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Ideën II (1880)

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Ideën II

(1880)– Multatuli–rechtenstatus Auteursrechtvrij

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535.

Of ik ‘mooi’ gesproken heb op dat Congres? Waarschynlyk niet. Ik spreek niet mooi. Maar wel schyn ik goed gesproken te hebben, gedreven als Juvenalis by 't maken van z'n verzen, door verontwaardiging.

 

Ziehier wat ik gezegd heb volgens de officiëele ‘Annales de

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[p. 331]

l'Association internationale pour le progrès des sciences sociales, troisième session, Congrès d'Amsterdam.’

 

Mr. Douwes Dekker (Amsterdam) - Je n'aime pas les discours. Je crois qu'ordinairement ils tendent plutôt à produire beaucoup de paroles qu'à faire percer la vérité, et je viens d'en constater une nouvelle preuve. Le dernier orateur si éloquent m'aurait presque séduit, et entraîné à me ranger sous la bannière du parti libéral, si je ne préférais me ranger sous la bannière des gens de coeur. (Murmures)

Je n'ai pas parlé des libéraux, messieurs, j'ai parlé du parti libéral. J'attaque la politique, mais non les personnes. Je n'ai pas besoin de dire que je respecte l'orateur qui descend de cette tribune: je viens de lui tendre la main.

Il est très difficile de parler dans cette enceinte, et je ne suis pas éloigné de croire que la prévoyance touchante du comité d'Amsterdam a choisi ce local pour empêcher que la vérité, qu'on n'a pu tuer, parvienne à faire entendre sa voix. (Murmures) Ga naar voetnoot*

Je suis responsable de ce que je dis. Il y a quatre ans que mes écrits ont été publiés en Hollande. Il vous est très facile de m'empêcher de continuer, mais j'affirme que jusqu'ici, parmi ceux-là même qui étaient appelés personnellement à me combattre, aucun ne m'a répondu. (Interruption).

Je reviens à la question: quelle a été, et quelle doit être l'influence des sciences économiques sur le regime colonial? Vous comprenez que dans cette enceinte, et dans le court espace de temps dont je dispose, pressé par les remarques qui bientôt me viendront du bureau, il m'est impossible de traiter cette question à fond. A la question: quel a été l'effet des sciences économiques sur le regime colonial? je réponds, en me bornant à la Hollande: il a été nul. Ga naar voetnoot† Je vous le demande, quelle pouvait être, avant,

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[p. 332]

1830, l'influence de la science économique sur la manière de conduire les affaires, au divan du dey d'Alger?

Ce que je dis, je l'ai écrit, et l'on ne m'a pas répondu. On me demande des preuves. Voulez-vous que je vous raconte l'administration sanglante, s'il en fut, de la Compagnie des Indes, de ces épiciers armés qui, tenant la bible d'une main et l'épée de l'autre, montraient le ciel aux aborigènes en leur enlevant la terre? Voulez-vous que je cite tous les faits qui se pressent dans mes souvenirs? Voulez-vous que je vous fasse la déscription des villages détruits et brûlés par les héros de l'armée néerlandaise? Voulez-vous que je vous montre les cadavres des femmes et des enfants assassinés sous l'égide du Dieu de la Hollande?

Non, ce n'est pas de pareils faits que je vous entretiendrai; car il pourrait se lever ici telle personne qui, ayant séjourné aux Indes, et n'ayant pas vu ces choses auxquelles j'ai assisté, me répondrait: cela n'est pas vrai, parce que je ne l'ai pas vu. Ga naar voetnoot*

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[p. 333]

Je ne dirai donc rien de mon expérience personnelle. J'ai dit, il y a quatre ans, dans un petit livre que j'ai ici, que les chefs javanais s'appropriaient les biens des indigènes, et que les résidents, vice-résidents et autres, au lieu de punir ces crimes, se faisaient, pour ainsi dire, les complices de ces malfaiteurs. On me croira ou l'on ne me croira pas, mais l'année suivante, j'ai publié la liste de tous les buflles qui ont été volés, dans le cours du mois de février 1857, dans un seul arrondissement, pendant que j'administrais la province, sous l'autorité du gouvernement du roi de Hollande. On ne m'a pas répondu. Est-ce une preuve?

J'ai ici un ordre du jour du lieutenant-généraal van Swieten, dans lequel il dit que, lorsqu'il y a deux siècles, l'armée française saccageait le Palatinat, il s'éleva partout un cri d'indignation, et il engagea ses officiers à en finir avec cette manière de faire, parce que, dit-il, ‘nous ne pouvons faire maintenant ce qui était condamné déjà il y a deux siècles.’ Voilà l'humanité mise au rang d'une nouveauté. Il y a de cela trois ans.

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[p. 334]

Quant à la manière dont se divisent les partis politiques en Hollande, je n'en sais pas grand'chose. J'entends parler de conservateurs et de libéraux...

