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Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome VIII 1581-1584 (1847)

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Titelpagina van Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome VIII 1581-1584
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Genre

non-fictie

Subgenre

non-fictie/brieven
non-fictie/geschiedenis/Opstand


© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Archives ou correspondance inédite de la maison d'Orange-Nassau (première série). Tome VIII 1581-1584

(1847)–G. Groen van Prinsterer–rechtenstatus Auteursrechtvrij

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† Lettre MCXXX.
Le Duc d' Anjou au Prince d'Orange. Il se plaint des États. (MS. ROY.).

*** ‘De Hertog van Anjou vergaderde wederom eenig volk omtrent Cameryk; waerdoor ook den Prince van Parma van node en was en geraden vand zyne Frontieren omtrent Camerik sterk te besetten, om de uitvallen die die van Camerik deden, in Arthois en Henegouwen, te beletten:’ Bor, II. 398b.

Mon Cousin, suivant la résolution quy fut prise avecq la Royne ma mère à la Fère, je me suis acheminé en ceste

[pagina 253]
[p. 253]

Ga naar margenoot+ville, où j'arrivay hier au soir fort bien accompaigné, et tous les jours il me vient nouvelles forces; meismes toutes les troupes quy estoient en FlandresGa naar voetnoot(1), y doivent arriver dedans deux jours; avecq ce renfort j'espère mectre 1800 chevaux et 8000 hommes de pied en campaigne, qui ne perdront le temps que le moins que je pourray; mais je me plains infiniment de Messrs les Estats, de ce que je n'ay eu une seulle lettre depuis mon partement de Dunkercque. Si je faisois comme eulx, ce que je puis plus légitimement, estant ce que je suis, tout iroit encore plus mal; mais je feray cognoistre à tout le monde, par bonne preuve, qu'il ne tiendra jamais en moy que leurs affaires ne preignent vigeur; c'est à eulx à y penser, pour y estre les plus intéressez; vous priant, mon Cousin, faire en sorte que je sache leur résolution et ce qu'ilz veuillent faire. Je vous donneray par ceste voye le plus souvent que je pouray de mes nouvelles, et pense dedans deux jours veoir ce que feront les ennemiz de ce costé; ce pendant vous me tiendrez pour le meilleur de vos amis .... A Cambray, le 3me jour de septembre 1583.

Vostre très-affectionné cousin,

Françoys.

A mon Cousin Monsr le Prince d'Orange.

Le 11 sept. M. d'Espruneaux écrit aux États-Généraux, pour Ieur rappeler que d'après l'accord (p. 170) fait à Dendermonde, ils avoient de nouveau reconnu le Duc d'Anjou pour Seigneur; selon le véritable sens de la Joyeuse Entrée, laquelle tendoit au redres-
[pagina 254]
[p. 254]
Ga naar margenoot+sement des griefs, sans mettre la Souveraineté en question, et que par conséquent il falloit enfin couper court à leurs tergiversations et à leurs délais. Voici la pièce.
‘Messieurs, il me semble que, sans dilay, debvez regarder voz affaires (les occasions et le temps le requiérent) et vous souvenir combien les longeurs et irrésolutions vous ont apporté de dommaige. Messieurs, vous voyez ce que son Alt. mande et, quelque occasion qu'il aye, suivant le peu de debvoir qu'avez faict en cest endroit, ne laisse de poursuivre à faire ce quy se poeult pour le salut de cest Estat, quy vous doibt faire paroistre le desplaisir de son Alt. de ce quil a passé et le désir qu'il a ne se départir d'avecques vous, chose quy debvroit estre mieulx recognue, veu la qualité du Prince, l'adversité quy vous presse, et la fortune que vous courez.
Surquoy, Messieurs, je vous toucheray quelques poinctz, lesquels me semble ne sont considérez comme il se debvroit. Touchant l'honneur, crédit et autorité des Estats, c'est de tenir les promesses qu'on faict, ce quy les a illustrés et apporté gloire, salut et authorité.
Je ne vous veulx tauxer de deffault, Messieurs, bien qu'estans possédez de passions, vous n'avez pas considéré ce qu'avez promis à son Alt. et tous les poincts du traicté faict à Termonde; duquel traicté ne vous pouvez nullement départir sans causes légitimes, car vous l'avez signé, approuvé et juré solemnellement en plain sénat.
Auquel traicté, Messieurs, recognoissez les tiltres à son Alt. comme les luy donnez et soubz lesquel luy faistes serment, le recevant vostre Prince sans aucune provision; dictes en icelluy que toutes choses passées seront oubliées d'une part et d'aultre, comme non advenues, vivans les ungs avecq les aultres sans recerche ny reproche; quy est, Messieurs, pour satisfaire à vos privilèges touchant les joyeuses entrées; par là doncques, sans doubte, il n'y poeult avoir rien en dispute pour le regard de la principaulté et seigneurie; bien est que vous debvez traicter avecq son Alt. touchant et concernant les poinctz du bien et seureté de l'Estat, ce que son Alt. à très-voluntiers accordé; car on a veu ordinairement, quant il y a eu dispute entre les Princes et leurs subjets, qu'il y a eu traicté pour
[pagina 255]
[p. 255]
Ga naar margenoot+entendre les causes et deffault et pour rendre toutes choses asseureés, mais non poinct toucher à la Seigneurie, sy le Prince ne se monstre estre opiniastre à vouloir exterminer ses subjetz.
Je vous ay allégué au précédent les exemples des Princes quy ont faict comme ce quy a passé et pis, et enfin telles seuretés se sont trouvées que l'amitié a esté plus grande que jamais. - Or, Messieurs, je vous prieray, au nom de Dieu, adviser faire allendroict de son Alt. ce que vous debvez et ne le desdaigner tant, considérant que sans doubte la France est vostre seul salut, et son Alt. irrité, sa puissance n'est si petite qu'elle ne soit à considérer.
Sa dicte Alt. ne poeult demeurer là sans avoir intelligence avecques vous, comme elle est requise: partant envoiez vers luy, afin de le satisfaire, et pour adviser ce que vous désirez qu'on face des forces quy sont là, et pour assoupir toutes les menées artificièles, tant de lettres quyse sèment que aultres choses quy se font à vostre grand préjudice et quy alliènent les affections de quy désirent vous secourir.’

margenoot+
1583. Septembre.
voetnoot(1)
Flandres: ‘de Françoisen metten Marechal Biron syn na Vrankryk gevaren by den Hertog:’ Bor, II. 398b.
margenoot+
1583. Septembre
margenoot+
1583. Septembre.

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Over dit hoofdstuk/artikel

datums

  • 3 september 1583