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Oeuvres complètes. Tome XX. Musique et mathématique (1940)

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Editeur

J.A. Volgraff



Genre

non-fictie

Subgenre

non-fictie/natuurwetenschappen/wiskunde


In samenwerking met:

(opent in nieuw venster)

© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Oeuvres complètes. Tome XX. Musique et mathématique

(1940)–Christiaan Huygens–rechtenstatus Auteursrecht onbekend

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[pagina 68]
[p. 68]

A. Le tempo giusto.

Il est croiableGa naar voetnoot1) que ancienement on chantoit incomparablement plus viste les notes qu'ils appellent longa brevis illustratie qu'on ne fait a present. Car ils n'avoient apparemment que celles la, et le chant ne pouvoit pas estre si lent, jusqu'a continuer le son de la longa pendant 16 battements de pouls, comme l'on la fait durer aujourdhuy. et la brevis pendant 8 battements. Le chant d'Eglise n'est nullement si lent et si on l'escrivoit selon qu'il est usitè, ce seroit par notes blanches a queue et par noires. qui a l'anciene maniere s'appellent minima et semiminima, quoyque pour cette derniere ils n'en eussent point.

max. long. brev. semib. min. semimin.Ga naar voetnoot2)
En marge: ▭ illustratie illustratie illustratie illustratie illustratie

Je vois que certains compositeurs en ordonnant de jouer mesure lente, escrivent par des notes noires crochues, ce qu'autrement on escrivoit par des simples noiresGa naar voetnoot3). Et par là il pourra arriver a la fin que les croches tiendront le lieu des noires, et que pour avoir les 8es de ces croches aussi bien qu'on a maintenant les 8es des noires, on adjoutera encore une espece de quadruples crochuesGa naar voetnoot4). Et c'est de la mesme facon que peu a peu l'on a ralenti les temps des notes ancienes, en y adjoutant d'autres pour des mouuements plus vistes.

Il est necessaire pour se faire entendre a la posteritè et pour arrester une fois les temps des notes de les determiner par des mesures fixes, comme sont les pendules &cGa naar voetnoot5).

[pagina 69]
[p. 69]

Quirinus van BlankenburgGa naar voetnoot6), organiste de l'église wallonne à la HayeGa naar voetnoot7), qui connaissait Huygens fort bienGa naar voetnoot8), nous apprend dans une publication de 1732Ga naar voetnoot9) avoir vu chez lui qu'il réglait effectivement le chant avec un pendule et avoir adopté lui-même ce réglageGa naar voetnoot10). Van Blankenburg connaît aussi le chronomètre, précurseur du métronome, de Loulié écrivant peu après la mort de HuygensGa naar voetnoot11). Ce chronomètre n'est lui aussi qu'un simple pendule; il se meut devant une règle verticale divisée qui mesure la longueur, variable, de son fil.

Nous rappelons que, suivant Viviani, Galilée avait inversement constaté l'isochronisme des oscillations du pendule en ayant égard au ‘tempo della musica’ (T. XVII, p. 3, note 3).

voetnoot1)
Portefeuille Musica, f. 26.
voetnoot2)
C.à.d. maxima, longa, brevis, semibrevis, minima, semiminima.
La ‘blanche à queue’ ou ‘minima’ (notre ‘blanche’) s'écrivait aussi illustratie; et la ‘noire’ ou ‘semiminima’ (notre ‘noire’) illustratie ou illustratie.
voetnoot3)
Donc, au lieu de la semiminima illustratie, la ‘crocheta’ ou ‘fusa’ illustratie.
voetnoot4)
La huitième partie d'une ‘fusa’ s'écrivait illustratie. Huygens observe que le remplacement de la ‘noire’ par la ‘fusa’ rendra nécessaire l'introduction d'un signe à quatre crochets.
voetnoot5)
Mersenne parle comme suit dans le Corollaire III à la Prop. 18 du Liure III des Instrumens: ‘Il faut encore expliquer comment l'on peut garder la mesme mesure suiuant l'intention du mesme compositeur, quoy qu'il soit mort on absent. Ce qui est tres-aysé par le moyen d'une chorde suspenduë, dont i'ay donné les usages ailleurs, car il suffit que le Compositeur ou le Maistre de Musique marque la longueur de la chorde à la marge de sa composition, dont chaque retour monstre le temps de la mesure, etc.’
voetnoot6)
1654-1739.
voetnoot7)
Depuis 1731 de la Nieuwe Kerk dans la même ville.
voetnoot8)
T. IX, p. 567, lettre de Huygens de 1690.
voetnoot9)
‘Clavecimbel- en Orgelboek der Gereformeerde Psalmen en Kerkzangen. Met de zelfde Noten die de Gemeinte zingt tot vloeijende maatzangen gemaakt. In Stijl en Hoogte bepaald. Met Cieraden verzien. En met Kunst verrijkt’, L. Berkoske, la Haye, 1732. Voyez la préface (‘Bericht’), p. 3 (non numérotée). À la p. 5 l'auteur mentionne Huygens de nouveau; voyez la p. 129 qui suit.
voetnoot10)
‘zo stel ik daar op alhier een reglement, 't welk is, datmen zal de tijd meten door een Slinger (zo als ik bij den geleerden Huygens heb gezien) gemaakt van een fijne draad van 32 duimen, waar aan men zal hangen een pistool kogeltje wegende een Loot, 't welk eens aangestooten zijnde zo lang zal heen en weer gaan dat men drie of vier Psalmveerzen daar op uit zingen kan’. Ce ‘reglement’ est déjà mentionné à la première page du livre, dans le ‘Privilegie’ des États de Hollande et de Westfrise.
voetnoot11)
E. Loulié ‘Éléments ou principes de musique’, Amsterdam, E. Roger, 1698 (prem. éd. Paris, 1696). v. Blankenburg mentionne ce chronomètre aux p. 133 et 199 de ses ‘Elementa Musica etc.’ de 1739. Comparez ‘Quirinus Gideon van Blankenburg’ par Dirk J. Balfoort (‘Die Haghe’, Jaarboek 1938 onder redactie van Dr. W. Moll, 's Gravenhage, Mouton, 1938).

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