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Gemeenschap tussen de Gottische spraeke en de Nederduytsche (2001)

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Titelpagina van Gemeenschap tussen de Gottische spraeke en de Nederduytsche
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Editeurs

Igor van de Bilt

Jan Noordegraaf



Genre

sec - taalkunde

Subgenre

traktaat
taalkunde/algemeen


© zie Auteursrecht en gebruiksvoorwaarden.

Gemeenschap tussen de Gottische spraeke en de Nederduytsche

(2001)–Lambert ten Kate Hz.–rechtenstatus Auteursrechtelijk beschermd

Vorige
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[p. 85]

Bijlage

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[p. 86]

Jean Le Clerc, ‘Convenance des Langues Gothique & Flamande’.
Bibliothèque Choisie. Pour servir de suite à la Bibliothèque universelle 20 (1710),303-314.

(Seconde Edition revue & corrigée. La Haye: Pierre Ausson, 1731)

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[p. 87]

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pas de moi, c'est de ses Ouvrages, que l'on doit apprendre quelle est son assiduité à l'étude, & quelle connoissance de la Langue Greque il s'est acquise. S'il n'avoit rien produit, je consentirois qu'on n'ajoûtât pas plus de foi à mes loüanges, que je n'en ajoûte moi même à celles de Mr. Broekbuyse; quand il élevé jusqu'aur nuës des gens, qui n'ont jamais rien fait, ou très-peu de chose, & dans lesquels on ne voit aucunes marques du savoir qu'il leur attribue. Mais je laisse à Mr. Kuster le soin de faire voir, par d'autres Ouvrages, si je l'ai flatté. Ce n'est pas mon caractere, je l'avonë, que de déchirer les vivans & de mentir en faveur des morts, comme font certaines gens; mais je ne suis nullement flatteur, ni à l'égard des uns, ni à l'égard des autres, ni sujet à faire des Satires, ou à refuser aux morts les loüanges, qui leur sont veritablement duës. C'est de quoi les Ouvrages, que j'ai publiez, sont des preuves authentiques.

On lui doit au reste être obligé du soin & de l'exactitude, qu'il a apportée dans cette Edition, que j'ai trouvée très correcte, dans ce que j'en ai lû. Je voudrois seulement que les
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Imprimeurs n'eussent pas mis dans ma Lettre, δὴ pour μὴ à la 2. page, sur 1. Jean iv, 3. Je suis obligé de remarquer cela, de peur qu'ou ne m'accuse d'avoir corrompu ce passage; car nous sommes dans un siecle, où il se trouve des gens, qui employent leur tems à remarquer de semblables fautes, ou des inadvertences visibles, & qui les reprochent avec aigreur, sans avoir aucun égard à ce qu'il ya de bon dans un Ouvrage.

Article IV.

Gemeenschap tusschen de Gottische sprake en de Nederduytsche, vertoont I. by eenén Brief nopende deze stoffe: II. by eene Lyste der Gottische woorden, gelykluidige met de onze, getrokken uyt het Gothicum Evangelium: III. by de voorbeelden der Gottische Declinatien en Conjugatien, nieuwlyks in hare Classes onderscheyden. Alles gerigt tot ophelderinge van den ouden grond van 't Belgisch. A Amsterdam, chez J. Rieuwertsz. 1710. pagg. 86. in 4.

CEt Ouvrage, qui regarde les Origines de la Langue Flaman-

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de, étoit trop curieux, pour ceux qui aiment cette sorte de choses, dans ces Provinces, pour n'en pas dire quelque chose; quoi que je n'aie pas d'ailleurs accoûtumé de parler, dans cette Bibliotheque Choisie, de Livres Flamands.

Ceux qui s'appliquent à la connoissance des Langues du Nord, qui ont du rapport à la Langue Flamande, ou qui sont venues de l'ancienne Langue Gothique, y trouveront bien des choses, qui leur plairont, & qui leur donneront lieu de pousser cette sorte de recherches plus loin. Peu de gens savoient au paravant la veritable Origine de la Langue Flamande, que l'on faisoit venir communément de l'Allemande: au lieu qu'elle est, pour ainsi dire, soeur de cette Langue & fille d'une même mêre; savoir, de l'ancienne Langue Gothique.

