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Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome II 1566 (1835)

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Genre

non-fictie

Subgenre

non-fictie/brieven
non-fictie/geschiedenis/Opstand


© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome II 1566

(1835)–G. Groen van Prinsterer–rechtenstatus Auteursrechtvrij

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Lettre CXXXIII.
Le Comte de Hoogstraten au Comte Louis de Nassau.

*** La résolution qu'avés prins par l'advise de Messieurs le Prinche et Conte de Hornes est sans doute celle de présenter la requête. Cette résolution fut donc prise quand le Prince fut revenu à Bréda. Le Comte de Hornes dans sa Défense (Procès d'Egmont, I. 154.) écrit au sujet des conférences de Bréda et de Hoogstraten. ‘Et n'oyt lors le dit Défendeur parler de nulle Requeste, mais bien d'une confédération ou ligue, et n'y fut lors présent Monseigneur de Bréderode.’ Le Comte ne se sera peut-être pas cru obligé de tout révéler, mais en outre ceci peut se concilier avec ce que nous lisons ici, puisqu'en effet ce ne fut qu'après le retour de Hoogstraten que la chose fut décidée. Il est bon de remarquer le mot deux fois répété de lors, et ce qui suit immédiatement dans la défense. ‘Et depuis le Défendeur partist vers Breda pour se retirer à Weert.’ Le Comte de Hornes aura donc aussi appris la chose à Breda.
[pagina 52]
[p. 52]

Ga naar margenoot+Le Prince n'avoit pas trouvé mauvais que la requête fut présentée (Voyez p. 41). C'est à tort qu'on a cru trouver sous ce rapport une différence entre ses aveux en 1568 et 1581, car dans la Défense il désapprouve la conféderation, et dans l'Apologie c'est de la requête qu'il s'agit. Il est bien vrai qu'au sujet de la conférence de Hoogstraten il s'expliquoit en 1581 plus ouvertement et qu'il ne disoit pas alors, comme dans sa première défense: ‘Nous nous en raportons aux Seigneurs qui ont esté à Hoochstraten quand y estions, s'il y eut autre question que de faire bonne chère, et nous entrevoir, et festoyer quelque Seigneurs estrangers, comme amis et alliés par ensemble.’ Le Petit, p. 186.b
Il paroit que malgré les avis du Prince, on se disposoit à venir bien accompagné. Selon les Comtes de Meghen et d'Egmont on avoit résolu d'envoyer vers son Alteze environ mil et cinq cents hommes d'armes. Hopper, Mém. 70. On tâchoit de s'assurer des Compagnies d'ordonnance, composées en grande partie par la Noblesse. ‘Centuriones et signiferi obstricti sunt .... Scio quoque Henricum Brederodium in Ordinariae turmae signiferum strinxisse ferrum, quod sacramentum accipere detrectaret.’ Burgundus, 117. Il se peut que cette particularité soit fausse, mais le fond de la chose est réel; et c'est sans doute de ces compagnies qu'il s'agit ici. Il existe une lettre du Duc d'Alve où il desire avoir ‘par escript tous les noms de ceux de la bende de Mons.r d'Egmont, qui ont esté du compromis ou assisté à la présentation de la requête.’ Te Water, IV, 302. Et dans l'ajournement du Comte Louis de Nassau on lit: ‘Le Comte seroit venu présenter la Requeste à nostre très aimée soeur la Duchesse de Parme ...... tumultuairement et incivilement; ayant le dict Conte auparavant mandé de son authorité privée quelques bandes d'ordonnance pour intimider nostre dicte soeur.’ l.l. 243.

Monsieur, je ne vous scauroy assez remerchier de la prime advertanche que estez servy de me faire sy particulièrement de la résolution qu'avés prins par l'advis de

[pagina 53]
[p. 53]

Ga naar margenoot+messeurs le Prinche et Conte de Hornes, les quels m'asseure n'out reins plus devant les yeux, que le service du Roy et le maintoinement de ses pays, et [ainsir] certes croyeroy bien q'une belle remonstrance serviroit de beaucoup d'estre faicte, et quandt serat preste, et myse au net, seray bein ayse que m'en faissiez part comme sluyGa naar voetnoot1 quy vouldroit tousiour tenir la main que entreprendissies chose sy boin fondée, qu'y ny tumbisse dessus juste reprinse;Ga naar voetnoot2 y mest aussy d'advy que allant à Bruxelles ne scauries au monde mieulx faire que de vous bein accompaigner, ce que ne poyes estre, moings ayant à vostre dévotion les quatre Compaignies dont me faictes mention en vostre lettre, oultre les subsignés. Quant aux principaulx de ma compaignie, suis content leur faissies la meisme advertance que aves faict aux aultres, et sy desyrés les mande vers moy, (comme [leurs] ne feront riens sans mon adveu) je feray voluntiers, m'asseurant m'obéiront, et ne feront difficulté à chose si bein faicte, mais vous prye ne faire samblant au Sr. de Lalleyenloye mon Lieutenant, non pas que je ne le tienne pour homme de bein et de service, mais qu'yl est maistre d'hostel de Madame, et qu'en l'un des [fliches] at tousjours porté des lunettes, lesquelle ne scay sy signifient ung [advyse loy]. Sy commandez que sur ce faict ou quelque aultreme retrouve auprès de vous, serez obéy, ou bein s'y vous plaist venir ycy le tiendray en mercede. En cas que vous ne vous voulés servir de la lettre de monsieur de Culenbourgh y de la [réponce] que luy ay fayct, vous prye mela renvoyer. Je vous bayse les mains de ce que m'advertisses de ce que Madame at

[pagina 54]
[p. 54]

Ga naar margenoot+escrípt à monsieur le PrinceGa naar margenoot(1) et de sa [réponsse] à laquelle trouverat asses à morderGa naar voetnoot1, sy elle at des bons dens; quant à moy je n'en ay pas eu, mais sy il se résoult d'yaller, luy présente mon service à l'accompaigner, avecque mes plus que humbles recommendations en sa bonne grâce. A tant, monsieur, vous bayseray les mains de bon ceur, pryant à Dieu vous donner ce que desyres. De Hoochstraten, ce 17 de Mars 1566.

 

Vostre affectyoné et amy frère à vous faire service,

Anthoine de Lalaing.

 

A Monsieur Mons.r le Conte Louys de Nassaw.

margenoot+
1566. Mars.
margenoot+
1566. Mars.
voetnoot1
celui.
voetnoot2
reproche (?).
margenoot+
1566. Mars.
margenoot(1)
‘Pour contenter le Prince d'Orenge et le Comte de Hornes leur furent escriptes trois ou quattre lettres diverses, à ce qu'ilz voulussent retourner au Conseil, et estre présens à l'assemblée de tous les Seigneurs et Gouverneurs.’ Hopper, Mém. 71.
voetnoot1
mordre.

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  • 17 maart 1566