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Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome I 1552-1565 (1841)

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Titelpagina van Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome I 1552-1565
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Genre

non-fictie

Subgenre

non-fictie/brieven
non-fictie/geschiedenis/Opstand


© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome I 1552-1565

(1841)–G. Groen van Prinsterer–rechtenstatus Auteursrechtvrij

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Lettre CVIII.
Le Comte H. de Brederode au Prince d'Orange. Affaires particulières.

Monsr. Comme j'ey dépêché ce myen conseiller pour pourchasser l'otroye de mon dyquage que vous savés, duquell il vous pleust nous apoyincter, monsr d'AssendelftGa naar voetnoot(1) et moy, dernyèrement à Amsterdam; l'octroye que je désyre n'est pas que de pleyn pouvoyr je ne le puysse à cet heure fayre, comme estant le tout et tout myen: mays ce que je désyreroys, ce seroyct seullement que, sy je vynsse de vye à trespas sans aulcuns légystyme, que l'on ne mysse à mes successeurs ou herystyés an avant quelque motifs de movés fyeffs, ou que tout fusse movés fyeffs, ce que toute foys j'espéreroys que par justyce il n'y oryont nulle resons, ny droyct, mès pour poynct les lésser à ses termes après mon trespas et aussy que ne voldroyt amplyerGa naar voetnoot1 mes denyers à ungne chose sy scabreuse et

[pagina 384]
[p. 384]

Ga naar margenoot+après lytygyeuse, j'ayme mieus par bon moyen an avoyr ungne bonne fyn, vous supplyant, Monsr, que, s'yl vyent à propos me fayre ce byen, de vouloyr prendre la payne vous y amployer et de dyre ce que an avés veu, ansamble au danger que mestans nos denyers et aussy ce fesant, que le grand byen que fesons à tout le pays et au demeynnes du Roy, duquell tant plus serast son pays habyté, tant plus vouldrontGa naar voetnoot1 elles. Je suys atandant aussy, Monsr, journellement de vos nouvelles, aultrement y ast lontamps que me fusse trouvé par devers vous, ne fust que Monsr le Duque désyre antyèrement de venyr icy et désyreroyct fort avoyr ce byen vous y voyre, anssamble monsr d'Egmont, et d'effect m'ast anvoyé ung gentyllomme, lequell je retyens icy jusque j'orey repceu de vos nouvelles, et désyr à savoyr le dit Duque quant je le voldrey querreGa naar voetnoot2 pour son venyr icy, et aussy le tamps que panssés vous y trouver. Je ne sey que luy mander, sans savoyr de vous deus vos bons plésyrs. Je pansse byen que les choses ou affayres ne sont an tels termes que ayés grant loysyr vous promener. Sachant vostre voulloyr, ne fauldrey de luy escripre et après me trouver auprès de luy, savoyr ce que il serast an intention de fayre ou ce que il voldrast me commander; ou aultrement, vous congnessés l'homme, il y oroyct assés à grogner pour toute ma vye. Je n'ay vouslu délesser aussy, Monsieur, de vous escripre la joly chanson que l'on a fayct à Amsterdam de vous et de moy.... J'antemps que cest canaille son plus dyscort et anflambé les uns sur les aultres quy ne furent onques. Je voy que, sy l'on n'y mest remède, tout n'an vauldrat ryen. Il font coureGa naar voetnoot3 le bruyct

[pagina 385]
[p. 385]

Ga naar margenoot+que y devés estre de bryeff de retour; je le voldroye et que ce fusse aveque telle otoryté, que il sentyssyons que vous y fuyssyés venus, aultrement les bélyctresGa naar voetnoot1 ne vallent la payne. Je suys journellement trectant avecque mes subgésGa naar voetnoot2 pour trouver moyen pour nostre fortyfycatyon et les trouve tous fort vollontayres, de sorte que je pensse et ne fays doubte que le moyen ce trouvera lygèrement et que de bryeff nous nous metrons à l'ouvrage, et pansse vous anvoyer le tout mesuré au petyt pyet et l'assyeste de la vylle byentost, affyn que il vous plèse me fayre tant d'onneur m'an anvoyer vostre desseynGa naar voetnoot(1); ayant icelluy, je ne sessereyGa naar voetnoot3 que ne vous vous aperceverés byentost de nostre besongne..... De vostreGa naar voetnoot(2) méson de Vyanne, ce 21me jour de Junij 1565.

Vostre très obéyssant serviteur et vray amys à jamés,

H. de Brederode.

Je vous supplye, Monsr, d'avoyr ung petyt mot de nouvelles: ma famme AmalleGa naar voetnoot(3) vous bèse les mayns.

A Monsieur Monsieur le Prince d'Oranges Conte de Nassau.

voetnoot(1)
d'Assendelft. Corneille d'Assendelft, Sgr de Goudriaan, ou Nicolas, Sgr d'Assendelft; tous deux prirent part en 1566 à la Confédération: te Water, Verbond, II. 162, sqq.
voetnoot1
employer.
margenoot+
1565. Juin.
voetnoot1
vandront.
voetnoot2
quérir.
voetnoot3
courir.
margenoot+
1565. Juin.
voetnoot1
sujets.
voetnoot2
mi-érables, gueux.
voetnoot(1)
vostre dessein. Le Prince ayant donné son avis, fut accusé en 1567 de lèse-Majesté pour avoir aidé le Comte à fortifier Vianen contre le Roi. Il répondit que le Comte avoit le droit de fortifier une Ville qu'il possédoit en toute Souveraineté; mais que d'ailleurs lui, Prince, n'avoit donné avis ‘sur le principal point, assavoir si la fortification se devoit faire ou non, dont le Seigneur de Bréderode ne faisoit doute ny difficulté aucune, ains seulement sur la qualité et la forme de la fortification:’ Défense, p. 187.
voetnoot3
cesserai.
voetnoot(2)
vostre. Apparemment en signe de dévouement et de respect.
voetnoot(3)
Amalle. Amelie, Comtesse de Nuenar, cousine du Comte Herman; après la mort de Bréderode, épouse de Frederic III, Electeur Palatin.

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  • Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série)


auteurs

  • over Viglius van Aytta

  • over Willem van Oranje


landen

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Over dit hoofdstuk/artikel

auteurs

  • Henrik van Brederode


datums

  • 21 juni 1565