Un Auteur Hollandois, qui s'est fort appliqué à la connoissance de sa Langue, avoit publié en 1707. en Latin un petit Livre intitulé, Linguae Belgicae Idea Grammatica, Poëtica, Rhetorica, &c Anonymi Batavi, & imprimé chez Fr. Halma. Son dessein étoit d'enseigner à un de ses neveux la maniere de pénetrer dans les fines-
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ses de la Langue Flamande, en lui donnant une idée exacte de ses principes. Dans la Préface de ce petit Ouvrage, il avoit avancé que la Langue tire immédiatement son Origine de l'ancienne Gothique, telle qu'elle se trouve dans l'Evangile Gothique, publié par François du Jon, on Junius, avec un Glossaire Gothique. Cette remarque engagea l'Auteur de cette Ressemblance des Langues Gothiques & Flamande, à examiner la chose plus à fond & à recueuillir de cet Evangile tous les mots Gothiques, qui avoient du rapport avec les Flamands. De ces recherches & de cet examen est né l'ouvrage que nous voyons, & qui est composé de trois parties.

I. La premiere partie consiste en une Lettre adressée à l'Auteur de l'Idea Grammatica &c. L'Auteur de cette Lettre y fait voir qu'il n'y a point de Langue Moderne, qui ressemble tant à la Gothique, que la Flamande, & donne les principes géneraux de la premiere. Il divise les Noms, selon leurs terminaisons, en quatre Déclinaisons de Substantifs masculins, en cinq de Substantifs féminins, & en trois du neutre, outre quelque peu

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d'exceptions; à quoi il joint les Déclinaisons des Participes actifs & passifs, & celles des Pronoms personnels, démonstratifs & possessifs.

Les Verbes peuvent aussi être distinguez, selon la maniere dont on les conjugue. Il les divise en six classes, & il en trouve de diverses inflexions, selon châque classe. La derniere est des Verbes, qu'on nomme irréguliers. Châque classe differe de l'autre en ce qu'elle a d'autres voyelles dans les mêmes tems, & sur tout dans l'Infinitif comparé avec l'Imparfait de l'Indicatif & le Participe passif.

Il traite ensuite, en peu de mots, des Lettres des Goths & de la prononciation de quelques-unes, qui pourroit être douteuse. Il paroît par tout cela, que la Langue Gothique a beaucoup plus de rapport avec la Flamande, qu'avec aucune autre Langue du Septentrion; quoi que d'ailleurs ces Langues aient tant de rapport, les unes avec les autres, que ce sont plûtôt de differentes Dialectes, que de differentes Langues.

La ressemblance du Gothique & du Flamand est encore plus grande; puis que les Verbes réguliers & irréguliers sont les mêmes en ces deux Langues,
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dans lesquels on voit une semblable variation de voyelles, dans les mêmes tems, qui se forment dans l'une & dans l'autre de la même maniere.

L'Auteur au resle ne croit pas, comme il le témoigne dans sa Lettre, que les Flamands aient reçu leur Langue de ces Goths, dont nons avons l'Evangile. Les courses, qu'ils pourroient avoir faites, dans la Gaule Belgique, ne sauroient suffire, pour en changer la Langue. Il croit que la Langue, que l'on parle à présent, dans les Païs-bas, doit y avoir été apportée par les premieres Colonies, qui les peuplerent, long-tems avant que les Romains fussent parvenus à la grandeur, à laquelle ils parvinrent dans la su{?}te. Il prétend aussi que les Goths n'étoient pas une Nation si grossiere, que l'on s'imagine; ce qu'il prouve, par la politesse & par la régularité de leur Langue, telle qu'elle paroît dans l'Evangile, dont j'ai parlé. C'est ce que l'on peut voir 1. par les Genres masculin, féminin & neutre des Noms, par leurs Cas & par leurs Nombres: 2. par les Verbes actifs & passifs, distinguez en Modes, Tems & Personnes, dont l'inflexion est differente. Ce qu'il y a de plus ré-

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marquable dans la Langue Gothique, c'est qu'elle ne se sert point du verbe auxiliaire avoir; non plus que les Grecs & les Latins, pour ne point parler des Langues Orientales; ce qui est, selon nôtre Auteur, une preuve incontestable de sa grande antiquité.

Il décrit le Caractere de châque classe des Verbes, & prend ensuite occasion de louër le travail de Junius sur la Langue Gothique; quoi que son grand âge ne lui permît pas d'en former une Grammaire.