Mr. Bake disait tout à l'heure, que le Javanais ne travaillait que lorsqu'il y était contraint. Il y a du vrai dans cette assertion, mais si le Javanais n'est pas majeur en ce moment, cela ne prouve pas qu'il ne pourrait pas le devenir sous un gouvernement humain. Mais on ne l'entend pas ainsi!

Toute l'économie sociale, aux Indes, est basée sur le respect inné de l'aborigène pour son chef naturel. Craindre le chef de sa tribu, c'est presque synonyme pour lui avec la crainte du Seigneur. Son chef, c'est son Dieu, sa religion. Aussi le regime colonial, soi-disant conservateur, a parfaitement compris tout le parti qu'on pouvait tirer de ces dispositions. On s'est dit que, pour s'emparer des biens des aborigènes, il suffirait de donner une partie du butin au chef. Et c'est ce qu'on a fait.

A ce propos, permettez-moi de définir la seule différence qui existe, selon moi, entre les conservateurs et les libéraux. Les conservateurs veulent faire travailler les Javanais, et enrichir à leurs dépens le trésor public de la nation hollandaise, tandis que les libéraux veulent que ce soient les industriels hollandais eux-mêmes qui profitent du travail des Javanais. (Applaudissements)

 

Et c'est pour cela que moi, qui ne veux appartenir qu'au parti des honnêtes gens, je n'ai pu jusqu'ici m'associer encore à aucun de ces deux partis.

 

Pour vous donner une idée du respect du Javanais pour son chef, je me permettrai de vous raconter un fait, un crime, un malheur plutôt, qui a eu lieu, il y a quelque vingt-ans, et qui vous permettra de juger de la civilisation que les Hollandais donnent à leurs colonies, en retour des richesses qu'ils en retirent.

 

Un Pancyrien Ga naar voetnoot* appartenant á la cour de l'Empereur de Souracarta rentra un soir dans son craton. (Le craton n'est ni un palais, ni un château, c'est quelque chose comme tout cela ensemble, une espèce de forteresse.) Il sortait du club européen, c'était un Javanais civilisé... il avait des bottes. (Rires) Rentré dans son craton, dans un état peut-être un peu trop... civilisé, il ordonne á un jeune page (petit garçon de famille noble, dont le titre correspondrait, en France, à celui de chevalier, je crois) il

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[p. 335]

ordonne à ce jeune page de lui ôter ses bottes. L'enfant s'incline. Le prince lui dit: sais-tu bien que je peux te tuer?

 

- Oui, Monseigneur.

 

- Mais c'est la vérité. J'ai droit de vie et de mort sur toi.

 

- Comme vous le dites, Seigneur.

 

Le prince, exaspéré de ce calme, (il aurait peut-être mieux aimé être contredit) ordonne au petit page de lui apporter son kris. L'enfant prend l'arme, l'ofre à son seigneur, le manche en avant, et lui prèsente sa poitrine. Le pancyrien Ga naar voetnoot* saisit l'arme des mains de son page, et le tue raide. (Mouvement)

Eh bien, ce pancyrien, Ga naar voetnoot* je l'ai connu à Malte Ga naar voetnoot† et je dois le dire, j'ai aimé cet homme. C'est de ses yeux que, pour la première et peut-être pour la dernière fois de ma vie, j'ai vu couler des larmes javanaises. (Sensation) Ne vous en étonnez pas, messieurs, les larmes sont une invention de l'Occident, de l'Occident si fertile en inventions pour remplacer le sentiment par des manifestations.

Pour ne pas obliger Mr. Le Président à me rappeler au règlement, j'abrège...

 

De toutes parts - Non, non, parlez!

 

Mr. Douwes Dekker. - Je vous remercie du fond du coeur de votre bienveillance. Mais en voulant tout dire, j'aurais trop à dire. Je me permettrai seulement de vous lire l'épilogue d'un livre que j'écrivis, il y a quatre ans. Le voici:

 

‘Mon livre est mauvais, d'un méchant style, il n'y a pas d'harmonie entre les diverses parties... l'auteur est incapable, pas de talent, pas de méthode... bien, bien, très-bien, mais... le Javanais est maltraité!

 

‘Car voici le mérite de mon livre: toute réfutation est impossible.

 

‘Plus on sera mécontent de mon ouvrage, plus je m'en féliciterai. La chance d'être écouté sera d'autant plus grande que votre mécontentement sera plus vif. Je veux être lu, je le veux!

 

‘Et vous que j'ose dêranger dans votre repos, anciens gouver-

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[p. 336]

neurs-généaux ou ministres, ne comptez pas trop sur l'incapacité de ma plume. Elle pourrait s'exercer au point même de faire croire à la vérité!

