblement des Catholiques. Le 20 juin Granvelle écrit à la Duchesse: ‘....La Court de France démonstre, ou soit à bon escient, ou chose feincte, de vouloir entièrement restaurer la religion Catholicque, cognoissant enfin que sans ce l'authorité du Roy de France ne se peult remettre sur les piedz....’ († MS. B. Gr. xii. p. 227). Et quelques jours plus tard: ‘Tout y vad fort à l'advantage des Catholicques que je tiens procéde de ce que la Royne sent les practicques des Huguenots et de leurs ministres et cognoissent jà, et elle, et ceulx qu'ont le crédit, que l'authorité du Roy très-Chrestien ne se peult ny restaurer ni maintenir avec les deux religions, ny sans expressément soubstenir la Catholique, et si les choses de la religion passent bien en France, se sera un grand moyen pour pouvoir espérer que ce qu'il y peult avoir de mal par delà se pourra aussi aysément, à l'ayde de Dieu, remédier; et mesmes avec la vigilence et diligence de v. Alt., qui continuellement y doibt avoir regard...’ († MS. B. Gr xiii. p. 9). Et le 13 juillet à M. de Bollwiler: ‘....Bien apperçoys-je que à l'accoustumé les choses vont variant, qne ne me semblera nouvelleté, estant en France au temps d'ung Prince si jeusne et y ayantz les femmes si principal gouvernement, et ne s'en peult riens asseurer de certain, ains seullement considérer ce que succède au jour la journée...’ (†MS. B. Gr. xiii. p. 81). Le Cardinal ne se fioit point aux François. Le 2 juillet il écrit à la Duchesse de Parme qu'on a volé le chifre à l'Ambassadeur d'Espagne à Paris: ‘je tiens que ce soit esté par commandement de plus hault: ce sont traictz ordinaires François, qui, quant ils flattent, ont desseing de tromper....’ († MS. B. Gr. xiii. p. 9). De même Mad. de Bréderode écrit, le 2 juillet, au Cardinal: ‘quand les François montrent bon visage, on est asseuré qu'ils couvent quelque chose de mal’ (MS. B. Gr. xiii, p. 11).
[pagina 271]
[p. 271]

Ga naar margenoot+....Ne debvons craindre cette armée de France, estant aux termes que vous avés entendus par lettre du Seigneur Dom Francis de Alava, que je ne répèterai: enfin le sousténement de l'autorité du Roy les feict favorables à la religion, et si ce poinct va bien en France, il ne pourra sinon aller bien par delà, continuant le Roy et Madame de montrer qu'ils veuillent que la dite religion se soustienne. J'apperçois bien que, si les choses de la religion alloient mal en France, les choses se préparent fort par delà, pour suyvre le mesme chemin, et ce que quy vous sçavés dict si souvent et l'a dict passé trois ans que à copper tant de testes l'on n'a profité rien et qu'il faut prendre un autre chemin, vad par là assés cler; et il se cognoistra mieux, si l'on se laisse vaincre à assembler les Estats en la manière que quelqu'un vouldroit...

Il me desplaira que mon absence ne profite à quelque chose, du moings faiz-je tout ce que je puis à ce qu'elle serve, et pour ce donner temps, et sents très-fort que les aydes et les grandes offres ne s'accordent avec meilleurs effectz; ce que plus je sentiroye, seroit que la religion, la justice, et aultres choses importantes en souffrissent; de la reste je recoivz grand plésir que les Seigneurs s'esvertuent tant à faire la court à son Alt.Ga naar voetnoot(1); à cela je ne vaulx plus rien, synon pour demeurer en une chambre bien attaché aulx papiers et aulx livres.

Certes vous auriés tort, et le feriés grand à vous mesmes et aux vostres, d'abandonner maintenant tout, et, ores

[pagina 272]
[p. 272]

Ga naar margenoot+que je m'entretienne icy, et pour mes affaires et pour bon respect, et veoir sy mon absence pourra de quelque chose servir aux affaires, et, quoy que je me résolve et en escripve, sy suis-je délibéré, quand il sera de besoing, quoiqu'en puisse advenir, oyres qu'il y allast la vie, retourner; et désire veoir ce que ce mois de juillet et d'aougst porteront, pour me gouverner selon ce, et ne vous abandonneray ni fauldray à faire doiz icy de mon coustel ce que vous m'advertirez, et envers le Roy et par delà, advienne ce que vouldra, me tenant ainsy icy sans bruyt. Je n'entenz pas que vous doibviez faire profession d'escrire en Espaigne pour contredire tout ce que se faict, ny que par escrire vous mettez Madame en jalousie, mais que vous temporisiez, sans expressément consentir chose maulvaise, allant vostre chemin et vous entendant avec Mr de Barlaymond, qui monstre comme qu'il soit tousjours zèle au service du maistre, et tant que vous pourrez envers Armenteros; et que, sy vous véez que l'on entre en chose que peuit pourter trop de préjudice, afin qu'il ne puisse charger sur vous cy-après, que, comme vous escripvez quelqueffoys an Roy d'aultre chose, vous advertissez avec modestie, suppliant que, sans vous faire autheur, il en escripve à Madame et à vous-mesme, pour y procurer remède; que, à mon advis, est chose saincte ainsy prinse et nécessaire pour obvier à plus grand mal, et c'est ainsy que j'ai voulu entendre que pourriés escripre et ne craignez que quy que ce soit vous puisse procurer le congé, sy vous-mesme ne le demandez, et encores, le demandant, ne le vous donnera-t-on pas voulontiers. Je sçay fort bien ce que je diz, et se sentiroit sa Mat que, contre ce que lui avez promis, vous partissiés devant sa venue; aydez-

[pagina 273]
[p. 273]

Ga naar margenoot+vous de Mr Hoppérus et de quy plus il vous semblera, mais regardez quant aux aultres de faire bonne élection, et advancez et retirez selon que à l'action vous cognoistrés chacun, et puisque vous avez les vieux papiers en main et ceulx qui courrent maintenant et le sceaulGa naar voetnoot(1), nul ne vous peult nuyre; gardez-vous de non fier les dits papiers à personne, synon à [mesure] et à ceulx dont vous vous pourrez fier.... Je me suis résolu leur donner ce contentement que de publier que je ne faiz mon compte de retourner par delà que sa M. n'y vienne, n'est qu'icelle me commande expressément aultre chose. Aussy convient-il pour ma seureté, quand je devroys demain partir.... OrnansGa naar voetnoot1, 1 juillet.

margenoot+
1564. Juillet.
margenoot+
1564. Juillet.
voetnoot(1)
son Alt. Le 2 juillet Granvelle lui écrit: ‘Je crains fort que, avant qu'il soit longtemps, v. Alt. s'apercevra que l'on n'use en son endroit de la sincérité que sa vertu et sa bonté mérite’ († MS. B. Gr. xiii).
margenoot+
1564. Juillet.
margenoot+
1564. Juillet.
voetnoot(1)
sceaul. Du reste, ‘cum Praeses in sigillandis diplomatibus difficultatem nonnullam faceret, alias invenere artes, quibus authoritatem sigilli eluderent;’ Vita Viglii: p. 39.
voetnoot1
petite ville au S.E. de Besancon.

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  • Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série)


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  • over Viglius van Aytta

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Over dit hoofdstuk/artikel

datums

  • 1 juli 1564