L'Auteur croyoit être le seul, qui sefût appliqué à ces recherches, lors qu'il vit le Thesaurus Linguarum Veterum Septentrionalium Grammatico-Criticus de Mr. Hickes, en 3. Voll. in fol. Il louë beaucoup cet Ouvrage, & il avouë qu'il en a tiré des lumieres. Mais il n'y avoit qu'un Flamand, qui pût faire voir, avec exactitude, le rapport de la Langue Gothique & de la Langue Flamande, qu'il falloit savoir à fond, pour cela. Outre cela, nôtre Auteur a distingué plus exactement les Conjugaisons du Gothique les unes des autres, que n'avoit fait l'Auteur Anglois, qui avoit suivi la route ordinaire des Grammaires com-,
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munes, sans approfondir assez les differences des Verbes.

Après la Lettre vient une Apostille, composée de six réflexions, que l'Auteur fait sur l'excellence des Langues Gothique & Flamande. Il montre que c'est une proprieté remarquable de ces deux Langues, que l'accent des mots porte toûjours sur une partie eslentielle & radicale de ces mots; qu'il n'y a point d'apparence que la Langue Flamande, comme quelques Savans l'ont cru, soit venuë de la Greque, quoi qu'elles aient divers mots communs; que c'est injustement que l'on s'applique trop peu à l'étude de la Langue Flamande, pendant que l'on employe un tems infini au Grec & au Latin; qu'il est digne de remarque que les Verbes Flamands, qui répondent à la seconde & troisiéme classe des Gothiques forment les Préterits & les Participes de même, quoi qu'il y ait plus de mille ans que cela étoit en usage dans la Gothique, comme il l'est encore dans d'autres Langues du Nord; que la Langue Gothique avoit une formation de certains Verbes toute particuliere, en ce qu'ajoûtant la syllabe ian à la fin, la signification du mot devenoit active; com-

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me de brinnan, c'est-à-dire, brûler, dans le sens neutre, dont l'Imparfait est bran, on faisoit inbrannian, ce qui signifioit faire brûler, ou mettre en feu.Ga naar voetnoot* Cette conjugaison a la même force, que l'Hiphil des Hebreux, mais les Hebreux forment cette Conjugaison tout autrement, puis qu'ils mettent un He au commencement.

II. La Lettre, dont on vient de donner le précis, est suivie d'une liste d'environ 750. mots Flamands, dans l'ordre Alphabethique, avec les mots Gothiques, qui y répondent, expliquez aussi en Latin, afin que les Etrangers puissent en profiter, sans entendre le Flamand. Ce qui est remarquable, c'est que ces 750. mots sont tirez uniquement de l'Evangile Gothique de Junius; d'où l'on peut conclurre que si l'on avoit plus de monumens, en cette Langue, on trouveroit bien plus de preuves de sa convenance avec la Flamande.

A châque Verbe, il ajoûte la Classe à laquelle il le faut rapporter, & à châque Nom le genre dont il est, quand il l'a pû savoir; & ces genres sont communément les mêmes qu'en Flamand. L'Auteur en tout cela s'est
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servi des termes, que les Grammairiens Latins employent communément; parce qu'ils sont connus à toutes les Nations; quoi que d'ailleurs il ait pris soin de ne mêler pas des mots étrangers dans son stile Flamand, comme on le fait communément. S'il avoit traduit les mots de l'art, il n'auroit pas été mieux entendu de ceux de sa Nation, qui ont quelque petite teinture du Latin, & il auroit paru trop affecté, sans que cela fût nécessaire. D'ailleurs ces sortes de recherches ne sont pas au goût de ceux, qui n'ont point du tout d'étude, tels que sont ordinairement ceux qui ne savent que leur Langue maternelle.

III. A la fin, on voit la troisiéme piece de ce Volume, où sont les exemples des Déclinaisons & des Conjugaisons Gothiques réduites à leurs differentes classes, selon la diversité de leurs inflexions. L'Auteur met après châcune des Déclinaisons & des Conjugaisons les Noms & les Verbes, qui s'y rapportent, autant qu'il l'a pû recueuillir de l'Evangile Gothique.

Par exemple, la I. Déclinaison est des Substantifs masculins terminez en A, comme Atta, Pere, qui a ainsi au

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Nominatif & au Vocatif du singulier, au Genitif Attins, au Datif & à l'Ablatif Attin, à l'Accusatif Attan. Le Nominatif & le Vocatif pluriels ont Attans, le Genitif Attane, le Datif & l'Ablatif Attam, l'Accusatif Attans. Après cela, il met plusieurs masculins en A, qui se déclinent de même, comme Blinda, aveugle, &c.