 

‘Alors je demanderais un mandat de représentant, pour protester contre la honte de ma patrie. Pour protester contre ces guerres meurtrières, faites là-bas aux pauvres gens qu'on excite à la révolte par l'oppression. Ga naar voetnoot* Pour protester contre la lâcheté qui laisse tant de sujets du roi de Hollande à la merci des pirates de l'archipel indien...

 

‘Il est vrai que ces pirates sont des guerriers, et les révoltés des spectres à demi morts de misère.

 

Et si l'on ne me croyait pas, je traduirais mon livre dans le peu de langues que je sais, et dans toutes celles que je pourrais apprendre, pour demander à l'Europe, ce que j'aurais vainement cherché en Hollande.

‘Et si mes efforts échouaient encore, je traduirais mes livres en malais, en javanais, en batta, en alforme Ga naar voetnoot†, en bougui, en soendah. Et j'aiguiserais les kléwangs, en lançant des chants de

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[p. 337]

guerre dans le coeur de ces pauvres martyrs, auxquels j'ai promis du secours...

 

‘Mais cela ne sera pas nécessaire, j'espère.

 

‘Car c'est à vous que je dédie mon livre, Guillaume III, roi, grand-duc, prince, empereur du magnifique empire d'Insulinde qui se déroule autour de l'équateur, comme une guirlande d'éméraudes.

 

‘C'est à vous, Guillaume III, que je demande avec confiance, si c'est votre volonté impériale, que là-bas trente millions de vos sujets soient maltraités, opprimés, martyrisés en votre nom?’

 

On n'a pas répondu. La nation hollandaise, représentée par son gouvernement, est condamnée par défaut.

 

Mr. Dumonceau. (Liége) - Le gouvernement hollandais a été attaqué avec une telle vivacité, qu'il est nécessaire que l'un ou l'autre membre de cette assemblée veuille bien maintenant entreprendre sa défense, afin que nous n'en emportions pas une trop mauvaise idée.

 

Nog-eens, niemand heeft geantwoord. De Heer Dumonceau kan precies geweten hebben, onder welken indruk de vreemdelingen Holland verlaten zouden.

