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Wapenboeck ou armorial de 1334 à 1372. Deel 1. Poésies héraldiques (1881)

Informatie terzijde

Titelpagina van Wapenboeck ou armorial de 1334 à 1372. Deel 1. Poésies héraldiques
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Editeur

Victor Bouton



Genre

poëzie
non-fictie

Subgenre

gedichten / dichtbundel
non-fictie/naslagwerken (alg.)
non-fictie/geschiedenis-archeologie
vertaling: Nederlands / Frans


© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Wapenboeck ou armorial de 1334 à 1372. Deel 1. Poésies héraldiques

(1881)– Gelre (heraut)–rechtenstatus Auteursrechtvrij

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[p. 239]

De Virnenburch

Je parle par la bouche d'une femme; le discours quelle m'a rapporté mest entièrement inconnu. Si j'ai compris ses paroles, elle dit: Mon ami, pour bien faire, aide-moi à louer un homme à qui l'on souhaiterait du bien a juste titre, tant il a, dit la ravissante femme, vaillamment payé de sa personne dans les assauts et les combats: il y a défendu fortement son honneur, très-fidèlement malgré les situations critiques; de sorte que dans tous les chagrins il a bien gardé sa féauté et son honneur, comme un homme d'un haut caractère doit garder son honneur, sa féauté.

Pour les uns, on ne doit épargner ni corps ni biens: et celui qui peut en donner la preuve véritablement, ce seigneur sera loué à juste titre, et on publiera sa louange avec art. Ses souffrances seront, sincèrement, déplorées. Une bonne dame ou une vierge pure peut le louer à bon droit; partout où elle entendra louer un tel Chevalier, elle pourra honorablement faire mention de lui. Un héros courageux qui verrait sa valeureuse conduite pourrait le redouter justement et trembler devant son glaive; ainsi qu'on l'a vu mainte fois.

Ceci pouvait bien être reconnu en (toute) vérité: Il a, avec

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une réelle bravoure, combattu dans les sièges où l'on vit parer le courage par le courage. Il fit voir valeureusement qu'il n'était pas paralysé quant a la valeur qui était trempée pour la gloire; c'est ce que l'on a beaucoup constaté en lui. Il s'est engagé envers l'Honneur; il a beaucoup souffert sous les armes, dans les assauts et les combats; de sorte qu'il est juste de lui en savoir gré.

Toutefois, ce que je loue au-dessus de tout, c'est sa grande féauté chevaleresque. Son éloge sera toujours nouveau pour ceux qui comprennent qu'il a si fidèlement accompli sa promesse en tout temps, quoi qu'il dût en souffrir. Mainte fois par jour il a regardé avec grande tristesse Sibourg, Cologne et Neufs en outre, où il était en otage pour dettes, et resta toujours attaché a sa parole: aucune fatigue ne l'en fit départir, ni danger pour sa vie, ni les bourrasques de la température, tant de jour que de nuit; il fit son devoir, quoi qu'il lui en coûtât.

Cela dura neuf mois, qu'il ne put avoir de répit en aucune de ces trois villes. Ceci fut trop pénible pour le noble homme; pourtant il y vint toujours; ce qui lui causa maintes fois des craintes pour sa vie et des fatigues. A Cologne, où il était enfermé de longues lieures dans une cellule, ce qui eut bien chagriné un moine, on put remarquer qu'il ne rompit jamais sa féauté.

Cet état d'otage le fatiguait, parce que chevalerie et sa nature sont deux inséparables, dont l'un plaît bien à l'autre; et à qui rien ne leur sied mieux que de vrais gestes de chevalerie; et comme il les négligea un certain temps par son arrêt forcé, il dut toujours en souffrir.

Chacun voudra bien remarquer dès lors que rien ne lui convient mieux que les tournois: il est dans les assauts comme dans les combats, espoir et soutien du côté des amis, soucis et

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crainte pour les ennemis. Aussi a-t-on souvent vu l'âme fière du noble seigneur dans les tournois et les joûtes.

Ainsi paria la Dame avec une véritable bienveillance. A présent je veux, selon mon art, décrire, d'après sa haute dignité, sa bannière et sa cotte d'armes.

On lui a souvent vu porter l'écusson et le mantelet richement ouvré d'or: de gueules sept carreaux y sont posés, dignes deloge. On voit au-dessus deux longues ailes noires richement posés sur le heaume avec lesquelles il a trés vaillamment combattu à travers le sentier des peines.

Il sera, à juste titre, prié pour lui, afin qu'il soit préservé de honte. L'esprit de chevalerie en Van Virneburg est inrié, ce noble caractère. Tu l'ass donc choisi à bon droit. Tu figureras aussi dans la Chambre, sinon c'est te faire injustice!

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Notes héraldiques

Le Sire de Vernenburch porte d'or a sept losanges de gueules rangés en face 4, 3. - Le heaume d'argent taré de front; la capeline de velours ou mantelet de sable fourré de sinople; le chaperon retroussé de velours ou de sable, et pour cimier deux longues ailes affrontées de sable coupé d'or aux sept lozanges de l'écu sur chaque aile.

Vernenbourg se trouve ci-après dans l'Armorial, d'abord comme feudataire de l'évêque de Trèves: il porte les mêmes armes et le même cimier; ensuite feudataire de l'évêque de Mayence: il porte les mêmes armes avec un cimier différent, c'est-à-dire: un heaume d'argent taré de trois quarts, le volet de velours ou de sable d'où sortent en cimier deux cornes d'auroch de même bardées chacune de trois boules d'argent, et liés par un fil où pend par le milieu un petit écu aux armes de Vernenbourg.

Notes philologiques

Vers 29, au lieu de: verneren, lisez: verueren.

Vers 74, au lieu de: na ghebure, lisez: naghebure.

Vers 82, au lieu de: met, lisez: met.

Vers 69: Metaten, correspond au mot metatus et metatum de Du Cange, et signifie sedes propria, domicilium, hospitium. Jecrois qu'on peut traduire de deux manièies: par auberge, hôtellerie, dans le sens du moyen âge; ou par cellule, petite chambre. Alors le Chevalier était dans un lieu étroit où un moine eut été mal à l'aise; ou bien il était dans une hôtellerie qu'un moine eut enviée.


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