Il donne pour exemple de la I. Conjugaison le Verbe Dailian, qui signifie diviser, en Flamand deelen; & il tire le caractere de châque Conjugaison de la formation differente de l'Infinitif, comparé avec l'Imparfait de l'Indicatif & le Participe Passif. Ainsi Dailian, diviser, a à l'Imparfait ik Dailida, je divisois, ik déélde en Flamand, & au Participe Passif Dailiths, divisé, autrefois en Flamand Déélede, & à présent Gedéélt. On verra le reste, dans l'Original, qui est court & fort méthodique. Ceux qui aiment les recherches, touchant la Langue Flamande en particulier & en géneral touchant les Langues voisines, feront très bien de le lire, & y trouveront de la satisfaction.

L'Auteur n'a pû former ces principes de la Grammaire Gothique, qu'avec beaucoup de peine, d'atten-
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tion & même de pénetration; ni les ranger, comme il a fait, sans avoir de la netteté d'esprit.

Il seroit à souhaiter qu'il nous eût ouvert par-là l'intelligence de bien des Livres Gothiques de quinze cens, ou de deux mille ans, qui nous eussent apris l'Histoire des Peuples Septentrionaux, leurs sentimens & leurs coûtumes. On ne les liroit avec gueres moins de plaisir, que les Auteurs Grecs & Latins; mais le mal est qu'il ne nous reste de l'ancien Gothique, que le seul Evangile de Junius, écrit au quatriéme siecle après Jesus-Christ.

L'Auteur au reste, quoi qu'il ne croye pas que la Langue Flamande soit venue de la Greque, ne paroît pas êloigné de la pensée de ceux qui conjecturent qu'originairement ces deux Langues étoient comme paralleles, & se ressembloient beaucoup plus qu'à présent. Les Peuples, qui étoient au Nord de la Grece, avoient, comme il semble, au commencement un Langage semblable à ceux du Midi, mais ce Langage se changea à mesure qu'ils s'en éloignerent, & s'avancerent vers l'Occident par i'Illyrie & par l'Allemagne, jusqu'à ce qu'ils fussent parvenus aux bords de l'Océan, d'ou ils

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passerent ensuite aux îles voisines. On en a dit quelque chose dans le Chap. I. du petit Livre du Bonheur, óu du Malheur, en matieres de Loterie; & l'on peut voir des preuves de la ressemblance de la Langue Saxonne, qui ne differe de la Flamande, que comme une Dialecte, daus le petit livre de Merry Casaubon de l'ancienne Langue Angloise, imprimé à Londres en 1650. in 12.

Article V.

SACRORUM ELAEOCHRISMATUM Myrothecia tria, in quibus exponuntur Olea atque Unguenta Divinos in Codices relata, & olim vel cunctis universim Gentibus, in vitae quà quotidiano, quà molliore cultu, vel nominatim apud Israëlitas, tam in sacrorum Antistitibus, locis, supellectilibus, quàm in Regibus solemniter inaugurandis usurpata, auctore F. Fortunato Scaccho Ordinis Eremitarum S. Augustini, Apostolici Sacrarii Praefecto. Opus eruditione multiplici conspersum, & instituta
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Veterum, litterasque reconditiores Hebraïcas, Graecas, Romanas hujus argumenti occasione passim illustrans; nec antea sic emendatum; adornatum figuris elegantissimis. A Amsterdam, chez de Coup, 1710. pagg. 682. avec les Préfaces & les Indices.

 

CE Volume étant passé, depuis peu, entre les mains d'un autre Libraire, il ne sera pas mal d'en dire ici quelque chose; car il n'est pas besoin d'en donner un Extrait exact & suivi. Il est assez connu, par les Editions de Rome & d'Amsterdam, & parce que d'autres en ont déja dit. Cet Ouvrage avoit d'abord paru à Rome en trois Volumes in 4. le premier en 1625. le second en 1627. & le troisiéme en 1629. Mais comme ces Volumes n'étoient pas gros, on en a fait ici un seul in folio.

Outre quelques Lettres de l'Auteur & d'Erysius Puteanus, on a mis au devant sa Vie, par Jean Vittorio Rossi, ce que Leo Allazzi en a dit dans ses Apes Barberinae, & son éloge par Phil. Elsius dans son Encomiasticon Augustinianum. Il paroît par Rossi que Fortunato Scaccho étoit bâtard d'un Gen-

voetnoot*
Remarque de l'Auteur dela B.C.


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