voetnoot*
Ik had voorgesteld de ‘Koloniale’ vraagpunten liever in de sectiën dan op de Algemeene Vergadering te behandelen. Ik had namelyk debat gewenscht, en geen redevoeringen. Maar dit was door Hollandschen invloed tegengewerkt. Bovendien, de enorme zaal in het Koninklyk Paleis te Amsterdam, vorderde een buitengewone inspanning om zich te doen verstaan. Tot overmaat van ongeluk was de tribune in het midden der lange zyde geplaatst. Men moest schreeuwen. De vreemdelingen klaagden er ook over. (1872)
voetnoot†
Sommigen beweren dat er tegenstrydigheid is, tusschen myn partytrekken voor het Kultuurstelsel, en het verwyt dat men de Staathuishoudkunde heeft uitgesloten van allen invloed op 't beheer van Insulinde. De Vry-arbeiders toch schermen met argumenten die aan de leer der Staats-économie ontleend... schynen. Welnu, het is juist op-grond van die wetenschap, dat ik den Vryen-Arbeid bestryd. Myne staathuishoudkundige begrippen schryven voor, te-rade te gaan met werkelyke gegevens, en daartoe behooren in dit geval hoofdzakelyk: 10 de aard des Volks. 20 De eigenaardigheid van 't Nederlandsch gezag in Indië. De Staathuishoudkundige die by 't beoordeelen van Indische zaken, deze beide factoren uit het oog verliest, mag waarlyk wel zwygen van z'n wetenschap. Gelukkig dat die wetenschap niet aansprakelyk is voor de fouten harer beoefenaars.
Al weder neem ik er acte van, dat m'n beide brochures over Vryen-arbeid niet zyn weerlegd. In een ingezonden stuk in de N.R. Cour. werd ik door een anoniemen Vry-arbeider zwartgemaakt. Dit was alles. (1872)
voetnoot*
De nederlandsche bezittingen in Indie zyn zeer uitgestrekt, en worden bewoond door een groot aantal volkeren die in zeden, taal, godsdienst en traditie, zeer veel van elkander verschillen. Uit een ethnologisch oogpunt, zyn de hoofdplaatsen van Java het minst belangryk, omdat het Europeesch element de eigenaardigheid van het indiïsmus, zoover men daarmee in aanraking kwam, geheel verdrongen heeft. De daar wonende Nederlander wordt dan ook overal elders als een ‘baar’ beschouwd, d.i. als een nieuweling of onwetende. Toch zyn het juist dezulken die - met fortuin! - in Nederland teruggekeerd, door de Natie worden aangenomen als voorlichters over indische toestanden.
Ik beweer hierom niet, dat allen die meer van Indie waarnamen, dan Batavia, Samarang of Soerabaia - den winkel of bureauman te zien geeft - vooral niet toeristen of kapellen-vangers - beter op de hoogte zyn. Tot bevoegdheid om te oordeelen, zyn àndere gegevens noodig. Het is met de waardeering onzer indische specialiteiten treurig gesteld. De meeste personen die thans als vraagbaak gebruikt, en zelfs aan het hoofd gesteld worden, zyn specialiteiten van onkunde, om nu niet te spreken van nog onteerender motieven ter wraking hunner autoriteit.
Wat positieve kennis van Indië aangaat, en afgezien van alle politische bevoegdheid, bezitten wy in Nederland een man die meer beduidt den alle specialiteiten te-zamen. Prof. Veth heeft dien-aangaande in zekeren zin de taak vervuld, die ik op blz. 124 myner Duizend-en-eenige Hoofdstukken, den fabriekheer aanwys. Met eerbiedwaardige vlyt wist hy zich meester te maken van de bouwstoffen die hem door de ambachtslieden van 't specialismus geleverd zyn. Hy gaat dus in wetenschap ieder hunner - my ook! - ver, zéér ver te-boven. Wie niet verbaasd staat over de kennis van Prof. Veth, heeft geen verstand van kennis.
Dat deze geleerde, in-weerwil daarvan, een voorstander is van Vryen-Arbeid - d.i. van de vergunning aan alle fortuinzoekers, om den Javaan tot arbeid te dwingen door bemiddeling der kleinere hoofden - is eene fout op het gebied van politiek en staathuishoudkunde, die wellicht kan verklaard worden uit oorzaken als ik aanroerde op blz. 61 volgg. der genoemde brochure over ‘Specialiteiten.’
Men ziet hoe volmondig ik den heer Veth de eer geef die hem, naar myn inzien, als geleerde toekomt. Toch recuseer ik ten stelligste zyne bevoegdheid om 't vraagstuk over Vryen-arbeid te beoordeelen. Ambachtslieden kunnen onmogelyk het geheel overzien, maar de fabriekheer, hoe hoog ook staande in algemeen overzicht, schiet soms te-kort in handigheid, als hy den Arbeider 't gereedschap uit de hand neemt. De kwestie over Vryen-Arbeid is ten-deele eene zaak van praktyk, schoon ik blyf volhouden dat zy ook zuiver theoretisch kan behandeld en tot staat van wyzen gebracht worden... gelyk alle kwestiën. (500) Juist omdat prof. Veth zoo doorkneed is in indische toestanden, neem ik aan, hem te bekeeren, mits hy de goedheid hebbe myne vertoogen eenigszins waardiger te beantwoorden, dan... zekere correspondeerende recensenten in de N. Rott. Courant gewoon zijn, die dan ook daardoor bewys gaven dat zy de zaak zelf niet aandurfden.
Op de bevoegdheid tot het beoordeelen van indische zaken, hoop ik weldra uitvoerig terug te komen. Me dunkt dat ons arm landje nu lang genoeg gefopt werd door de specialiteiten uit de gesupprimeerde Duizend hoofdstukken, q.v. waarvan thans een pracht-exemplaar voor de tweede keer aan 't hoofd van Koloniën staat. (1872)
voetnoot*
Lees panguérang
voetnoot*
Lees: panguérang
voetnoot*
Lees: panguérang
voetnoot†
Lees:Menado
voetnoot*
De laaghartigheid waarmee men op dit oogenblik twist zoekt met het Ryk van Atjin, is nog erger. Ik zal daarop terugkomen in-verband met hetgeen hierover door myn vriend Roorda reeds geschreven is. (Sneeker Courant, 24 Februari) Gedurende de onderhandelingen over den afstand der Kust van Guinea aan de Engelschen, hadden hy en ik ingezien dat onze regeering zich gereed maakte tot den roof van 't land, dat in den worstelstryd met Spanje, het eerst ons erkende als onafhankelyke staat.
Zeer veel scherpzinnigheid hadden we hiertoe niet noodig. De minister van Bosse, een politicus van 't eerste water, schaamde zich niet het opzet openlyk te verkondigen. Hy scheen te weten dat-i zich niet te geneeren had voor Nederlandsch rechtsgevoel.
Eerstdaags zullen de dominees belast worden met de uitnoodiging aan ‘Neerlands God’ om medeplichtig te zyn aan die schelmery. Hy is er niet te goed toe.
Over dien voorgenomen roof van 't Ryk van Atjin, schryf ik heden (19 September) een brief aan den koning. Dat stuk zal by den uitgever dezer Ideen te verkrygen zyn. Men zal daaruit kunnen zien, dat Spiridio's ‘Kamerspeech’ in de Vorstenschool:
‘een speech vol lamme laffe lompe leugens’
geen charge is, maar allertreurigste waarheid! (1872).
voetnoot†
Lees: Alfour

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